{Cinéma} Morning Glory

Si vous mélangez le scénariste de "Le Diable s’Habille en Prada" (Aline Brosh McKenna), le réalisateur de "Coup de Foudre à Notting Hill" (Roger Michell), le producteur de "Lost" et "Fringe" (et accessoirement également le créateur de "Felicity" et "Alias", J.J. Abrams), ajoutez-y quelques pointures du cinéma telles que Diane Keaton, Harrison Ford, Jeff Goldblum et la génération montante telle que Rachel McAdams et Patrick Wilson, vous obtenez alors une excellente comédie dans le monde de la télévision : MORNING GLORY qui sera sur vos écrans le 6 avril prochain !


De quoi ça parle ? Bien qu’elle soit jeune, jolie, dynamique et ambitieuse, Becky Fuller (Rachel McAdams) est en pleine traversée du désert professionnelle et sentimentale. Aussi, lorsqu’on propose à cette productrice TV de reprendre "Daybreak", la matinale la moins regardée du pays, elle accepte le défi sans hésiter. Pour booster l’audience, elle décide d’engager Mike Pomeroy, le journaliste de légende de la chaîne (Harrison Ford). Mais le charisme de Mike n'a d'égal que ses caprices de star et ses relations sont électriques avec Colleen Peck, sa co-présentatrice (Diane Keaton). Les coups bas hors-plateau s’accompagnent très vite de petites phrases assassines à l’antenne… Dans le même temps, Becky craque pour un producteur de la chaîne, mais sentiments et travail ne font pas toujours bon ménage. Parviendra-t-elle à sortir l’émission de l’impasse et à trouver l’amour ?


Le cœur du film met un peu de temps à se mettre en place mais une fois que l’action est en marche, le film prend un bon rythme. Certaines scènes m’ont fait beaucoup rire et je n’ai pas manqué de verser une p’tite larme au moment où l’émotion était plus présente (il faut tout de même préciser que j’ai la larme facile…). Becky m’a fait penser à Bridget Jones. A la différence qu’elle est beaucoup plus concentrée sur sa carrière que sur sa vie amoureuse. Son boulot, c’est toute sa vie. Diane Keaton est excellente dans son rôle de présentatrice narcissique et superficielle. Quand à Harrison Ford, il est plus que crédible dans son rôle de grincheux cynique et égoïste, pour qui l’information et le divertissement ne peuvent absolument pas être liés.


J’ai bien aimé découvrir l’envers du décor d’une émission de télévision, dont le réalisme est bien rendu dans ce film. Sans oublier le plaisir de voir New York encore et toujours... et une bande-son très sympa ! Si vous avez aimé "Le Diable s’habille en Prada" et "Coup de Foudre à Notting Hill", il y a de fortes chances pour que "Morning Glory" vous plaise également.




Et n’oubliez pas, le film sera dans les salles le 6 avril !


Crédit photos : © 2011 Paramount Pictures. Tous droits réservés

Mondrian & De Stilj, une découverte intéressante...

De Mondrian, je ne connaissais que ses œuvres abstraites, géométriques, n'utilisant que des couleurs primaires, du blanc et du noir. Et ce, en partie, grâce à la robe signée Yves Saint Laurent.


Devotion - Mondrian

Bois près d'Oele - Mondrian

Jusqu'au 21 mars, le centre Pompidou présentait une exposition reprenant le travail de Piet Mondrian et du mouvement qui doit son nom à une revue à laquelle il a contribué : De Stilj (Le Style, en néerlandais). Avec le Parisien, nous nous sommes finalement décidé à y aller l'avant dernier jour et nous ne le regrettons pas.

Bois composition VI - Jacoba van Heemskerck

Pour ma part, j'ai découvert un mouvement artistique du début du 20ème siècle que je ne connaissais pas et qui allait bien au delà de la peinture. De Stilj était au départ une revue (de 1917 à 1928) consacrée aux arts plastiques et à l'architecture, créée par Theo van Doesburg.

Mouvement héroique - Theo van Doesburg

Relief neo plastique n°10 - Cesar Domela (1930)

J'ai été particulièrement surprise par la grandeur de cette exposition. Très souvent, on paye 10/12 € pour faire une visite assez rapide. Ce qui ne fut pas le cas avec l'exposition Mondrian. La première et la troisième partie sont consacrées au mouvement De Stilj, depuis les sources au développement du mouvement et se terminant par l'architecture. La seconde partie montrait le travail de Mondrian, des exemplaires de revue et d'articles qu'il avait écrit, des photographies d'époque et même la reconstitution de son atelier situé au 26 rue du Départ.



Composition en rouge, bleu et blanc II - Mondrian (1937)


J'ai trouvé cette exposition très intéressante et passionnante. Et pour une fois, j'ai pu regarder les œuvres sans avoir 10 personnes devant moi et ainsi pu apprécier l'exposition. J'ai été fort surprise par l'avant-gardisme des architectes de cette époque. Dans la dernière salle, étaient affichés des projets d'habitations collectives. Il est alors difficile de se dire que ces plans datent des années 1930, tant la ressemblance avec les habitations construites dans les années 70 de nos chères banlieues est frappante !


J'aime aussi le style épuré de Mondrian. La simplicité de ses oeuvres cache la compléxité et la minutie de leur réalisation. Et c'est sans doute ce qui me plait dans le travail de Mondrian.

Crédit images : Google

Un moment de bien-être de courte durée...


La semaine dernière, le soleil s'immisçait dans l'appartement dès 7 heures du matin. Les rayons passaient au travers des volets et cela présageait une magnifique journée. On dit que le soleil remonte le moral. Je confirme : ces quelques journées ensoleillées nous ont bien reboosté après cet hiver bien gris et surtout très froid.


Mais ça n'aura duré qu'une semaine ! Les nuages sont revenus et avec eux, ont apporté la pluie ! Samedi dernier, la météo annonçait le retour du soleil pour le week-end ! Pourvu qu'ils aient raison !

Je commence à en avoir marre de la grisaille... pas vous ?

Ceci est ma contribution aux moments de bien-être demandés par The Parisienne. Et si vous aussi, vous voulez gagner du thé Kusmi, c'est ici !

Edit du jour : Finalement ce billet a rompu le mauvais sort du week-end ! Aujourd'hui fut une belle journée de Printemps ! Pourvu que ça dure !

Crédit photo : © La Parisienne

Les toits de Paris sous le soleil !

Dimanche, avec le Parisien, nous avons profité du soleil. C'était aussi l'occasion de prendre quelques photos des toits de Paris depuis Beaubourg. Ainsi vous pourrez voir au loin la Basilique du Sacré Coeur, l'église Saint Eustache, la Bourse du Commerce ou encore la Tour Eiffel !





Crédit photos : © La Parisienne

Shiseido et moi

Le 3 mars dernier, Manu offrait à 5 de ses lectrices la possibilité de participer au salon de la beauté de Shiseido. Et la chance a fait que je sois parmi les heureuses bénéficiaires de ces 3 heures de conseils beauté !

Shiseido, je connaissais la marque seulement de nom et n’avais jamais testé un seul de leur produit. A vrai dire, concernant ma peau, je fais le strict minimum et question maquillage, c’est à peu près la même chose… alors je n’ai jamais vraiment beaucoup investi dans les produits de beauté et je ne m’y suis jamais vraiment intéressée, étant plutôt fidèle aux quelques produits que j’utilise (seulement 2 ou 3 en fait car d’autres sont même encore dans leur emballage ! ça fait très joli dans la salle de bain !).
J’ai ainsi découvert la méthode soins en 3 points : nettoyer – adoucir – hydrater. Je ne fais jamais la phase 2 et les 2 autres phases seulement le matin. Or pour une belle peau, ce rituel doit être fait matin et soir. Nous avons donc commencer par compléter un questionnaire afin de déterminer quel type de peau nous avions et surtout quelle gamme de produits Shiseido était le plus adaptée.

Pour ma part, ma peau a besoin des soins "haute vitalité" avec les gammes "The Skincare" et "Pureness". La formatrice Shiseido qui s’est occupée de moi m’a conseillée d’utiliser des produits des 2 gammes et m’a fait essayer la lotion adoucissante concentrée de la gamme "Future Solution LX" pour atténuer la sensibilité de ma peau. Cette lotion est totalement sublime, tant par sa texture que par la sensation qu’elle procure sur le visage. J’ai été totalement convaincue par ce produit (et pourtant je suis assez difficile à convaincre dans le domaine soins et cosmétique)… mais j’ai été un peu refroidie par son prix (93 €). Hélas je ne connaitrais pas la joie de pouvoir l’utiliser chaque jour…



Par contre, les autres produits sont beaucoup plus accessibles à mon porte-monnaie. Alors j’ai craqué pour le fluide mousse nettoyant "Pureness" (pour commencer).



Après la partie soins, nous avons eu le droit à une leçon de maquillage personnalisée. J’avais déjà eu quelques conseils auparavant mais la vie "trépidante" que je mène fait que le matin je n’ai que très peu de temps à consacrer au maquillage. Résultat je ne maquille que mes yeux et assez simplement. Je suis ressortie du Bon Marché sublimée ! Et je ne vous parle pas de la tête du Parisien quand il m’a vu : il en est resté bouche bée… et a même pris des photos pour immortaliser ce grand moment…



J’ai été plus que ravie de profiter de cet atelier beauté parce que j’ai pu m’occuper de moi mais j’ai aussi découvert des produits de qualité qui m’ont plus que convaincue. Je pense que ce n’est que le début d’une longue histoire entre Shiseido et moi.

Merci à Manu, à toute l’équipe Shiseido des Salons Privés de la Beauté du Bon Marché pour leur accueil chaleureux et en particulier à Orianne, pour ses bons conseils.


Crédit photos (hors produits Shiseido) : © La Parisienne

Le retour du Bébé Cadum sur les murs de la ville

Le bébé Cadum, vous connaissez ? Ce savon français a été créé en 1907, dont le bébé est devenu le symbole en 1910.

C’est alors avec une agréable surprise que j’ai vu ce bébé joufflu et tout sourire en haut d’un immeuble, affichant de belles couleurs lumineuses (surtout avec le temps gris qu’il faisait le jour où j’ai pris la photo), sur le boulevard Montmartre.

C’est une bonne idée la rénovation de ces anciennes pubs peintes sur les murs de la ville. Par contre, je ne sais pas si cela s’applique à toutes les publicités.



Crédit photos : © La Parisienne

Lifting du Printemps, Acte # 2

Il y a maintenant 2 ans, le Printemps Haussmann (Paris, 9e) entreprenait de grands travaux de rénovation de sa façade (je vous en avais parlé , puis et enfin ici). Un grand nettoyage de "printemps" en fait... (et oui, le jeu de mot est facile mais je n'ai pas pu m'en empêcher !)
Il restait toutefois une partie de façade qui n'avait pas eu le droit à son nettoyage, du côté de la rue du Havre. Et il faut dire que ça dénotait un peu avec le reste de l'immeuble à l'aspect flambant neuf !
Côté rue du Havre, habituellement on pouvait voir une immense affiche publicitaire. En passant dans le quartier début février, j’ai découvert que l’affiche avait été enlevée. Et là, j’ai constaté avec horreur l’état de la façade : totalement noircie par la pollution ambiante ! Alors autant dire que ce nettoyage, ce n’est pas du luxe ! Vont-ils, comme en 2009, recouvrir les échafaudages ? A suivre...




Crédit photos : © La Parisienne

Un dirigeable dans le ciel parisien !

Hier, j’ai eu la surprise de voir un dirigeable dans le ciel parisien. J’en avais entendu parler sur Twitter dimanche mais je pensais qu’il s’agissait d’une action ponctuelle.

En fait, ce dirigeable survolera Paris jusqu’au 20 mars, en basse altitude. Il a pour but de mesurer la radioactivité ambiante. Alors si vous êtes sur Paris, en ce moment, pensez à lever la tête vers le ciel, vous aurez peut être la chance de l’apercevoir.

Certains l’ont vu dans le 18e arrondissement. Quant à moi, je l’ai vu au dessus de la gare de l’Est (Paris, 10e). A mon grand étonnement, le dirigeable se déplace très vite, ce qui m’a tout de même permis de le prendre en photo de plus près.
Pardonnez-moi pour la piètre qualité des photos mais je n’avais que mon téléphone sur moi !





Crédit photos : © La Parisienne

Les gourmandises de la "Mère de Famille" !

"A La Mère de Famille" est la plus ancienne confiserie de Paris. Fondée en 1761, rue du Faubourg Montmartre, Paris 9e, la boutique était initialement une épicerie, avant de devenir une confiserie en 1856. La devanture est inscrite aux Monuments Historiques en 1984.

J’ai toujours aimé cette devanture et son charme d’antan. Et si je vous dis, que la gourmande que je suis n’y est jamais entrée, vous me croyez ?



Crédit photos : © La Parisienne

L'horloge de la Bibliothèque Nationale (Site Richelieu)

Le site Richelieu de la Bibliothèque Nationale de France est un lieu historique, regroupant plusieurs batiments et qui est actuellement en pleine rénovation.
L'accès principal de la Bibliothèque Nationale se fait par la rue Richelieu. Mais si vous passez du côté de la rue Vivienne, vous pourrez voir cette magnifique sculpture de façade qui entoure l'horloge située à l'angle des rues Colbert et Vivienne.
Comme d'habitude, c'est encore tout à fait par hasard que je l'ai découverte. Je suis passée des dizaines de fois dans cette rue, sans jamais la remarquer... et puis un jour, j'ai levé la tête ! Je n'ai malheureusement pas réussi à trouver son auteur. Alors si vous avez des informations à son sujet, n'hésitez pas à m'en faire part.




Crédit photos : © La Parisienne

Le Zinc des Cavistes

Le Zinc des Cavistes, voilà une bonne adresse parisienne que je vous conseille, que ce soit pour prendre un verre, déjeuner ou diner. Avec le Parisien, nous avons testé les 3 options et nous avons été ravis de l'accueil et du service à chaque fois !
Le cadre est agréable, surtout au 1er étage où la salle est plus cosy du fait de ses lumières basses et des tons chauds de l'ensemble. Les plats et les desserts sont délicieux. Pour les adeptes du poisson, il y a un plat différent chaque jour (selon la pêche du jour). Et la carte des vins vous offre un large choix que ce soit au verre ou à la bouteille.
Alors si vous voulez tenter l'expérience du Zinc des Cavistes, rendez-vous au 5 rue du Faubourg Montmartre, Paris 9e (métro Grands Boulevards, en face du Palace, tél. 01.47.70.88.64).











*** Edit 2018 ***
Le restaurant a définitivement fermé

Crédit photos : © La Parisienne

La Gaîté Lyrique

L’actuel théâtre de la Gaîté a été construit en 1862, rue Papin, dans le 3e arrondissement. Initialement dédié au théâtre, le Conseil de Paris décida d’y jouer des opéras lyriques. Le théâtre fut baptisé le théâtre de la Gaité Lyrique en 1907.

Après avoir accueilli une école du cirque, un parc d’attraction et avoir été fermé pendant près de 20 ans, le théâtre de la Gaîté Lyrique vient de rouvrir ses portes le 2 mars dernier. Cet espace est désormais dédié aux arts numériques et aux musiques actuelles. Une carte d'adhérent (infos pratiques ici) vous permet, entre autres, d'accéder gratuitement à toutes les expositions et conférences.

Lors de la 1ère semaine d’ouverture, vous pouviez visiter et découvrir exposition, concert et autres événements gratuitement. Avec le Parisien, nous y avons fait une escale samedi dernier pour voir l’exposition proposée par le collectif United Visual Artists (UVA). Le parcours de lumières, sons et images nous a permis de visiter la Gaîté Lyrique.

Un style très particulier, très moderne qui ne me parle pas forcément mais qui fut tout de même intéressant à voir. Mais la partie que j’ai préféré c’est tout de même le foyer historique qui a conservé la décoration d’origine du théâtre.








Crédit photos : © La Parisienne