Les vitrines de noël du BHV : cela manque d’animation !


Après ma déception des vitrines de noël des Galeries Lafayette, je ne pouvais pas vraiment être plus dépitée par les vitrines des autres magasins.

Le BHV, joliment enrubanné de lumière, a des vitrines plus festives, où l’on retrouve des jouets. Mais cela manque terriblement d’animation. A moins que les mécanismes ne soient coupés après 22h, les vitrines du BHV n’ont aucune figure animée.


Par contre, en regardant à nouveau mes photos, je suis toujours aussi dubitative face à ces personnages dont la tête est décalée par rapport au reste du corps. Cela me fait penser à Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête. Un peu glauque pour noël, non ?


Finalement, je suis allée voir les vitrines du Printemps Haussmann et là, j’ai enfin retrouvé un peu de la magie que nous apportait jusqu’à aujourd’hui, les vitrines de noël. Je vous en parle très vite.


La Penderie, un restaurant chaleureux au cœur de Paris


Il y a un restaurant que j’ai découvert cette année où à chaque fois que j’y vais, je m’y sens bien… et j’y mange bien ! Il s’agit de la Penderie, située à 2 pas des Halles, au pied du métro Etienne Marcel.


Le salle est chaleureuse avec son décor boisé et composé d’objets chinés liés au domaine de la couture. Ainsi, vous pourrez déjeuner (ou diner) sur table avec un piétement de machine à coudre et vous découvrirez aux murs de vieilles machines à coudre, des bobines, etc… Les fumeurs apprécieront la grande terrasse couverte et chauffée.


La première fois que j’y ai déjeuné, j’ai testé le tartare qui est très bien préparé. Mais j’ai été littéralement séduite par les frites. C’est bien la première fois que je mange d’aussi bonnes frites au restaurant. Mais si vous avez un appétit féroce, il faut tester le Megacheeseburger.


Pour les gourmands, la carte des dessert ne laisse pas indifférent non plus. J’ai bien évidement testé le dessert star de la Penderie : le sablé de Petit Lu, banane, Nutella, chantilly ! Ce dessert est délicieux mais un peu lourd en fin de repas. Pour mieux l’apprécier, je vous conseille de le déguster en goûter ou alors après un plat léger.


Et pour les fans d’apéros, laissez-vous tenter par le cocktail maison qui fait son effet : l’amour en cage ! Il s’agit d’un cocktail au champagne avec une fleur d’hibiscus.


Et en plus, depuis lundi, il y a une nouvelle carte à découvrir ! Voilà donc une bonne occasion d’y aller !

17 rue Etienne Marcel, Paris 1er
M° Etienne Marcel

Populaire, une bien jolie comédie pour cette fin d'année !


Ce n’est qu’à partir de l’Arnacoeur que j’ai commencé à apprécier Romain Duris… La comédie est un genre qui lui réussit bien et c’est donc avec plaisir que je suis allée découvrir Populaire en avant-première au cinéma UGC de Rosny sous Bois. En plus, l’équipe du film devait être présente… J’avoue que j’espérais voir Romain mais c’est Déborah François qui était prévue (qui a finalement eu un empêchement) avec le réalisateur, Régis Roinsard, et le producteur, Alain Attal. Ces derniers, d’ailleurs, n’ont pas été avares d’anecdotes.



Régis Roinsard a eu l’idée de ce film en regardant un reportage sur les années 50 dans lequel il était questions des concours de rapidité dactylographique, qui avaient un grand succès à cette époque.

Le pitch :
Printemps 1958. Rose Pamphyle, 21 ans, vit avec son père, veuf bourru qui tient le bazar d’un petit village normand. Elle doit épouser le fils du garagiste et est promise au destin d’une femme au foyer docile et appliquée. Mais Rose ne veut pas de cette vie. Elle part pour Lisieux où Louis Echard, 36 ans, patron charismatique d’un cabinet d’assurance, cherche une secrétaire. L’entretien d’embauche est un fiasco. Mais Rose a un don : elle tape à la machine à écrire à une vitesse vertigineuse. La jeune femme réveille malgré elle le sportif ambitieux qui sommeille en Louis… Si elle veut le poste, elle devra participer à des concours de vitesse dactylographique. Qu’importent les sacrifices qu’elle devra faire pour arriver au sommet, il s’improvise entraîneur et décrète qu’il fera d’elle la fille la plus rapide du pays, voire du monde ! Et l’amour du sport ne fait pas forcément bon ménage avec l’amour tout court… (source : allocine.fr)

Si comme moi, vous adorez les années 50, alors vous apprécierez ce film autant que moi. Régis Roinsard a parfaitement bien reproduit cette époque : les tenues, les voitures, tous les accessoires, les relations hommes/femmes, la place de la femme dans la société… Une femme dans la salle était choquée par le machisme des hommes et la façon dont était perçue la femme (sa place était plutôt à la maison qu’au travail) : le réalisateur lui a, gentiment, rappelé que c’était l’époque qui était comme ça. Et il faut bien évidemment voir le film comme cela, en tenant compte que les années 50 étaient bien différentes de notre époque.

Déborah François est absolument géniale en Rose Pamphyle, jeune provinciale battante et qui rêve d’une autre vie que celle à laquelle on la destine. Elle a, en tous les cas, bien du mérite car elle n’a absolument pas été doublée lors des marathons dactylographiques et de toutes les scènes où elle tape à la machine. 7 mois intense de dactylo auront été plus que payant…

Quant à Romain Duris, il incarne parfaitement Louis Echard : un jeune patron qui recherche la reconnaissance de son père, qui a laissé passer son amour de jeunesse et joue les machos avec toutes les femmes.

Populaire a obtenu l’ensemble des labels des cinémas. L’année dernière, c’est Intouchables qui avait réussi cet exploit. Souhaitons à Populaire autant de succès… En tous les cas, c’est une comédie très réussie avec laquelle on passe un très bon moment. Populaire sort aujourd'hui au cinéma.... Bonne séance !

Frimousses de Créateurs, l’édition 2012




Depuis 10 ans, l’Unicef récolte des dons avec l’opération Frimousses de Créateurs pour les enfants du Darfour. Les Frimousses des Créateurs en quelques chiffres, c’est 1 527 480€ récoltés en 10 ans, 771 poupées créées par plus de 250 créateurs.


Ainsi, des artistes, des designers, des grands couturiers et des joailliers mettent leur talent au service de cette action, en créant des poupées uniques sur une thématique précise. Leurs œuvres sont ensuite exposées quelques jours avant d’être mises aux enchères. 


Cette année, le thème "Yes Futur !" donne quelques modèles classiques mais également certains résultats assez étonnants, comme la poupée d'Olivia Putman ou celle de Philippe Daney.

 Olivia Putman

Philippe Daney

La poupée Chanel n'est pas une nouveauté puisqu'on avait déjà pu la voir dans les vitrines de la maison du même nom fin 2010. La poupée de Jean Paul Gaultier ne vous fait-elle pas penser à une personne bien connue ? Pour ma part, après avoir jeté un oeil sur l'ensemble des poupées, j'ai une préférence pour les Frimousses des couturiers.

Chanel

Christian Dior 

 Elie Saab

 Jean Paul Gaultier

Vous pouvez découvrir toutes les Frimousses 2012 sur le site de l’opération. Si vous êtes sur Paris, vous pouvez profiter de l’exposition gratuite qui démarre aujourd’hui au Petit Palais et sera présentée jusqu’au 2 décembre.

La vente aux enchères, quant à elle, aura lieu le 3 décembre à 20h30, également au Petit Palais et sera animée par Artcurial.

Exposition gratuite
Avenue Winston Churchill, Paris 8e
M° Champs-Elysées Clémenceau
Du 27 novembre au 2 décembre, de 10h à 18h (20h le jeudi 29 novembre)

Soufflé Pomme Mirabelle

Parfois, en cuisine, j'aime relever des défis. Et dernièrement, j'ai tenté le soufflé. Avec le soufflé, c'est tout ou rien. Et les risques de tout rater sont assez grands. Même si mon soufflé n'était très gonflé, il avait une belle légèreté en bouche... Alors on peut dire que c'était une réussite !

Soufflé Pomme Mirabelle


Ingrédients – Pour 4 personnes

2 blancs d’œuf
1 pincée de sel
40 g de sucre
2 Pots de dessert aux fruits Charles & Alice Sans Sucre Ajouté® Pomme Mirabelle
Un peu de beurre et de sucre



Préchauffer le four à 200°C.

Battre les blancs d’œuf en neige avec une pincée de sel.

Incorporer délicatement le sucre puis les pots de dessert aux fruits Charles & Alice. Faire bien attention en mélangeant à ne pas casser les blancs.

Beurrer et sucrer 4 ramequins. Verser la préparation aux 2/3. Enfourner et faire cuire 35 minutes. Petit conseil : évitez d’ouvrir la porte du four pendant la cuisson des soufflés, ils risqueraient de ne plus monter.

Servir immédiatement.



Article sponsorisé

Noël aux Galeries Lafayette... une grosse déception !


Pour moi, les fêtes de Noël sont synonymes de magie et féérie... En tous les cas, c'est ce à quoi je m’attends chaque année à la découverte des vitrines des grands magasins du boulevard Haussmann. Quelle n'a pas été ma déception lorsque j'ai découvert les vitrines des Galeries Lafayette il y a quelques jours.

Cela a commencé avec la façade. Certes on commençait un peu à se lasser des décors de l’année dernière, étant donné que cela faisait presque une dizaine d'années que l'on retrouvait toujours la même chose. Un peu de nouveauté était nécessaire. Mais là, franchement, ça fait un peu léger comme décoration.


Mais ma déception ne s'arrête pas là. A la place des vitrines animées avec soit les jouets de l'année, soit une thématique (l'année dernière, les galeries Lafayette avaient opté pour un noël Rock'n Roll), on découvre des marionnettes identiques dans chaque vitrine mais surtout une ode à Louis Vuitton. Il y a au moins les vitrines Disney pour donner une touche "Noël" à l’ensemble. Mais même si elles sont très joliment arrangées, elles ne sont pas animées...








Alors certes, les vitrines ont de la classe et une touche d'humour (notamment avec le panda, le chien avec les écouteurs ou même les pingouins), mais ce n'est pas pour rien qu'il n'y a quasiment pas d'enfants devant ! La cible de la clientèle du magasin a bien changé, c'est indéniable mais les vitrines de noël étaient une institution. Tout a été gâché par l'aspect totalement publicitaire...





La seule chose que j'ai apprécié fut le magnifique sapin décoré de cristaux Swarovski et qui brille de mille feux sous la coupole aux couleurs changeantes (et qui fête d'ailleurs ses 100 ans).



Il semble que le message soit passé dans tous les magasins car les vitrines du BHV ne sont pas mieux... Après une telle déception, je ne sais pas si je vais me déplacer pour voir celles du Printemps...

Et vous, qu'en pensez-vous ?

Je vais passer pour un vieux con de Philippe Delerm


Dans le cadre des matchs de la rentrée littéraire de PriceMinister, auxquels je participe pour la première fois, j’ai eu l’occasion de découvrir Philippe Delerm avec son dernier livre : "Je vais passer pour un vieux con".


J’ai choisi ce livre tout simplement parce que le titre m’avait bien amusée. Oui, mes choix de lecture se font souvent à partir de détails comme le titre ou l'illustration de la couverture et très rarement par la 4e de couverture. 

Philippe Delerm a décortiqué des expressions ou remarques de notre quotidien que nous employons soit par automatisme afin d’éviter d’entrer dans des détails personnels, soit par politesse. Ce n’est pas pour rien que le sous-titre du livre est "et autres petites phrases qui en disent long". Vous avez forcément dit un jour en entrant dans la mer "quand on est dedans, elle est bonne" ou vous avez sans doute déjà entendu quelqu’un vous dire au sujet d’un film ou une émission télé "j’étais pas né"…

Ce sont toutes ces petites phrases qui au premier abord sont anodines mais une fois que vous aurez lu Philippe Delerm, elles n’auront plus le même effet sur vous. Son regard sur ces expressions est amusant et lorsqu’on lit son point de vue, on ne peut qu’acquiescer. Ses explications sont tellement évidentes qu’elles nous font sourire.

Les chapitres s’enchainent rapidement et le livre se lit rapidement. Il est comme une récréation. En tous les cas, j'ai passé un très agréable moment à la lecture de ce livre.


De Philippe Delerm
Ma note : 17/20

L’exposition Radio au musée des Arts et Métiers


J’ai pris un peu de retard dans mes billets et du coup leur publication est un peu décousue et ne suis aucune chronologie. C’est pourquoi je ne vous parle qu’aujourd’hui de l’exposition "Radio",qui était présentée au Musée des Arts et Métiers jusqu’au 2 septembre.

Cette exposition était consacrée à l’histoire de la radiodiffusion en France des années 1920 à nos jours. La scénographie était particulièrement originale : des modules présentaient les postes radios d’une décennie, regroupés de part et d’autres d’un "fil" chronologique au sol reprenant tout l’historique. Des salons d’écoute permettaient de (re)découvrir des émissions radiophoniques ainsi que des affiches et des photos d’époque.



Je vous laisse découvrir une partie de la collection en images. Vous constaterez que la technologie a permis de réduire au maximum l’encombrement du matériel.