La Cité Internationale universitaire de Paris

Lors d’une balade dans le 14e arrondissement, j’ai découvert la Cité Internationale universitaire, un lieu absolument fantastique. Il regroupe un ensemble de résidences universitaires, chacune représentant un pays. Chaque résidence a une architecture différente. On doit notamment le pavillon suisse (construit entre 1931 et 1933) à l’architecte Le Corbusier.

"La Cité internationale universitaire de Paris (CIUP) est une fondation de droit privée regroupant un ensemble de résidences universitaires situé dans le 14e arrondissement de Paris entre la porte de Gentilly et la porte d’Orléans." (in Wikipedia)


Etudiante, j’aurais aimé vivre dans cette cité universitaire. Elle me fait penser aux campus américains. Et vous, connaissiez vous ce lieu ?







Le Pavillon Suisse par Le Corbusier



Crédit photos : © La Parisienne

Guide de Paris en métro

Je ne compte plus le nombre de guides que j’ai sur Paris et chacun a sa particularité et me permet d’en découvrir toujours un peu plus sur notre Capitale.


Le Guide de Paris en métro vous fait faire le tour de la ville en prenant le chemin de ce transport que nous sommes des milliers à arpenter chaque jour. Le métro fait partie intégrante du quotidien du parisien !

Le guide reprend donc les 14 lignes de métro. En introduction de chaque chapitre, il y a un historique de la ligne de métro puis un focus sur les principales stations de cette ligne, avec un peu d’histoire, les curiosités à voir (monument, architecture, balade, lieux culturels ou incontournables…) et l’adresse du bistrot où se donner rendez-vous. Le tout illustré de plans et de photos.


Il a une présentation très claire et sa taille permet de le glisser dans le sac. Son poids moyen (un peu plus lourd qu’un livre de poche mais un peu moins qu’un livre broché) et sa couverture renforcée, en font un livre à usage illimité !

Et aujourd’hui, j’ai la possibilité de faire découvrir ce guide à l’un d’entre vous. Alors si vous aussi, vous souhaitez arpenter les lignes de métro de façon différente et en savoir un peu plus sur les stations, il vous suffit de me dire que vous souhaitez avoir ce guide en commentaire ici ou sur la page facebook du blog (les commentaires anonymes ne seront pas pris en compte) et de me raconter une anecdote sur le métro et vous !
Vous avez jusqu’au vendredi 7 octobre, minuit pour participer. J’annoncerais le gagnant en édit de ce billet.
Merci à Eloi de Triple C pour ce guide.

Crédit photos : © La Parisienne



****************** Edit du 9 octobre 2011 ******************

Merci à vous tous pour votre participation et vos anecdotes, tantôt drôles, tantôt touchantes… Il m’a été difficile de départager parmi les 16 participants (commentaires blog et facebook) alors j’ai laissé place au hasard, dénommé "Random" !


Félicitations à Jérôme !
Merci de m’envoyer rapidement vos coordonnées postales à
laparisiennedunord@gmail.com pour l’envoi du livre.
Bon dimanche à tous !

Un goûter chez Oh mon cake !


J’avais entendu parler de cette adresse et passant dans le quartier (près de Palais-Royal), c’était l’occasion de tester notamment leurs cupcakes.
Jusque là, je n’avais testé que les cupcakes de Berko (dont je vous ai parlé ici) ou tenté d’en faire moi-même (je vous ai donné la recette ici).

Ne vous fiez pas au petit espace devant le comptoir, vous pouvez déguster sur place leurs recettes car il y a une salle au 1er étage.




Le choix a été difficile car tout faisait envie. J’ai opté pour un cupcake mojito et un cupcake banane/fraise/chocolat. Quant au Parisien, il a choisi le cake pamplemousse/framboise.

Tout était délicieux. J’ai été surprise par le mélange de saveur et je ne m’attendais pas à ce que la banane, la fraise et le chocolat se marient si bien. Tout comme je n’aurais jamais eu l’idée de faire un cake avec du pamplemousse.
Le cupcake mojito, très acidulé, et est celui que j’ai le moins apprécié mais tout simplement parce que je n’aime pas les zestes d’agrumes et j’ai été gênée, dans ma dégustation, par les zestes de citron vert.




Si vous passez par Palais-Royal, n’hésitez pas à une faire une halte chez Oh mon cake. Pour ma part, j’y retournerais, ne serait-ce que pour tester les recettes salés.

Oh mon cake !
154 rue Saint Honoré, Paris 1er
Tél. : 01.42.60.31.84
Métro Palais-Royal
Ouvert du mardi au samedi, de 10h à 19h
Brunch le dimanche, à partir de 11h30





PS : Je profites de ce billet "spécial cupcake" pour vous parler du Cupcake Camp qui a lieu le dimanche 2 octobre, de 15h à 17h, au Comptoir Général, 80 quai de Jemmapes, Paris 10e!

Voilà l’occasion de tester des dizaines de cupcakes ! Avis aux gourmands !




Crédit photos : © La Parisienne


*** Edit novembre 2019 ***
Le restaurant est fermé mais vous pouvez profiter des douceurs Oh mon cake ! via l'e-shop.


« Monter la vie à cru », une lecture pour adulte !

Lorsque Georges Lautier, l’auteur de "Monter la vie à cru", m’a contactée pour lire son roman, j’ai été flattée. Je ne suis en aucun cas une critique littéraire mais comme tous les lecteurs, j’ai un avis bien à moi sur mes lectures.



Avant d’entamer le livre, je ne connaissais que la 4e de couverture :
"Zelma et Hunt, personnages principaux de Monter la vie à cru, ne sont pas des êtres conventionnels. Ils ont vécu intensément les dernières années de cette période faste que l’on a appelée "Les Trente Glorieuses".
A cette époque, portée par un sentiment de puissance illimitée qui avait soulevé le monde économique, la société évoluait à grande vitesse. Les êtres s’exprimaient et les femmes profitèrent des ouvertures qui s’offraient à elles.
Zelma et Hunt, au sein de cette explosion vitale et créatrice, eurent l’opportunité, voire l’intelligence, de s’affranchir des contraintes qui avaient ligoté leurs ainés. Leur grandissement fut une aventure, leur avancée une douloureuse exploration, mais combien épanouissante, valorisante, libératrice !
On ne peut qu’aimer ce couple : ils s’aimaient tellement l’un, l’autre."

Après avoir été trompée, une femme peut-elle se sentir libérée du serment de fidélité qui la liait à son mari? Peut-elle accéder à une vie sexuelle autonome?
Zelma s'y risque, encouragée par son époux. Jusqu'où ira-t-elle? Comment, dans cette nouvelle vie qui s'ouvre pour le couple, celui-ci va-t-il se reconstruire et durer?

Sur ces éléments, et bien que cela ne soit pas du tout mon genre littéraire de prédilection, j’ai accepté de lire le roman de Georges Lautier.

J’ai été surprise par l’introduction du livre. Le 1er chapitre, une sorte de préface, explique le montage du livre. En effet, l’originalité de ce roman est la façon dont il est construit. Chaque chapitre est comme un billet de blog, à la fin duquel on trouve les commentaires des personnages du livre. On a, ainsi, à la fois la narration de l’auteur et le point de vue des protagonistes sur chaque situation. C’est une approche plutôt intéressante.

J’étais très loin de me douter que les aventures sexuelles des protagonistes du roman étaient aussi détaillées et précises. L’ayant lu dans les transports, j’ai, souvent, croisé les doigts pour que personne ne lise par-dessus mon épaule ! Mais la façon dont c’est écrit n’a rien de choquant, ni de vulgaire. Il n’y a pas de lourdeur dans le texte, l’écriture est assez fluide.

Bien que ce ne soit pas le genre de livre que je lis habituellement, j’ai apprécié ce roman, notamment pour le contexte de l’histoire (la libération sexuelle, l’arrivée de la pilule) et la relation de couple (Hunt croyant utiliser sa femme pour assouvir ses fantasmes alors que c’est finalement elle qui prend le dessus de la situation).

Mais les 150 dernières pages m’ont semblé inutiles et totalement hors contexte, un peu comme si l’histoire partait en vrille : je ne comprendrais jamais ce que venait faire là le serveur turc, ancien champion olympique de lutte gréco-romaine et accessoirement proxénète pour pouvoir payer ses dettes de jeu et encore moins la riche veuve américaine assouvissant ses penchants lesbiens et tous deux se retrouvant sur le chemin des personnages principaux pendant le festival d’Avignon. Cela n’avait plus aucun sens et j’ai même eu beaucoup de mal à terminer. 350 pages décrivant la relation d’un couple et leurs aventures sexuelles, c’est largement suffisant, au-delà ça devient suffoquant.

Malgré tout ça, je ne regrette pas d’avoir lu ce roman qui m’a fait découvrir un autre genre littéraire (cependant, je ne pense pas que je réitérerais une lecture de ce genre)… et surtout un auteur.


Merci à Georges Lautier pour son roman et bonne chance pour l’écriture de son prochain livre.

PS : bien que le livre s’appelle "Monter la vie à cru", la couverture n’a strictement rien à voir avec le sujet du livre… Elle est d’ailleurs assez mal choisie. Quelque chose de plus neutre aurait été, selon moi, un meilleur choix.


Crédit photo : © La Parisienne

L'Agence Centrale de la Société Générale

Cette année, question Journées du Patrimoine, il faut bien le dire, je m’y suis prise comme un manche. Je n’ai rien anticipé, je me suis laissée dépassée par le temps pour au final arriver au week-end et me rendre compte que je n’avais rien de prévu. C’est ainsi que j’ai manqué le coche pour la visite de la station de métro dédiée au cinéma et surtout (et là, je m’en mords les doigts) la visite du bureau de Jeanne Lanvin au sein de la Maison Lanvin, rue du Faubourg Saint Honoré.

Alors, histoire de ne pas être totalement déçue, dimanche dernier, je suis allée, avec le Parisien, visiter l’Agence Centrale de la Société Générale, boulevard Haussmann (juste en face des Galeries Lafayette). J’ai eu une magnifique surprise en entrant dans le bâtiment et en suis restée bouche bée.

Après avoir bataillé avec les Galeries Lafayette et réussi à acquérir cet immeuble typiquement haussmannien, la Société Générale installe son agence centrale en 1912, boulevard Haussmann, après le réaménagement réalisé par l’architecte Jacques Hermant, dans un pur style Art Nouveau. Vous ne pourrez qu’être époustouflé par la splendide verrière centrale qui offre un puits de lumière sur le "camembert", l’entresol et le rez-de chaussée où sont installés les bureaux des chargés de clientèle.

N’oubliez pas de regarder où vous marchez : vous découvrirez une superbe mosaïque qui, à bientôt 1 siècle, est entretenue chaque année. On retrouve cette mosaïque sur les sols des 4 niveaux de la salle des coffres, ce qui en fait la plus grande mosaïque du monde avec une surface de près de 2500 m².

L’entrée de la salle des coffres m’a fait penser à un vieux film américain des années 30. Vous pouvez notamment voir cette salle des coffres dans le film "La Banquière" avec Romy Schneider. La gigantesque porte de 38 tonnes, signée Fichet, est une réplique d’un modèle américain.

L’avantage des journées du patrimoine, c’est que nous avons eu le droit à une visite guidée mais rien ne vous empêche d’aller y faire un tour pour pouvoir admirer tout cela car la banque est ouverte du lundi au vendredi et l’accès est libre comme dans n’importe quelle agence bancaire.

Je ne peux que vous montrer l’extérieur du bâtiment car les photos à l’intérieur étaient interdites, notamment pour des raisons de sécurité car il s’agit d’une banque encore en activité. Si vous souhaitez avoir un aperçu, je vous invite à rendre visite au blog d’Anna, "Paris en photos", en cliquant sur le nom du blog.






Crédit photos : © La Parisienne

Le plus grand défilé du monde by Les Galeries Lafayette

Pour la 2e année, les Galeries Lafayette ont organisé le plus grand défilé du monde. Le casting a eu lieu pendant tout l’été pour seulement 800 chanceux qui ont défilé à Paris le 15 septembre dernier. Des défilés ont été également organisés en Province dans 53 villes, le samedi 17 septembre.

Les 800 mannequins d’un jour sont des personnes anonymes, de tout style, de tout âge (de 7 à 77 ans !) et surtout loin, très loin des dictats de la mode concernant les mensurations. Les coulisses de ce grand défilé ont été installé au Palais Brongniart et pendant toute la journée, ils ont été coiffés (par les coiffeurs Franck Provost), maquillés (Studio MakeUp) et coachés pour le défilé qui a finalement démarré vers 19h15. L’animation musicale a été assurée par la DJette Mamy Rock alias Ruth Flowers, aux commandes des platines !

Pour pouvoir voir le défilé, j’avais pensé aux toits des Galeries Lafayette mais en me disant que beaucoup de personnes auraient eu la même idée. Je pensais vraiment avoir peu de chance de voir quelque chose. Je suis arrivée un peu plus de 30 minutes avant le démarrage du défilé et j’ai pu avoir une place aux premières loges, comme vous pouvez le voir d’après mes photos ci-dessous.













Vous pouvez également retrouver les photos du défilé et des coulisses sur le site "La Mode c'est Vous", ici !

Crédit photos : © La Parisienne

Happy B-Day Citadium Beaubourg !

L’année dernière, avec le Parisien, nous avions assisté à une superbe soirée organisée pour l’ouverture du Citadium Beaubourg. Je vous en avais parlé ici.

Mercredi dernier, nous avons fait un saut à la boutique pour profiter un peu de la soirée qui y était donnée pour fêter son 1er anniversaire !

Bien que nous soyons arrivés assez tard, nous avons tout de même pu profiter du live du groupe Jupiter, un mélange d’électro et de pop. Ce n’est pas vraiment le genre musical que nous préférons mais il y avait quelques morceaux sympas. A un moment, l’utilisation du synthé m’a fait penser à un épisode de Friends où Ross fait une démonstration de cet instrument au Central Perk. Seuls les aficionados de la série pourront sans doute me comprendre.

La soirée a été également animée par un karaoké que nous avons manqué. Cela dit, ce n’est pas très grave parce que je n’aime pas du tout ça. Chanter en public, ce n’est vraiment pas mon truc. Cela dit, en regardant un peu la liste des chansons, on aurait bien aimé les écouter car c’était plutôt Rock’n Roll et là, c’est notre musique de prédilection !


Et bien évidemment pour parfaire la soirée, outre la musique, il y avait à boire et à manger. L’occasion aussi de faire quelques repérages shopping pour le Parisien. Il y avait d’ailleurs des T-Shirts qui me plaisaient bien. Dommage que ce soit pour les hommes…quoique, en taille S (ou M selon la coupe), ça devrait le faire… Ce ne serait pas la première fois que je m’achète un vêtement au rayon hommes !

Ce fut un chouette moment passé dans la boutique. Seul regret, nous n’avons pas participé à la tombola car nous sommes arrivés trop tard et donc aucune chance de gagner quoique ce soit bien qu’il y ait eu 2 tirages au sort pendant que nous étions sur place. Mais ce n’est pas si grave…


Crédit photos : © La Parisienne

Le Futuroscope de Poitiers

Je n’avais pas eu le temps de vous en parler ces dernières semaines mais cet été, avec le Parisien, nous avons fait une courte escapade au Futuroscope de Poitiers.


Nous sommes arrivés en fin de journée au parc (l’avantage est que du coup, nous n’avons pas payé le plein tarif car il existe un tarif "soirée" à moitié prix si on arrive à 17h) mais suffisamment tôt pour pouvoir profiter de quelques animations. Par chance, nous n’avons pas attendu des heures à chaque fois.



Nous avons démarré par "Les Animaux du Futur". Pendant que l’on faisait la queue, un film était diffusé et nous présentait l’attraction. Cela nous a semblé plutôt bien mais malheureusement le capteur que l’on avait sur la main, ne tenait pas et du coup ne fonctionnait pas non plus. C’est dommage de laisser le matériel ainsi se dégrader alors qu’il fait partie intégrante de la réussite de l’attraction. Cela dit, dans l’ensemble, ce n’était pas trop mal. Au moins, ça parlait du futur, ce qui n’est pas forcément le cas de toutes les attractions.



Ensuite, compte tenu du peu de temps que nous avions, nous avons dû faire des choix stratégiques en fonction de ce que chacun souhaitait voir et des horaires des animations.

Nous sommes allés découvrir le film en 3D, "Les Ailes du Courage" de Jean-Jacques Annaud, sur l’aéropostale et l’extraordinaire aventure dans la cordillère des Andes, de Henri Guillaumet, l’un de ses pilotes. Val Kilmer, Elizabeth McGovern, Tom Hulce et Craig Sheffer en sont les principaux acteurs. Il suffit de les voir pour comprendre que le film n’est pas récent. Il s’agit, en fait, d’un film de 1996. Outre l’histoire qui est une fabuleuse aventure humaine et surtout un exploit pour l’époque (cela se passe dans les années 30), le film est d’un ennui mortel. C’est bien simple, j’ai failli m’endormir. D’ailleurs, je ne comprends pas pourquoi il est diffusé au Futuroscope.






Nous avons ensuite poursuivi notre visite avec Van Gogh. Mis à part le plaisir de voir un film Imax sur un écran hémisphérique, nous avons été un peu déçus. En effet, le prospectus précisait que l’on allait "pénétrer dans l’œuvre de Van Gogh et suivre son geste" alors que finalement nous avons eu un film sur sa vie. Certes, c’était très intéressant et nous avons pu voir quelques unes de ses œuvres tellement près, que plus près, ça ne pouvait pas être possible mais on ne s’attendait pas à ça.

En sortant de cette projection, il ne restait plus beaucoup de temps avant la fermeture des attractions et il a fallut faire un choix rapide. J’aurais bien aimé faire l’attraction "Arthur" mais le temps d’attente était de 40 minutes au minimum et ça, c’était au-delà de nos forces. Nous avons donc terminé notre visite avec à nouveau, la projection d’un film : "Chocs Cosmiques". Le film est projeté sur un dôme et l’on est quasiment allongé, un peu comme si on observait le ciel. Les commentaires sont lus par Lorànt Deutsch, qui nous raconte, avec sa gouaille légendaire, l’histoire de l’espace depuis le big bang. C’est sans aucun doute, l’attraction que j’ai préféré. C’était passionnant et on vivait chaque situation, un peu comme si on y était.




Nous sommes partis en début de soirée et n’avons pas vu le spectacle nocturne. D’une part, parce que la fatigue commençait à nous gagner et d’autre part, parce que c’était notre dernière chance d’arriver au restaurant de l’hôtel avant la fermeture et pouvoir diner.




Nous avons tout de même fait un crochet par les boutiques d’où j’ai ramené 2 stylos en forme de pinceaux et 2 magnets. Cela dit, c’est tout ce que je pouvais me permettre, vu les prix exorbitants qui sont pratiqués, comme dans la plupart des parcs d’attractions et autres lieux touristiques.

Au final, nous sommes contents d’avoir visité le Futuroscope au moins une fois mais on ne retentera pas l’expérience. Pour ma part, je m’attendais à des attractions plus liées au futur et surtout la science, ce qui n’est pas vraiment le cas, sauf pour quelques unes. Je m’attendais également à des animations plus percutantes en termes d’innovation et finalement sur 4 attractions, nous avons vu 3 films dont un seul nous a plu et semblé en adéquation avec le thème du parc. Je pense que ce que je recherchais était plus dans les attractions pour enfants. D’ailleurs, je regrette de ne pas avoir pu voir "les Astromouches" ou "Arthur".

Et vous, avez-vous déjà tenté l’expérience Futuroscope ?



Crédit photos : © La Parisienne

M@demoiselle au Studio SFR


Samedi dernier, j'ai eu l'occasion d'aller à la M@demoiselle Party, organisée par Sandrine Camus au Studio SFR. Cet après-midi réservé exclusivement à la gente féminine permettait à 300 invitées de découvrir les nouveautés des partenaires présents : Logitech, Princesse Tam-Tam, bare.Minerals, Iomega, Playstation (avec la présentation de leur nouveau jeu "DanceStar Party"), Camille Albane, Be, BWT, be.ez, et aussi de profiter d'un tea-time de la Grande Epicerie de Paris !

Pour moi, ce fut aussi l'occasion de retrouver Lili, Sheily et The Parisienne !



Mais cette party était aussi le point de départ d'un mois consacré et réservé (jusqu’au 28 septembre) à toutes les femmes !

Le Studio SFR vous propose divers ateliers auxquels vous devez vous inscrire au préalable (inscription gratuite) via leur site internet : atelier customisation, atelier tricot, atelier blog, atelier cooking à l’aide de l’application "Elle A Table", afterworks DanceStar Party, atelier illustration avec Rutile et Nephyla, auteurs de la BD "Geek and Girly".

Les ateliers ne sont pas tous les jours alors si vous êtes intéressées, dépêchez vous !

Crédit photos : © La Parisienne