The Good Wife, la saison 2 est arrivée dans les bacs !

Le pitch de la série tv "The Good Wife" ne m'avait pas vraiment attiré lors de la diffusion de la saison 1 sur M6 alors que j'adore les séries tv ayant trait au droit et aux tribunaux.




L'épouse d'un homme politique voit sa vie bouleversée par l'incarcération de son mari à la suite d'un scandale sexuel et une affaire de corruption largement relayés par les médias. Dépassant la trahison et l'humiliation publique, Alicia Florrick décide reprendre sa carrière d'avocate après une pause de 13 ans loin des tribunaux. Elle rejoint un ami de longue date au sein d'un prestigieux cabinet de Chicago. Très vite, Alicia réalise que la compétition va être rude avec de jeunes recrues ambitieuses et déterminées. Mais au moins pour une fois, elle est prête à prendre en main sa propre destinée et détruire son image d'épouse modèle... (in allocine.fr)

Je ne pensais pas que l'histoire du scandale politico-sexuel n'était qu'une espèce de fil rouge car le cœur de la série est dans les procès menés par Alicia Florrick (Julianna Margulies). Je viens de découvrir la série avec la saison 2 qui est sortie en DVD le 15 février dernier et dès les premiers épisodes, j'ai eu beaucoup de mal à m'arrêter. Le mari d'Alicia Florrick (Chris Noth) est sorti de prison et se présente au poste de procureur mais la campagne s'annonce difficile et les bâtons dans les roues ne manquent pas. Les personnages de cette série sont complexes et on se prend au jeu de vouloir découvrir ce que chacun cache.





Julianna Margulies est très loin de son rôle d'infirmière d'Urgences, tant par le rôle qu'elle tient que par son physique tant elle a changé. Ce rôle d'avocate déterminée mais avec quelques doutes lui va comme un gant. Et puis on a le plaisir de retrouver Mr Big alias Chris Noth toujours aussi distingué ! J'ai été surprise de voir également Josh Charles que je n'avais pas revu sur un écran, depuis "Threesome" (plus connu en France sous le titre de "2 garçons, 1 fille, 3 possibilités") et "Le Cercle des Poètes Disparus".


J'ai dévoré les 4 premiers épisodes de la saison 2 et j'ai hâte de découvrir la suite... et même de voir la saison 1 ! Et vous, connaissiez vous "The Good Wife" ?



The Good Wife TM & © 2012 CBS. CBS et les autres marques qui y sont liées sont des marques de CBS Broadcasting Inc. Tous droits réservés. TM, ® & © by Paramount Pictures. Tous droits réservés.

La Villa des Platanes

En me baladant un jour sur l’allée centrale du boulevard de Clichy, mon regard a été attiré par cet immeuble magnifique et inattendu dans ce quartier. Le contraste des briques rouges, des moulures blanches et des balustrades ciselées noires rendent cette façade magnifique. Le double portail attire également l’œil et lorsqu’on s’approche, on découvre une cours intérieure donnant sur un second très bel immeuble. Mais la Villa des Platanes est une résidence privée et je n’ai pas pu en voir plus. Hélas…

A deux pas de là, la surprise se poursuit avec une jolie allée qui fait penser à un village : la Cité du Midi. Mais nous sommes au pied de Montmartre alors il est normal de retrouver cet esprit "village de Paris" dans le quartier.

Le Pain Perdu Grand Marnier®, une recette de Mademoiselle Suzette et Chef Nicolas Boussin

Le pain perdu est une recette que je connais depuis toute petite et qui à chaque fois est un régal. C’est un plaisir très simple dont je ne me lasse pas. Je viens d’en découvrir une variante qui est tout aussi délicieuse, une recette au Grand Marnier®.

C’est une recette signée Mademoiselle Suzette, personnage créé par l’illustratrice Diglee, qui accompagnera la célèbre liqueur toute l’année et Chef Nicolas Boussin, grand chef pâtissier.

Voici donc cette recette très facile à réaliser et qui fera le bonheur des petits et des grands lors du goûter.



Pain Perdu Grand Marnier ®



Temps de préparation : 10 mn + 10 mn de trempage
Temps de cuisson : 15 mn

Ingrédients
6 tranches de pain de campagne (180 g environ)
20 cl de crème
20 cl de lait
4 œufs moyens
60 g de sucre
7 cl de liqueur Grand Marnier ®
Mettre 5 g de beurre et 5 g de sucre par tranche dans la poêle au moment de la cuisson

Etape 1 : mélanger le lait, la crème, le sucre, les œufs et la liqueur Grand Marnier® au fouet ou au mixer.
Etape 2 : trempez les tranches de pain. Plus vous les tremperez longtemps, plus elles seront moelleuses, puis égouttez-les.
Etape 3 : faites revenir le beurre et le sucre dans une poêle. Puis, disposez les tranches de pain sans les chevaucher.
Etape 4 : laissez cuire à feux doux jusqu’à ce que les tranches de pain prennent une belle couleur dorée. Retournez-les et répétez l’opération. Servez bien chaud.

Conseil de Nicolas Boussin
Ne prenez pas un pain trop alvéolé, trop moelleux, ni même au levain (trop acide) car il manquera de tenue quand vous le cuirez. Il n’en sera que plus moelleux à la cuisson car il absorbera plus de liquide et ne se désagrégera pas. La note de liqueur Grand Marnier® en fin de dégustation amènera de la légèreté à ce plat grâce aux arômes d’orange.

Mon conseil
S’il vous reste de la préparation crème-lait-œufs, remplissez des ramequins que vous passerez au four, au bain-marie, pendant 1 heure, à 210°C. Cela vous fera de délicieuses crèmes légèrement aromatisées à la liqueur Grand Marnier®.

Merci à Vincent de Hopscotch pour la découverte de ces recettes.

L'église de Saint Germain des Prés

Quinze siècles d’histoire sont au cœur de Saint Germain des Près (Paris, 6e) en son église. Le roi mérovingien Childebert 1er au VIe siècle fit construire une abbaye afin d’y accueillir des reliques ramenées de Saragosse (la tunique de Saint Vincent et une croix d’or de Tolède). C’est au VIIe siècle que le nom de Saint Germain fut associé à Saint Vincent. L’abbaye doit son nom à Germain, ancien évêque de Paris. Au IXe siècle, les vikings détruisent l’abbaye, dont une partie sera reconstruite au XIe siècle (tour, nef, chapelle, et abside). L’abbaye deviendra une paroisse au XVIIe siècle. Elle connaitra des travaux de rénovation au XIXe siècle.

Lorsque nous l’avons visité, l’intérieur était en travaux afin de redonner la splendeur passée des fresques mais nous avons pu avoir un aperçu de leur beauté.

Nous avions profité d’une visite guidée, organisée par Paris Découvertes. Heureusement que nous avions une guide sympathique et ayant de grandes connaissances sur le quartier car la 1ère impression que j’avais eu en contactant Paris Découvertes, m’avait fait regretter d’avoir acheté la visite sur le site "Bon Privé".

J’avais eu un accueil téléphonique déplorable avec une personne désagréable et plutôt mal organisée. En somme, rien de très rassurant pour la suite. Ceci dit, ce n’est pas parce que nous avons eu de la chance avec la guide que cela m’a donnée envie de refaire appel à Paris Découvertes.

Romy Schneider @ Espace Landowski

Cela fait 30 ans que Romy Schneider nous a quitté et son charme marque toujours nos esprits. Tout comme chaque année, au moment des fêtes, nous n’échappons pas à une énième rediffusion de Sissi.

Jusqu’au 22 février (vite plus que 2 jours), l’espace Landowski, à Boulogne Billancourt, propose une exposition retraçant la carrière de l’actrice, ponctuée de quelques épisodes plus personnels. Aux premiers abords, l’exposition est chronologique mais parfois vous pouvez faire quelques bonds dans le temps, pour reprendre le fil par la suite. Ainsi juste après la période Sissi, vous découvrirez Ludwig de Luchino Visconti où elle reprend le rôle de l’impératrice Elisabeth mais cette fois plus proche de la réalité et en moins "sirupeux".

Romy a eu une carrière intense et on le découvre dans cette rétrospective. J’ai bien aimé la scénographie adaptée pour le film "La Piscine". Parcourir l’exposition m’a donné envie de découvrir certains de ses films et à commencer par "La Piscine", dont j’ai tant entendu parlé et que je n’ai encore jamais vu…

Romy Schneider
Espace Landowski
28 avenue André Morizet 92200 Boulogne Billancourt
Métro Marcel Sembat (L9)
Plein tarif : 11€
Jusqu’au 22 février 2012

Muffins exotiques Pomme Ananas Touche de Coco

Depuis quelques années, quand je n’ai pas la possibilité de manger un fruit, je prends une compote sans sucre, et en particulier celles de Charles & Alice. Je vous avais notamment parlé de cette marque ici, lors de la sortie de leurs desserts gourmands.

C’est également lors de cet atelier que j’ai découvert que l’on pouvait détourner les compotes et ajouter une touche fruitée à différentes recettes.

Aujourd’hui, je vous propose donc de découvrir la compote Pomme Ananas Touche de Coco autrement, avec ces délicieux muffins exotiques dont le cœur vous surprendra !

Rendez-vous le mois prochain pour une nouvelle recette !


Muffins exotiques Pomme Ananas Touche de Coco


Pour 10 muffins environ

Ingrédients
150 g de farine
20 cl de crème fraiche
5 cl de lait
1 sachet de levure
100 g de sucre en poudre
2 œufs
50 g de beurre fondu
1 cuillère à soupe de rhum brun
1 pincée de sel
3 tranches d’ananas au sirop
1,5 pots de compote Charles & Alice Pomme Ananas Touche de Coco

Préchauffer le four à 210° C.

Fouetter le sucre et les œufs jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Tout en mélangeant au fur et à mesure, ajouter la crème fraiche, la farine, la levure, le beurre fondu, le lait, le rhum et la pincée de sel.

Couper les tranches d’ananas en morceaux d’environ 1,5 cm de large.

Insérer des caissettes en papier dans le(s) moule(s) à muffins. Remplir les moules jusqu’à mi-hauteur avec la préparation. Ajouter 1 cuillère à café bombée de compote, puis poser 2 morceaux d’ananas. Remplir le reste du moule avec la préparation à muffin jusqu’à 2 mm du bord.

Enfourner environ 30 à 40 mn, jusqu’à ce que les muffins soient bien dorés.

Attendre qu’ils refroidissent complètement pour les déguster.



(Article sponsorisé)

Du côté de Limoges...

Il y a quelques semaines encore, j’étais en déplacement à Limoges. Je n’y avais jamais mis les pieds et cette ville restait pour moi juste le pays de la porcelaine.

J’y ai découvert une ville avec une magnifique architecture. Qui dit déplacement professionnel, dit impossibilité de visiter. Et même si je n’ai jamais vu la ville de jour, j’en ai gardé de jolis souvenirs…

Crédit photos : © La Parisienne

Tag et révélations

100driiine nous fait rêver d’ailleurs et en ce moment, surtout en Australie et en Nouvelle-Zélande. Elle a choisi de me faire passer ce tag sous forme de portrait chinois pour en savoir un peu plus… C’est aussi pour moi l’occasion de répondre à Xtinette (avec quelques mois de retard… Désolée) qui voulait découvrir 7 révélations me concernant.

Si j’étais un objet technologique ?
L’appareil photo. Mes parents m’ont offert mon premier appareil lorsque j’avais 12 ans. C’était un Kodak Disc, une nouveauté de l’époque. Je n’arrêtais pas de faire des photos… et je ne me suis plus arrêtée depuis. La photo est quelque chose de très présent chez mes parents et ils m’ont transmis cette envie de garder des souvenirs de tout et de tous. Mon seul regret ne pas savoir utiliser un reflex.

Si j’étais une planète ?
Plus jeune, je disais que ma planète préférée était Pluton, sans doute parce que c’était la plus éloignée. Cet aspect là de la planète me plaisait beaucoup. Mais aujourd’hui, elle n’est plus considérée comme une planète alors…

Si j’étais une friandise ?
J’hésites entre l’ourson guimauve et le fraisier. Et encore, le choix est difficile tellement il y a de choses délicieuses…

Si j’étais un opéra ?
Je ne peux qu’opter pour un lieu car je n’ai encore jamais vu d’opéra mais cela fait partie des choses à voir… Et dans ce cas, je choisis le Palais Garnier. Ce lieu est tout simplement magnifique et magique. Se balader dans ses couloirs nous transporte dans une autre époque.

Si j’étais un moyen de transport ?
La voiture mais celle des années 50/60 parce qu’elles avaient une bien plus belle esthétique que celles d’aujourd’hui.

Si j’étais un péché capital ?
La gourmandise parce que je ne peux résister aux bonnes choses sucrées et salées.

Si j’étais une attraction foraine ?
Un carrousel parce que c’est un très beau manège et surtout parce qu’il est plutôt tranquille et que je n’aime absolument pas les attractions qui retournent la tête et l’estomac.

Si j’étais un tableau ?
Une œuvre de Fragonard ou de mon père… Le 1er parce que j’aime son style, sa finesse et le 18e siècle. Le 2nd parce que là, c’est le cœur qui parle. Et en toute objectivité, il a aussi beaucoup de talent.




Si j’étais une matière à l’école ?
L’anglais parce que c’était finalement la seule qui m’intéressait à l’époque mais qu’aujourd’hui je ne pratique plus (ou seulement avec les touristes dans les rues de Paris).

Si j’étais un personnage de dessin animé ?
Maya l’abeille parce que j’étais déguisée en abeille lors d’un spectacle à la maternelle et que depuis, Maya a une place toute particulière dans la mémoire familiale.


Le principe est de faire passer à son voisin mais je n'ai pas réussi à faire mon choix alors je vous laisse libre de répondre à ce tag…



Crédit photos : © La Parisienne

Le Bourgeois Gentilhomme @ Théâtre de la Porte St Martin

Parmi le théâtre classique étudié au collège ou au lycée, Molière était l’un de mes préférés, sans doute pour son côté comique de situation. Alors lorsque l’occasion se présente de voir une représentation au théâtre, c’est toujours un plaisir.

Et il faut dire que la version du Bourgeois Gentilhomme que nous offre François Morel est plutôt réussie. Il nous offre un Monsieur Jourdain naïf et un peu benêt à souhait et finalement attachant. J’avais quelques appréhensions car je garde le souvenir des Deschiens que je n’appréciais pas du tout. Il a réussi à me faire oublier ses anciennes pitreries et même à apprécier son jeu.



Le reste de la troupe est tout aussi fabuleux, tant les comédiens que les musiciens, les chanteurs et les danseurs. Le tout s’enchaine sans temps mort dans un décor assez simple mais efficace. Et pour rehausser le tout, les costumes apportent le petit plus, avec une mention spéciale pour le costume magnifiquement ridicule que Monsieur Jourdain s’est commandé.

Cette version de la comédie-ballet de Molière et Lully est très réussie. Seul petit bémol : la dernière chanson après le mariage de la fille de Monsieur Jourdain. Ce passage trainait un peu trop en longueur à mon goût. Il a été plutôt difficile à digérer au bout de 2 heures de représentation… Mais ce n’est qu’un détail et il ne faut pas que cela vous empêche d’aller voir cette pièce.

Je vous conseille, toutefois, de choisir une place face à la scène (ou en tous les cas, pas trop sur le côté) car malheureusement avec le Parisien, nous nous sommes retrouvés tellement sur le côté (et avec des personnes devant nous) que certains passages nous ont totalement échappé et nous avons bien failli manquer le final. Ce qui ne nous a pas permis d’apprécier totalement la pièce. C’étaient certes des invitations mais nous avions jusqu’à aujourd’hui eu plus de chance question placement.


© La Parisienne

Le Bourgeois Gentilhomme
Théâtre de la Porte St Martin
18 boulevard Saint Martin, Paris 10e
Métro Strasbourg St Denis (ligne 4/8/9)

Du mardi au vendredi 20h00
Le samedi 20h30
Le dimanche 15h00
Jusqu’au 27 mai 2012

Le Musée des Arts Forains

Installé dans les Pavillons de Bercy (anciens chais du 19e siècle), le Musée des Arts Forains est un lieu principalement réservé à l’événementiel. Il peut être visité sur réservation ou à l’occasion des Journées du Patrimoine où il est plus facilement accessible pendant ces 2 journées. Mais qui dit seulement 2 jours de visite libre par an, dit énormément de monde ayant la même idée. Alors depuis 2 ans, je laisse passer cette opportunité.


En décembre dernier, le Musée a ouvert ses portes pendant les fêtes, entre le 20 décembre et le 2 janvier. J’ai donc profité de cette occasion pour aller le découvrir.

Le Musée des Arts Forains regroupe la collection réunie par Jean-Paul Favand depuis 1972. Regroupant des objets et manèges de 1850 à nos jours, le musée est comme un parc d’attraction tout droit sorti du 19e siècle. Le cadre des chais et la lumière tamisée en font un lieu magique et merveilleux.

Si vous avez l’occasion d’y faire un tour, n’hésitez pas (mais il vous faudra sans doute attendre les prochaines Journées du Patrimoines). Et le prix de l’entrée comprend également un tour de manège. Voilà de quoi retourner un peu en enfance…

Le Musée des Arts ForainsLes Pavillons de Bercy
53 avenue des Terroirs de France, Paris 12e
Métro Cour St Emilion (ligne 14)
Visites guidées pour groupe de 15 à 20 personnes, sur rendez-vous
Renseignement au 01.43.40.16.15


Crédit photos : © La Parisienne