Carnets à souvenirs et autres mots...

Mes envies de carnets ont démarré avec mon 1er journal intime. Vous savez, le genre de carnet avec un cadenas. Aujourd'hui, j'ai toujours ce journal mais j'ai perdu la clé !

Mais très vite, j'ai opté pour des carnets à couvertures rigides et à moi, le choix des coloris, des motifs. Mais des beaux carnets, il y en a plein les papèteries et je n'ai pas forcément assez de mots à écrire pour pouvoir tous les noircir de mes pensées...

Alors parfois, je craque, je les achète et je les garde dans un coin... au cas où... Et puis, il y a ceux qui ont une fonction bien précise.




Et quand Chocoladdict propose d'offrir des carnets, je n'ai pas pu résister... C'est par ici que ça se passe !


Crédit photos : © La Parisienne

Merci pour tout


Diplôme en poche et sous la pression de son père, René-Pierre, 30 ans, range sa guitare et intègre la société P’oméal. A-t-il bien fait d’accepter ? Le "piston" suffira-t-il à le protéger ? Pourra-t-il s’adapter aux codes de cet univers parfois survolté et surmonter ses nombreuses maladresses ? C’est par le rire que cette comédie tonique y répondra. Des dialogues ciselés pour un pur moment de détente.

"Merci pour tout", c’est surtout 1h30 de rire, de détente du zygomatique où parfois on a aussi une sensation de déjà vu, où ça sent le vécu. C’est peut être pour ça que ça nous fait autant rire. Cette pièce de théâtre est l’idéal pour une rentrée en douceur. Et puis, c’est le moment d’en profiter puisqu’ils sont en prolongation jusqu’à décembre.

Seulement 2 comédiens sur scène mais ça déménage. Thibaut de Lussy fait un René-Pierre si vrai : musicien qui se décide à rentrer dans la vie active à 30 ans, se plonge dans le travail au point de ne plus avoir de vie sociale mais surtout dans un travail qu’il ne connaît absolument pas !

Quant à Sophie Legrand, c’est le « caméléon » de la pièce : de la chargée de recrutement à la coach de vie, en passant par la chargée de marketing susceptible ou la sœur pieuse et pas si rangée que ça ! Vous l’aurez compris, la pièce a du peps et on en redemanderait presque…

Et surtout une originalité qui donne un ptit plus à la mise en scène : l’écran qui projette notamment les images de la caméra de surveillance de l’entreprise et ainsi on peut voir évoluer René-Pierre dans les couloirs !


Merci pour tout
La Grande Comédie
40 rue de Clichy 75009 Paris
Tél. : 01 48 74 03 65

Offre spéciale Facebook : 1 place achetée = 1 place offerte

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Crédit photo : © La Parisienne

Histoires de tatouages...

Il y a quelques jours, j’ai découvert le blog de Céline. Son billet sur son tatouage a attiré mon regard. Et oui, les tatouages et moi, c’est une longue histoire. Aussi loin que je puisse me rappeler, j’ai toujours voulu en avoir un. Et puis comme mes parents étaient du genre à me dire "tu feras ce que tu veux quand tu auras 18 ans", j’ai eu largement le temps de réfléchir à la question. Et oui, ce n’est pas une décision qui se prend à la légère : il s’agit quand même d’avoir un dessin à vie sur le corps alors autant bien choisir le motif et surtout la partie du corps sur lequel on souhaite le faire mais avant tout il s'agit d'être sûr à 200% de sa décision. Et puis, il y avait aussi le mythe du "ça fait mal".

Alors avec toutes ces réflexions, je me suis enfin décidée à 28 ans ! Ben oui, j’ai pris mon temps ! C’est pas si mal, non ? Et mon choix s’est porté sur un ange pour représenter ma passion pour ces petits personnages et celui là veille sur moi au plus près ! Il est situé au bas de mon dos, sur la gauche. Et si vous vous posez la question : je n’ai rien senti à part un fort chatouillis !


2 ans plus tard, l’envie était toujours là et cette fois, j’ai opté pour un symbole celte : il s’agit de la trinité. J’avais trouvé le motif sur un tampon décoratif et j’ai tout de suite eu un coup de cœur. Celui-là est sur ma cheville droite. Et là aussi, je n’ai rien senti, ce qui est d’autant plus bizarre car il est situé au niveau d’une zone où il y a peu de chair et près d’un os, ce qui représente des zones très sensibles. Comme quoi…




Et encore 2 ans plus tard, toujours envie d’un tatouage. En fait, ce qui est très étrange chez moi, c’est que dès que je sors de chez le tatoueur, j’ai déjà envie d’un nouveau tatouage ! Cette fois, j’ai eu envie d’avoir un motif très personnel et unique : un dessin de mon père. Je lui ai demandé de me faire plusieurs dessins au crayon, parmi lesquels j’ai choisi le tatouage ci-dessous. Il ne plait pas à tout le monde (certains le trouvent même violent). Pour moi, il a une valeur sentimentale et c’est celui dont je suis le plus fière. Et c’est aussi le plus voyant, notamment en été, car il est en haut de mon dos, au milieu. Et là aussi, je n’ai rien senti ! Le tatoueur m’a même dit que j’avais une peau idéale pour le tatouage : ça glisse comme dans du beurre !



Et vous l’aurez compris, j’ai envie d’un 4e tatouage… je serais bien tentée par un bracelet au poignet droit. Mais comme je n’ai aucune idée du motif et que je ne veux pas tomber dans un classique que tout le monde a, je m’abstiens… et c’est peut-être pas si mal, je n'ai finalement pas très envie de ressembler à une bande dessinée !

Et vous, vous avez des tatouages ou des envies de tatoo ?
ou en avez-vous effacé de votre peau ?
N’hésitez pas à en faire part à Céline…

Crédit photos : © La Parisienne

Simon Werner a disparu...

Non, je ne connais personne de ce nom là et il ne s’agit pas d’un avis de recherche. C’est le titre du premier long-métrage de Fabrice Gobert, qui sort dans les salles le 22 septembre prochain.


L’histoire de ce film m’a renvoyé à mes années lycées : non pas qu’un élève de ma classe avait disparu mais parce que l’époque du film correspond à 1 an près à l’année où j’étais en terminale comme les protagonistes de cette histoire. Enfin bref, il ne s’agit pas de moi ici…. Fabrice Gobert, qui a également écrit le scénario, s’est inspiré d’une histoire vraie qui a eu lieu quand il était en 1ère en 1992.

Mars 1992 dans une petite ville de la région parisienne.
Lors d’une soirée bien arrosée, des adolescents découvrent dans la forêt un corps apparemment sans vie, enfoui dans les broussailles.
Quinze jours plus tôt.
Au lycée Léon Blum, un élève de Terminale C, Simon Werner manque à l’appel. Des traces de son sang sont retrouvées dans une salle de classe. Fugue, enlèvement, suicide, meurtre ? Toutes les hypothèses sont envisagées par ses camarades.
Quelques jours plus tard, une élève de la même classe est notée absente sans que ses parents sachent où elle est. Une jeune fille apparemment sans histoire et sans lien direct avec Simon.
Le lendemain, un troisième élève, toujours de la même classe, disparaît à son tour…


J’ai bien aimé la façon dont ça a été filmé et le dénouement que je n'avais absolument pas deviné (un soupçon à un moment pour au final avoir un doute sur la mauvaise personne… non je ne dirais rien sur la fin du film !). La bande son, signée Sonic Youth, était très bien choisie. Leur musique était comme une évidence pour Fabrice Gobert : "Il y avait quelque chose qui correspondait tout à fait à l’univers du film, quelque chose d’évident qui tenait à la puissance, à la singularité et à la mélancolie qui émanent de leurs chansons".

Un tout petit reproche tout de même : j'ai malgré tout trouvé une certaine lenteur dans le film. En fait, c'est assez paradoxal parce qu'à côté de ça, je ne me suis pas ennuyée. J'ai ressenti également une certaine retenue dans le jeu des acteurs ou peut être un manque de naturel, je ne sais pas trop comment le définir (notamment les interprètes de Jérémie et Alice) mais c‘est sans doute dû au fait que la plupart des comédiens sont peu expérimentés. Pour ma part, je n’avais jamais vu aucun des acteurs sauf Jules Pélissier qui incarne Jérémie mais dans un autre registre. Son visage ne vous est pas inconnu non plus puisqu’il a fait la Nouvelle Star, il y a 2 ans et vous avez pu le voir également dans Bus Palladium récemment.


En tous les cas, pour une première œuvre, d'une manière générale, elle est plutôt réussie. L’intrigue est bien menée et l’idée de chapitrer l’histoire avec le point de vue de 4 personnages est originale, offre un regard différent et apporte des éléments de compréhension au fur et à mesure que l’histoire progresse.

Je vous laisse avec la bande-annonce… et ses mystères (c’est d’ailleurs ça qui m’a donné envie de voir ce film)…. Et n’oubliez pas, ça sort le 22 septembre !



Le Régalty, Capbreton [Landes]

Avant de partir et de retourner à notre vie parisienne, rien de tel qu’un bon restaurant ! A Capbreton, ce n’est pas le choix qui manque question restaurant. Il doit bien en avoir une bonne quinzaine entre le port et la plage.


Mais notre choix s’est porté sur le Régalty, situé sur le port, au niveau de la résidence des Mille Sabords (2 toques au Gault & Millau). Une très bonne adresse où la cuisine y est un régal (oui, je sais, c’était un peu facile mais tellement vrai !).


Vous pouvez opter soit pour la carte, soit pour le menu entrée/plat/dessert à 31 € que je vous conseille grandement. En gros, à deux, en choisissant le menu, une bouteille de vin et 2 cafés, vous vous en sortez avec une addition de près de 90 €, pour un service et une qualité exemplaires.

Vous l’aurez compris, nous avons opté pour le menu, arrosé d‘un délicieux Jurançon sec dont je ne me rappelle malheureusement pas le nom mais c‘était un véritable nectar (le restaurant dispose d‘une très grande cave et d‘un large choix de vins). Quand aux plats, c’est frais, fin, délicat et tellement bon. Je n’ai jamais mangé un cabillaud aussi fondant !

Voici dans l’ordre, l’amuse-bouche (mousse de cabillaud sur émincé de pommes de terres et tomates), salade forestière et poissons fumés, tartare de tomates et crevettes, brochette de saumon et confit d’oignons, cabillaud au crumble de chorizo, chouquettes au chocolat, cannelé et poêlées de fruits de saison et pour finir chocolat aux fruits confits et noisettes pour accompagner le café.









Si vous passez par Capbreton et que vous souhaitez tester une très bonne table, passez donc au Régalty ! Vous ne le regretterez pas… nous, c’est la 2e fois qu’on y allait et c’est toujours un vrai plaisir gustatif !

Crédit photos : © La Parisienne

Le Château de Gaujacq


De retour dans les Landes pour finir les vacances et nous voilà près d’Amou où nous sommes allés visiter le château de Gaujacq, demeure insolite construite au 17e siècle sur un ancien site gallo-romain. Demeure insolite du fait de son architecture. En effet, la cour intérieure fait penser à un cloitre !




Les appartements sont répartis dans chaque aile du château : les appartements du personnel, les petits et grands appartements des officiers (entièrement meublés ce qui rend la visite encore plus agréable !).

Dans la cour, la plupart des arbres sont plus que centenaires tels que les lilas des Indes ou le magnolia (je ne savais d’ailleurs pas que le magnolia pouvait être un arbre aussi gigantesque !)…

Magnolia



A noter que ce château est encore habité par les descendants du dernier propriétaire… c’est d’ailleurs amusant de croiser la propriétaire en train de lire son journal sur sa terrasse quand vous êtes en train de d’écouter et de suivre votre guide !

Et comme dans la plupart des monuments, les photos sont interdites à l’intérieur… vous ne verrez donc pas le plancher en marqueterie, la chambre d’enfant avec tous les jouets dont la poupée qui fait non de la tête quand on lui lève le bras ou encore la magnifique robe à plis Watteau ou même le magnifique mobilier de la chambre dédiée à un cardinal qui n’y a jamais dormi (et dont je ne me rappelle plus le nom…oups !).

Mais profitez-donc des extérieurs !

Armoiries de la famille Cazenave

Le site accueil également le Plantarium, jardin botanique avec 3000 espèces (hélas ce n’était pas la saison de fleurs au moment où nous y sommes allés…)… Elfine vous en parle ici !

Crédit photos : © La Parisienne

Une Passion Indienne [Livres en Chaîne]

Il y a plusieurs semaines déjà, Frannso avait eu l’idée de faire une chaîne de livres où l’on s’offrirait chacun son tour un livre, d’un blog à un autre !

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Le principe est simple : celui ou celle qui prend le relais parle d’un livre sur son blog et décide de l’offrir à la personne de son choix parmi ceux qui se seront manifestés.

Je viens de recevoir pour ma part "L’Ile des Gauchers" d’Alexandre Jardin et qui m’a été offert par Oujette, que je remercie énormément !
Et c’est donc à mon tour de vous parler d’un livre qui m’a passionné (c’est le cas de le dire) :
"Une Passion Indienne :
la véritable histoire de la princesse de Kapurthala"
de Javier Moro



1908 : la superbe danseuse andalouse Anita Delgado épouse le maharaj de Kapurthala. 1925 : la « cinquième épouse » se sépare de son mari et quitte l’Inde. Entre ces deux dates, Anita aura vécu une passion tumultueuse à l’origine d’un des plus grands scandales de l’empire britannique. Une plongée étourdissante dans les fastes d’un monde emporté par l’Histoire, entre conte de fées moderne et roman vrai d’une femme libre.

Anita Delgado a eu une vie incroyable et si riche en événements heureux et malheureux, en ayant toujours eu le courage d‘affronter le monde, d‘aller de l‘avant et de suivre ses désirs. Ce livre permet également d’en apprendre plus sur la vie des maharajah en Inde, le faste et le luxe dans lequel ils vivaient jusqu‘à leur déchéance, ainsi que sur la vie que l’on pouvait avoir dans le reste du monde au début du 20e siècle.

Etes vous, vous aussi, intéressé par le monde indien ?
Par les histoires vraies fascinantes ?

J’offrirais ce livre à la personne dont le commentaire m’aura le plus touchée ou si vous êtes très nombreux, je laisserais la main du hasard faire son choix !

Crédit photo : © La Parisienne

Le sentier d'interprétation de Lendresse

Quand je passe mes vacances en France, je bouge beaucoup… je préfère me balader que de rester trop longtemps sur la plage et puis c’est surtout l’occasion de découvrir nos régions !

Cette année, j’ai découvert les sentiers d’interprétation, notamment à Lendresse, petit village typiquement béarnais (à une trentaine de kilomètres de Pau et une douzaine d’Orthez). Le sentier d’interprétation est un parcours balisé par des panneaux pédagogiques.


A Lendresse, les panneaux vous présentent l’histoire du village, l’habitat béarnais et normalement la flore du gave. Seul problème, c’est que les panneaux expliquant la flore du gave ont totalement disparus ! D’ailleurs quand on y regarde de près, ces panneaux n’ont pas du tout été entretenus, ce qui est dommage.

La balade démarre dans le centre du village et se poursuit en bordure du gave où vous pouvez tout simplement vous promener, faire un parcours sportif ou même pique-niquer (des tables et des barbecues en pierre sont à votre disposition). Il faut compter environ 1h30 pour parcourir tranquillement tout le sentier.
Parcours au bord du gave

Portail du château de Martin du Gard

Aménagement du parcours de santé

Le gave


Faune et flore du gave

Crédit photos : © La Parisienne

S'installer à 2 !!

S’installer à deux dans un appartement quand on a vécu chacun de son côté et qu’on est du genre "conservateur", n’est pas une mince affaire !

En ce qui nous concerne, les choses se sont faites en 2 fois. Il y a un peu plus d’un an, nous nous sommes installés ensemble avec toutes mes affaires et une partie des affaires du Parisien.

Aujourd’hui, le reste de ses affaires est arrivé ! Et nous voilà dans un champ de bataille, à slalomer entre les cartons (c’est là qu’on se dit que finalement l’appartement n’est pas si grand que ça ! Gggrrr). Alors quand Virginie B propose de nous faire gagner une housse de rangement Compactor, je suis partante parce que toutes les solutions sont bonnes à prendre pour ranger tout ça !

© La Parisienne

J’adorerais pouvoir faire appel à un décorateur d’intérieur telle que Sarah Lavoine mais je n’ai pas les moyens de me payer ses services… Peut-être Valérie Damidot aurait-elle pitié de nous et viendrait nous arranger tout ça d’un coup de baguette magique ??? Parce bien évidemment nous n’avons pas assez de placards et encore moins assez de pièces dans l’appartement et donc il va falloir faire preuve d’ingéniosité pour tout caser !! Nous sommes ouverts à toutes vos idées…

En attendant, je rêve notamment à ça…
© IKEA

Maison d'architecte Anne Geistdoerfer © Marie Claire Maison

IKEA parce que ça reste abordable et que le rêve n’est pas si loin … La maison d’architecte parce qu’on peut rêver grand aussi ! Il y en a encore plein d’autres qui me font envie mais ce sont d’autres rêves de grandeur et de grand designer que l’on retrouve dans les magazines de décoration haut de gamme…

Du côté de Tarbes...

Quand je suis dans le Béarn, je visite souvent la région en long, en large et en travers. Il y a toujours quelque chose à voir. Parfois, on pousse la visite chez nos voisins des Hautes Pyrénées. C’est ainsi que j’ai visité, il y a quelques années, Lourdes et cette année, nous sommes allés faire un tour à Tarbes.

Tarbes, située à 40 km de Pau et 20 km de Lourdes, est la capitale de la Bigorre, dans le département des Hautes-Pyrénées dont elle est aujourd’hui la préfecture. C’est aussi une ville militaire. Ville natale du Maréchal Foch, elle abrite actuellement 2 unités militaires en garnison : le 1er régiment de Hussards parachutistes et le 35e régiment d’artillerie parachutiste.

On retrouve près de l'une de ces garnisons, divers monuments commémorant la guerre dont le monument de la Déportation où figure le nom des camps de concentration nazis.


La mairie, édifiée en 1907 et rénovée en 2007, dénote par sa franche monumentalité. Elle est surmontée d'un campanile et fait face à la place Jean Jaurès où trône la statue de Danton. Sur sa façade, on peut lire les devises "Concorde, Liberté, Égalité, Fraternité, Travail".




La place Marcadieu possède 2 fontaines dont la fontaine des "4 vallées", inaugurée en 1897, alliant fonte et pierre, qui représente les vallées de Bagnères, d'Aure, d'Argelès et de Tarbes (restaurée en 2007).

La halle Marcadieu de type baltard a été édifiée en 1905.




L'église Sainte-Thérèse fait face aux halles et à la place Marcadieu. Son histoire commence avec l'établissement de religieux du Mont-Carmel au 13e siècle. Elle est profondément rénovée au 19e siècle par l'architecte de la ville Tiffon. Elle abrite un superbe orgue, de jolies boiseries et quelques belles statues baroques. Le clocher constitue l'élément de l'ancienne abbaye. Il date du 14è siècle et a été récemment restauré.


La principale rue commerçante est très agréable avec toutes ces fleurs accrochées sur les réverbères… mais quand nous y sommes allés, elle était plutôt déserte ! A croire que les Tarbais étaient tous partis en vacances ! (désolée pas de photos de cette rue en entier... j'ai oublié ! oups !)




La ville est jolie et offre plein de monuments à voir (et encore on n’a pas fait les musées et autres sites tel que le haras, créé par Napoléon en 1806 !). Mais j’ai eu une sensation d’arrêt dans le temps en m’y baladant… et surtout en voyant ces boutiques ! J’ai même vu une devanture avec un numéro de téléphone à 6 chiffres, c’est pour dire !!!


Et bien évidemment, on a toujours le plaisir de voir les Pyrénées sur notre chemin… On ne s’en lasse pas (surtout quand on a la chance d'avoir la météo avec nous) !



Crédit photos : © La Parisienne
Merci à Wikipedia pour toutes les informations sur la ville de Tarbes