La Cuisine du Dimanche # 4

Cela faisait bien longtemps que je ne vous avais pas proposé une recette alors voilà une bonne idée d'entrée légère, fraiche et facile à faire. Elle est idéale lorsque vous prévoyez un plat de résistance un peu lourd...
Verrines de tartare de tomates et ricotta

Pour 6 personnes
  • 5/6 tomates moyennes rondes bien fermes
  • 2 à 3 échalotes
  • 250 g de ricotta
  • 3 cuillères à soupe d’huile d’olive
  • 2 cuillères à soupe de Basilic
  • 2 cuillères à soupe de Ciboulette
  • Sel / Poivre

Mélanger la ricotta avec la ciboulette et 1 cuillère à soupe d’huile d’olive, de façon à en faire un mélange crémeux. Saler, poivrer. Disposer le mélange en part égale dans 6 verrines.

Couper les tomates en rondelles, enlever la pulpe et couper la chair en petit dés. Mélanger les tomates avec les échalotes finement ciselées, le basilic et 2 cuillères à soupe d’huile d’olive. Saler, poivrer. Après avoir bien mélangé l’ensemble, disposer les tomates en part égale sur la ricotta.

Servir bien frais.


Crédit photo : © La Parisienne

La Grande Loge de France

Lors des dernières Journées du Patrimoine, nous avons eu l’occasion de visiter la Grande Loge de France. Il est vrai que la Franc-maçonnerie a, de tous les temps, attiré la curiosité et a été également le sujet de beaucoup de rumeurs. Ces journées "portes-ouvertes" ont été l’occasion d'en savoir plus et également de découvrir un lieu pas si fermé et ni réservé.


Le siège de la Grande Loge de France (loge exclusivement masculine) occupe un ancien couvent franciscain depuis son acquisition en 1911. Avant de devenir le siège de la Grande Loge, le couvent a connu plusieurs utilisations : hôpital pendant la 1ère Guerre Mondiale, cinéma puis bal populaire dans les années 20. La Grande Loge reprend les lieux entre 1929 et 1940.

En juin 1940, les coffres seront fracturés et les archives emportées en Allemagne. Les locaux, saccagés, seront confiés à Henri Coston, anti-maçon, pour y établir un "Centre d’Action et de Documentation" contre les Franc-maçon.

La Grande Loge ne reprendra les lieux qu’en 1948. Des travaux en 1967 modifieront les lieux : l’ancien déambulatoire du couvent est couvert pour créer un atrium qui accueille les premières vitrines du musée. Des bureaux sont créés dans les étages. De nouveaux travaux en 1988 permettent d’agrandir les lieux, devenus trop étroits.

A l’occasion des Journées du Patrimoine, nous avons eu le droit à une visite guidée de l’atrium où des pièces très rares ont été exposées spécialement pour l’occasion, de la bibliothèque qui dispose d’une collection de 25 000 ouvrages, dont des livres anciens et d’un temple maçonnique.


Représentation miniature d'un temple maçonnique

Le musée de la Grande Loge de France (8 rue Puteaux, Paris 17e, métro Rome) est ouvert au public du lundi au vendredi, de 10h à 13h et de 14h à 18h. Ainsi que la bibliothèque, les mêmes jours, de 11h à 12h30 et de 14h à 18h.

Pour rester dans cette ambiance maçonnique, j’en profite pour vous annoncer une soirée dédicace à la librairie Detrad (18 rue Cadet, Paris 9e, à côté du Musée de la Franc-maçonnerie, métro Cadet) de Giacometti et Ravenne, les auteurs des aventures du Commissaire Franc-maçon Antoine Marcas (dont je vous ai également parlé ici) le jeudi 28 octobre, de 18h à 20h.


Crédit photos : © La Parisienne

Une vitrine "Rock'n Roll" !

A la sortie du métro Etienne Marcel, l'une des premières boutiques de la rue Pierre Lescot offre une belle surprise : une basket All Stars géante à l'effigie du groupe AC/DC !!
La photo n'est pas terrible parce que prise avec mon portable mais je ne pouvais pas résister à l'envie de vous faire partager cette vitrine "Rock'n Roll" !!


Crédit photo : © La Parisienne

Il reste du jambon ?

Jeudi dernier, les grèves ne nous ont pas empêchés d’assister à la projection privée du premier film d’Anne Depetrini : "Il reste du jambon ?", avec notamment Ramzy Bedia et Anne Marivin. Et fort heureusement !


Anne Depetrini s’est inspirée de sa propre expérience et de son couple avec Ramzy Bedia pour parler de la mixité des couples entre français et arabe (ou "français issu de l’immigration").

Le film raconte la rencontre entre Justine, journaliste télé cantonnée à des reportages peu intéressants (d’ailleurs elle me fait penser à Bridget Jones dans ses reportages !) et Djalil, chirurgien urgentiste. Tout se passe bien jusqu’à ce que leurs différences culturelles viennent interférer dans leur quotidien (le ramadan, le porc, la famille…) et surtout lorsqu’ils doivent passer par la case "présentation aux parents". Là, c’est le choc des cultures entre les parents de Justine, français bourgeois et parisiens et les parents de Djalil, algériens habitant Nanterre.


Anne Depetrini, sans pour autant tomber dans le film totalement romantique ou la caricature, nous présente une histoire d’amour comme on peut en découvrir tous les jours avec des moments drôles et décalés mais aussi des vérités. Comme elle nous l’a raconté avant la projection, elle-même a vu tous ses a priori s’écrouler lors de sa rencontre avec Ramzy et a voulu montrer ce que pouvait être la mixité dans un couple et une famille.

Le film sort le 27 octobre prochain. C’est l’occasion de pouvoir voir une comédie française pétillante, drôle et proche de nous. Et en plus, on passe 1h30 sans s’ennuyer une seule seconde. J’ai trouvé la robe réalisée entièrement en charcuterie vraiment formidable. La mère de Djalil, interprétée par Biyouna, m’a fait penser par certains côtés à ma mère et le père de Justine, interprété par Jean-Luc Bideau, m’a fait penser à mon père !! Je suis ressortie de la projection toute enjouée, le sourire plaquée sur le visage ! Bref, ce film, je l’ai adoré !

Et la bonne nouvelle, c’est que j’ai l’occasion de vous faire gagner des places (valables dans toute les villes de France) pour "Il reste du jambon ?", soit 2 places pour 5 d’entre vous. Pour cela, ce sera très simple : il vous suffit de laisser un commentaire ici (ou sur la page Facebook du blog). Vous avez jusqu’au 25 octobre prochain, minuit, pour participer. Et comme d’habitude, c’est le Parisien qui procèdera au tirage au sort !

Merci à Céline et Vincent pour nous avoir invités à la projection, leur super accueil et les photos (et bien évidemment les places de ciné) !

Au détour de la rue Lafayette

A l’angle de la rue Lafayette et de la rue de l’Aqueduc, au niveau de la station de RER Magenta, vous pourrez y découvrir plusieurs œuvres artistiques !

Tout d’abord, l’angle de l’immeuble est recouvert d’une œuvre de l’artiste François Boisrond : "un coup de chapeau à Paris" (2001). J’aime bien cette représentation de Paris de part surtout son côté figuratif.


Et puis en regardant plus près du sol, j’ai découvert d’une part un space invader (et un de plus dans ma collection !) et d’autre part fait la découverte d’autres œuvres de Mr Brainwash (dont je vous ai parlé ici… Certaines de ses œuvres sont actuellement exposées dans le Printemps du boulevard Haussmann) : un Albert Einstein en piteux état et Charlie Chaplin (côté rue Lafayette).




Crédit photos : © La Parisienne

Kitchen Diet ou comment simplifier son régime !

Depuis plus de 4 ans, j’ai 5 à 7 kgs en trop bien installés. J’avais déjà un problème de poids il y a environ 8 ans et j’avais alors consulté une diététicienne qui m’avait permis de rééquilibrer mon alimentation (réapprendre à bien me nourrir, surtout !) et de perdre 12 kgs ! Vous l’aurez compris, j’ai tendance à prendre assez facilement du poids. Mais autant il y a 8 ans, j’avais une très forte volonté, autant aujourd’hui j’ai beaucoup de mal à me lancer et pourtant je sais ce que j’ai à faire… je me suis dit que peut être j’avais besoin de changement. Alors je me suis intéressée à plusieurs possibilités…

Tout d’abord, le régime Dukan, celui dont tout le monde parle et aussi parce que je connais des personnes qui l’ont fait et m’en ont vanté les mérites. J’ai alors acheté le livre : le mieux c’est de s’informer avant de faire quoi que ce soit ! Bien que Pierre Dukan précise que son programme est sans contrainte, j’ai quand même un peu de mal à me lancer dans une régime quasiment composé que de protéines jusqu’à la perte totale des kilos en trop ! Quid des fruits et des produits laitiers ! Et ça, ça me gêne.

Ensuite, j’ai un peu étudié la question Weight Watchers (sur les conseils de 2 personnes qui avaient perdus du poids en utilisant cette méthode) mais seulement à partir des éléments que j’ai pu lire sur leur site internet.
L’idée est intéressante et surtout moins contraignante qu’un régime classique où il faut calculer les quantités. En effet, chez Weight Watchers, c’est un système de point : chaque aliment a une valeur et vous avez le droit à un nombre de point par jour. A vous d’équilibrer vos repas, ne pas faire d’excès mais surtout vous avez la possibilité de manger tout ce que vous voulez, même un gâteau si ça vous tente ! Et je vous avoue que l’idée de ne pas avoir à me priver de quoi que ce soit, est assez tentante.

Et puis, un jour, j’ai découvert Kitchen Diet, un programme diététique livré à domicile, lors du lancement de 3 nouvelles recettes de pates, conçues par Mauro Colagreco et Fabio Barbaglini. Kitchen Diet vous propose plusieurs programmes adaptés à vos besoins et votre mode de vie. Vous pouvez alors commander, pour 8 à 32 jours, soit le programme complet, soit semi-complet si vous voulez garder un repas libre, soit à la carte et le tout livré chez vous, même le soir après 19 h !!
Kitchen Diet propose des plats entièrement préparés que vous pouvez réchauffer au micro-ondes. Dans le cas d’un programme complet, vous recevrez un menu pour la journée du petit-déjeuner au diner, en passant par la collation. Toutes les recettes ont été conçues par un chef étoilé, Mauro Colagreco, consacré chef de l’année 2009 par Gault-Millau !

J’ai testé une semaine de programme Kitchen Diet. J’ai opté pour la carte, soit 5 plats. Et j’ai donc réorganisé mes repas :

  • Petit - Déjeuner : 1 yaourt 0% avec 1 portion de fruit, 2 tranches de pain, confiture et un café léger sans sucre,
  • Déjeuner : 1 plat Kitchen Diet, 1 compote sans sucre ou 1 portion de fruit frais,
  • Diner : 1 repas fait maison (viande ou poisson, légume, féculent) et/ou fromage (à la place de la viande/poisson), yaourt
Pendant ces 5 jours, je n’ai pas forcément été des plus raisonnables car parfois j’ai fait quelques extras : verre de vin, crème caramel ou pana-cotta. Et surtout je n’ai pas fait de collation ce qui pousse le soir à manger plus. Mais malgré tout ça, j’ai quand même perdu près de 800 grs en 5 jours ! Et surtout, je me suis régalée avec les plats Kitchen Diet. Les plats sont légers et parfumés : il n’y a aucune sensation de gras, on ressent bien les saveurs de chaque aliment.

Lors de cette semaine test, j’ai goûté aux plats suivants : filet de cabillaud, piperade au chorizo et persil ; filets de poulet, pousses de bambou, topinambours au lait de coco ; lasagnes végétariennes (ricotta & épinards) ; tagliatelles et canard à la sarde ; penne au saumon, tomates séchées, brocolis et crème de fenouil. Il existe 14 recettes différentes, de 250 à 300 Kcal par plat. Les portions sont suffisantes et en complétant avec un fruit, je n’ai eu aucune sensation de faim en sortant de table.

Dans tout régime, on vous dit qu’il ne faut pas manger trop de féculent et encore moins de pâtes car c’est aussi un glucide, donc du sucre ! Or, Kitchen Diet en lançant 3 recettes de plats de pates vous prouve le contraire ! On peut manger des pates en plat unique tout en se faisant plaisir et sans culpabiliser !

Pour en savoir plus, je vous invite à consulter le site de Kitchen Diet. Vous y découvrirez des informations sur l’équilibre nutritionnel (une découverte pour certains ou un rappel pour d’autres), des explications sur les différents programmes proposés et tous les tarifs. Kitchen Diet ne vous propose pas seulement des plats préparés mais également un suivi par une diététicienne.

Ce qui est d’autant plus intéressant avec Kitchen Diet, c’est que ce programme s’appuie sur des éléments de base que toute personne se doit de connaitre en nutrition : manger sain et équilibré, de tout et surtout sans excès. C’est aussi simple que ça…Et j’en reviens toujours à ce que ma diététicienne m’avait appris, il y a 8 ans.
Il faut bien le reconnaître, tout ne peut pas être parfait et les programmes Kitchen Diet (que ce soit le programme complet ou à la carte) ont un coût et demande un minimum d'investissement. Je ne peux pas me le permettre pour le moment mais si j'en avais les moyens, ce serait un très bon compromis pour pouvoir faire un régime tout en travaillant et ainsi éviter les restaurants le midi !
Et là, vous vous dites alors : elle en est où avec ses kilos en trop La Parisienne ? Et bien, pas bien loin, hélas ! Parce qu’il ne suffit pas de trouver la solution la mieux adaptée mais il faut aussi beaucoup de volonté et de motivation… Il semblerait qu’il me manque ces derniers éléments pour pouvoir mener à bien cette mission.

A suivre…

Merci à Marion de Kitchen Diet pour m'avoir fait découvrir ce programme.
Crédit photos : © La Parisienne

De l'Oeil Mystère au Citadium Beaubourg

Tout a commencé avec l’œil mystère si mystérieux que je n’ai absolument pas deviné ce que c’était jusqu’à ce que le mystère soit enfin dévoilé le 18 septembre : il s’agissait de l’ouverture d’un nouveau magasin Citadium, situé près de Beaubourg.



Le 29 septembre dernier avait lieu l’inauguration du magasin et nous voilà partis pour la crémaillère du Citadium Beaubourg, un espace sur 2 niveaux consacré au street wear masculin. J’ai beaucoup apprécié la déco avec des visuels street art sur fond blanc.






Le magasin, de taille moyenne, est lumineux et très agréable. Dommage qu’il ne soit consacré qu’à l’homme car j’aurais aimé y faire un tour de temps en temps pour moi. Messieurs, je pense que vous apprécierez ce nouveau magasin ! A l’occasion de cette soirée exceptionnelle, des effeuilleuses, "Juliette Dragon & ses filles de joie", ont fait l’animation ainsi qu’un artiste qui exécutait en direct une peinture sur le corps d’une jeune femme… le tout accompagné d’un délicieux cocktail dinatoire.

A partir de 20h30, nous avions à disposition une navette pour nous amener au Citadium Caumartin où se prolongeait la fête entre amis. Longtemps consacré au sport, Citadium s’est désormais beaucoup plus orienté vers le street wear et autres modes casual, hip-hop et sportswear. Bref une mode moderne et confortable !



Nous avons ainsi pu découvrir toutes les animations présentes à tous les étages : sacs Eastpak personnalisés, photos personnalisés sur certains stands comme MAC, dégustations de glace au yaourt 0 % (d’ailleurs, ça n’a aucun goût. Aussi je vous conseille de l’agrémenter de morceaux de brownie ou d’amandes), concerts et biensûr toujours à disposition boissons et gourmandises !


Quel plaisir de pouvoir faire les magasins de nuit et surtout dans ces conditions ! Au final, on a passé une superbe soirée…. Et en plus, nous avons eu la chance de repartir avec 2 des 3 figurines collector (le marron et le rose) Xdye Lazy Bear de Pull & Bear, créées par Alexandre Reverdin, designer suisse de 31 ans.

© Geek Asia

Crédit photos (sauf mention contraire) : © La Parisienne

Philippe Katerine au Studio SFR

Le Studio SFR de la rue Tronchet (Paris, 8e) organise régulièrement des showcases pour lesquels on peut obtenir une entrée... ou deux, en général la veille du concert, en se présentant sur place.

Le 22 septembre dernier, je suis donc allée chercher ce fameux sésame et j'ai découvert, à mon grand désarroi, que je ne pouvais avoir qu'un seul pass ! C'est donc le Parisien, le plus fan de nous deux, qui a assisté au concert... et c'est aussi lui qui en fait ici (pour la première fois) le récit !

© La Parisienne


Pas facile de se procurer une des 70 invitations pour assister au concert promotionnel de l’artiste français le plus décalé, déjanté, borderline, mais aussi le plus attachant, surtout depuis qu’il a décidé de poser avec sa maman et son papa sur la pochette de son nouvel album.

Mais c’est dès 20h que je fais partie des heureux fans qui remplissent le studio SFR, renforcés par un nombre un peu plus important de curieux et bien sûr d’une petite foule de VIP. Mention toute spéciale pour la plus classe d’entre tous, Arielle Dombasle, décalée dans cet univers mais aussi finalement tellement à sa place au sein de ce public hétéroclite.

C’est bien pour jouer le jeu de la promotion de son nouvel album que le bien nommé Philippe Katerine - puisque c’est lui dont je veux vous parler- entre en scène en s’avançant peu à peu près du micro en chantant a capela "Je m’éloigne d’autant que je m’approche" pour enchaîner aussitôt sur "Bla bla bla", les deux premiers titres de son nouveau CD. Deuxième mention spéciale pour le costume de Katerine qui arbore fièrement un bas de soutane blanche et un polo de sport bleu et blanc tout en étant perché sur des tennis blanches à semelles compensées.



Les chansons se succèdent. Toutes sont nouvelles et le public découvre des paroles si efficaces de simplicité et de vérité que les sourires fleurissent dans l’audience à chaque bon mot. Inutile de dire que l’interaction avec le public est immédiate et permanente. Katerine est touchant de drôlerie mais aussi de sincérité. Après quelques titres, il est maintenant en kilt laissant apparaître son poil aux pattes au dessus de ses hautes chaussettes blanches ! Effet garanti.



On en redemande et le public reprend en chœur le refrain du seul morceau déjà connu "La banane", rajoutant encore plus d’euphorie dans cette foule qui ne finit pas de s’amuser des facéties de Monsieur Katerine. Oui, je dis Monsieur car arriver à vous mettre en tête une image de sac en plastique avec une simple chanson ou se permettre de vous donner un conseil : faire du velib’… la nuit… sous ectasy. C’est exactement l’absurde qui correspond à notre mode de vie actuelle.




Le concert se termine finalement avec le seul titre qui ne fait pas partie du nouvel album. C’est l’incontournable, vous l’aurez deviné, "J’adooooooooooooooore regarder danser les gens". Le fameux "Louxor (j’adore)". Un grand coup de chapeau d’ailleurs aux trois musiciens, le guitariste Philippe Eveno, le bassiste Sébastien Moreau et le batteur Grégori Czerkinsky qui assurent un arrangement rock qui fait groover ce titre, pas forcément évident à mettre en place sans l’arrangement synthé-boîte à rythme original.



Difficile ensuite pour le public de se contenter de voir Katerine partir et ne pas revenir pour un rappel alors que ce titre, même s’il représente un final magnifique, invite à faire la fête jusqu’au bout de la nuit.

Et c’est d’ailleurs dans la nuit que je sors prendre mon métro avec encore dans la tête une des nouvelles ritournelles que je viens de découvrir et ne suis pas prêt d’oublier. Et je m’aperçois que le sourire n’a toujours pas quitté mes lèvres. C’est ça l’effet Philippe Katerine !


Inutile de vous préciser que le week-end qui a suivi, l'album était acheté et tournait en boucle à la maison !!

Crédit photos : lestudiosfr.fr