Le Salon de la Photo 2011

La photographie est une activité que j’adore. C’est quelque chose qui était très présent chez mes parents et qu’ils m’ont transmis. Mais c’est surtout pour moi, un plaisir simple : je prends des photos à l’instinct, au ressenti, pour garder des souvenirs. Je n’ai pas de reflex et n’en ai jamais eu. Je ne maîtrise pas du tout les techniques de la photo mais une chose est sûre, le plaisir de photographier est très présent… toujours !

Je suis allée au salon de la photo pour la première fois, cette année. C’était pour moi surtout l’occasion de me faire une idée de ce que pouvait proposer ce salon. Accompagnée de Lili, j’ai arpenté les allées pendant plus de 2 heures.

Nous ne nous sommes pas attardées aux stands des reflex et autres objectifs, n’étant pas équipée ni l’une, ni l’autre.

Nous avons fait un tour chez Canon afin de voir leurs nouveautés et également chez Panasonic où j’ai pu tester le Lumix DMC-TZ20 que j’envisage d’acquérir, mon Samsung WB510 étant très limité pour les photos avec peu d’éclairage et mouvement. J’ai été plus que conquise par le Lumix. Le vendeur de la Fnac qui m’en avait vanté les mérites, ne m’avait pas menti !

Je n’ai pas pu profiter des impressions grand format chez Epson car la demande était trop importante et à 16h, ils avaient arrêté la prise de commandes. Dommage !




Par contre, nous avons eu l’occasion de tester la photo cabine Harcourt. Actuellement, il n’en existe que 2 à Paris (au cinéma MK2 Bibliothèque et dans la boutique Franck & Fils rue de Passy). Ces photo cabines vous permettent d’avoir votre portrait avec le célèbre halo Harcourt pour 10€.




A l’occasion du salon, nous avons eu le droit à une courte séance maquillage et surtout quelques conseils pour bien se positionner (ça aurait été dommage d’avoir le halo en pleine figure, non ?). Ça valait la peine de patienter 1 heure pour en profiter, d’autant qu’au salon de la photo, le portrait était gratuit. Mon seul regret : ne pas avoir, ce jour-là, la tenue adéquate pour ce portrait.

Finalement, pour une première, ce salon de la photo aura été plutôt intéressant. Partie à la découverte du salon sans question, ni besoin particuliers, j’en suis revenue avec une belle photo et l’envie irrésistible de me procurer le Panasonic Lumix DMC-TZ20 !


Crédit photos : © La Parisienne

Un panneau de signalisation hors du commun...

J’en avais déjà entendu parler et en avais même vu en photos sur le net. Mais c’est toujours plus amusant quand on tombe dessus par hasard et qu’on le voit en vrai.

C’est ce qui m’est arrivé la semaine dernière en descendant la rue Lafayette et que je suis tombée sur ce panneau de sens interdit, au niveau de la place Liszt.

Le principe est appliqué sur différents panneaux de signalisation. Je trouve ça amusant et plutôt bien pensé. Et vous, en avez-vous déjà vu en ville ?


Crédit photos : © La Parisienne

Casa Barilla à La Défense


Il y a plusieurs semaines, j’ai découvert la tournée Casa Barilla grâce à un tweet. Le concept m’a tout de suite intéressée et je me suis donc inscrite sur le site de Barilla, notamment pour participer à un cours de cuisine.





Le 8 octobre dernier, je me suis donc rendue sur l’esplanade de la Défense, pour découvrir l’univers Barilla. La grande tente abritait plusieurs espaces dont un bar de dégustations gratuites de pâtes et des grandes tablées, un coin cuisine où étaient animés les cours, un espace pour les enfants et un espace démonstration culinaire.










Dès 10h, vous pouviez déguster des plats de pâtes gratuitement. Je n’ai pas tenté l’expérience car à 10h30, j’allais commencer le cours de cuisine, animé par un chef Barilla… et puis déguster des pâtes à cette heure, c’était un peu trop tôt pour moi ! J’avais opté pour le cours de Spaghetti Integrale à la courgette, à la tomate et aux poivrons doux, dont je me suis régalée à la fin du cours.

Pour ma part, j’adore les pâtes et je pourrais en manger quasiment à tous les repas et à toutes les sauces. Avec ce cours, j’ai découvert une autre façon de les préparer. J’ai vraiment adoré cette gamme Integrale. D’autant, qu’avant, j’avais un a priori sur les pâtes complètes, pensant qu’elles pouvaient avoir un goût particulier. Or, la gamme Integrale de Barilla a le même goût que les pâtes classiques.





La Casa Barilla, c’est surtout une tournée dans plusieurs villes. Cette année, la tournée s’est rendue à Dunkerque, Brest, Besançon, Bordeaux et Paris. Si je ne me trompe, Casa Barilla n’en est pas à sa première tournée, alors si jamais vous l’aviez manqué cette année, guettez les dates 2012 !

Et vous, les pâtes, vous aimez un peu, beaucoup ou passionnément comme moi ? … A moins, que cela soit pas du tout ?Crédit photos : © La Parisienne

Le songe d'une nuit d'été

La rentrée théâtrale est plutôt riche et voir les affiches apparaître au fur et à mesure dans le métro m’a donné envie d’aller au théâtre. Et pour démarrer la saison, accompagnée de Lili, je suis allée voir le Songe d’une Nuit d’Eté, avec Mélanie Doutey et Lorànt Deutsch, au théâtre de la Porte Saint Martin.


De cette pièce de Shakespeare, je ne connaissais que l’adaptation cinématographique avec Michelle Pfeiffer et Kevin Kline. Je l’ai vu en 1999 et j’en avais le souvenir d’un film féérique mais avec certaines longueurs malgré le très bon jeu des acteurs.

C’est sans a priori particulier et sans faire de liens avec le film, que je suis allée découvrir la pièce de théâtre. J’ai eu un peu de mal au départ à m’imprégner de cette ambiance moderne, les années 60/70, avec les costumes et la musique très éloignés de l’époque Shakespearienne. Le contraste avec le texte original était très marqué et il m’a fallut un temps d’adaptation. Outre ce détail, le rythme est enjoué et cela se regarde avec plaisir…sauf peut être la fin où j’ai ressenti quelques longueurs. Quoiqu’il en soit, j’ai apprécié le jeu des acteurs et des danseurs. Au final, j’ai passé un bon moment.







Le Songe d’une Nuit d’Eté
Mise en scène de Nicolas Briançon
Avec Lorànt Deutsch, Mélanie Doutey, Yves Pignot, Marie-Julie Baup, Davy Sardou et Nicolas Briançon

Théâtre de la Porte Saint Martin
18 boulevard Saint Martin, Paris 10e
Métro Strasbourd Saint Denis


Le Paris des Femmes Célèbres

En ce moment, je me constitue une petite collection de guides parisiens, chacun ayant une particularité. La dernière fois, je vous ai parlé du guide de Paris en métro. Aux mêmes éditions (les éditions Chêne), je viens de découvrir le Paris des femmes célèbres.



Arrondissement par arrondissement, chaque page relate l’histoire d’une femme célèbre en lien avec un monument. C’est ainsi que j’ai appris entre autres que le musée Carnavalet n’était autre que la demeure de la Marquise de Sévigné, que l’Hotel de Charost, actuellement ambassade de Grande-Bretagne fut la propriété de Pauline Bonaparte, sœur de Napoléon 1er.

A lire en le feuilletant dans le sens que l’on veut, on découvre la ville et ses monuments autrement… Pratique par sa taille, chaque page va à l’essentiel (en version bilingue français/anglais), le tout agrémenté de belles photos.




Merci à Eloi de Triple C et aux Editions Chêne pour ce livre.


Crédit photos : © La Parisienne

La Fondation Emile et Louise Deutsch de la Meurthe


Lors de ma visite de la cité universitaire internationale, dont je vous ai parlé ici, avec Sheily, nous avions également découvert l’ensemble de pavillons qui compose la fondation Emile et Louise Deutsch de la Meurthe. Ces bâtiments, datant de 1925, font penser à une université anglaise. On se croirait transporté dans un roman d’Agatha Christie ou dans un film tel que Les Vestiges du Jour avec Anthony Hopkins. Un dépaysement total !

La fondation Emile et Louise Deutsch de la Meurthe regroupe, autour de son pavillon central, de son beffroi et de son horloge, six bâtiments d'habitation qui portent des noms d'universitaires ayant occupé de hautes fonctions administratives ou de savants ayant honoré l'université de Paris. Construits par Lucien Bechmann dans un style traditionnel, qui évoque les universités anglaises, les bâtiments, inaugurés au printemps de 1925, sont les premières constructions de la Cité universitaire. (in Wikipedia)
























Crédit photos : © La Parisienne

Choco-Story, une visite chocolatée...

Le 20 septembre dernier, avec Lili, nous avons visité le musée gourmand du chocolat de Paris, Choco Story, à l’occasion de la présentation du nouveau chocolat, "Culte-Mayas" de Victoire Finaz, créatrice de la marque de chocolats, Abanico. Ce fut l’occasion de suivre un parcours "chocolaté" au sein du musée et de découvrir l’histoire du cacao et les objets qui lui sont liés.

Au cours du parcours, nous avons également assisté à un atelier de création de chocolats pendant lequel nous avons réalisés des mendiants et où l'on nous a montré la fabrication de chocolats pralinés.

Lors de la dégustation des chocolats Abanico, ma préférence est allée, sans conteste, au chocolat "Culte-Mayas", et sa pointe épicée. Ça peut paraître étonnant au premier abord mais vous devriez essayer, c’est absolument délicieux !

Et oui, ce fut une visite sous le signe de la gourmandise !


































Choco-Story
28 boulevard Bonne Nouvelle, Paris 10e
Métro Bonne Nouvelle

Boutique Abanico Chocolat
7 rue Portalis, Paris 8e
Métro Saint Augustin, Europe, Saint Lazare

Crédit photos : © La Parisienne