Ma visite découverte de Bordeaux

Bordeaux - Porte Cailhau
J’ai découvert Bordeaux, il y a deux ans. Dès la première visite, j’ai beaucoup apprécié la ville avec ses vieilles bâtisses, son centre-ville historique et les bords de la Garonne aménagés qui en font une bien agréable promenade. La deuxième visite de l’année dernière est venue confirmer mes premières impressions.

Le Bistrot Valois, un restaurant authentique et discret


Caché à quelques pas du Palais Royal et bénéficiant d’une magnifique place, le Bistrot Valois est sans aucun doute un restaurant au charme discret. Pour le trouver, il faut soit arriver sur la place de Valois par hasard, soit connaître les lieux. Je ne saurais que trop vous conseiller de tendre vers la deuxième option.

Situé dans les anciennes écuries de Louis-Philippe et de la famille d’Orléans, le Bistrot Valois en a, notamment, conservé la grande porte voûtée devenue une porte fenêtre. Les lieux sont vraiment agréables avec les pierres apparentes, le bar en zinc, les banquettes aux multiples coussins de la salle du fond, les portraits sur le mur de la première salle et ce mobilier bistrot au style si typique. En plus, le restaurant dispose d’une grande terrasse sur la place, à l’abri des voitures et des passants.

La Minute Vin ou l’art d’associer le vin à Paris

Source Vin & Société

J’aime beaucoup Paris. Ce n’est un secret pour personne. Et j’apprécie particulièrement le vin et aime découvrir son histoire, son patrimoine. Alors c’est avec plaisir que j’ai découvert "La Minute Vin", proposée par l’association Vin & Société qui représente les 500 000 acteurs de la vigne et du vin en France.

L’idée de "La Minute Vin" est de présenter les liens entre le vin et Paris, au travers de 20 vidéos de 1’20, à raison d'une par arrondissement. 1’20, c’est court mais suffisamment long pour nous en apprendre beaucoup.

Ainsi, je sais enfin à quoi correspond la capsule avec l’effigie de Marianne sur les bouteilles de vins. J’ai également découvert qu’il n’y avait pas que des vignes à Montmartre mais également sur la butte Bergeyre. J’ai appris l’histoire de la première activité de Lapérouse, célèbre restaurant du 6e arrondissement, tout comme la relation que certaines personnalités pouvaient entretenir avec le vin, comme Brassens, Audiard, Manet ou encore Baudelaire. Ou bien encore que les pompiers de la caserne de la rue Blanche réalise leur propre vin depuis les années 70, le Château-Blanche.

Ces petits reportages sont passionnants et on en regretterait presque qu’il n’y ait pas plus d’arrondissements à Paris pour en savoir plus. J’avoue une préférence pour "la Minute Vin" du 3e arrondissement qui raconte le vin au moyen-âge.



Retrouvez ci-dessous toutes les vidéos (avec un simple clic sur le titre) :



Le cimetière du Montparnasse & ses personnalités

A Paris, les cimetières se visitent au même titre qu’un musée ou une expo. Cela peut paraître bizarre mais ce sont des lieux riches en œuvres d’art et bien souvent sur les sépultures de personnalités.

Après avoir visité le Père Lachaise et Montmartre et plus de 20 ans passés à Paris, j’ai enfin pu faire un tour au cimetière du Montparnasse. Ce cimetière de 19 hectares se situe sur l’emplacement de 3 anciennes fermes dont il reste un vestige : la tour du moulin de la Charité. Il a été conçu au début du 19e siècle.


L'affaire du Dahlia Noir de Steve Hodel

J'ai découvert l'affaire du Dahlia Noir en lisant le livre de James Ellroy et son adaptation cinématographique.

Le Dahlia Noir est le nom donné à Elisabeth Short, une jeune femme de 22 ans retrouvée morte dans un terrain vague de Los Angeles, en janvier 1947, le corps, entièrement nu, roué de coups et coupé en deux. C'est certainement l'horreur de ce crime qui l'a rendu si célèbre, en plus de l'énigme la plus incroyable. Officiellement, à ce jour, ce crime n'a jamais été élucidé.

Le roman de James Ellroy s'adapte grandement de cette histoire mais reste une fiction. L'auteur s'est un peu attaché à cette histoire pour exorciser en quelque sorte le meurtre non élucidé de sa propre mère en 1950. A la lecture de ce livre, j'ai eu envie d’en savoir plus sur cette affaire du Dahlia Noir.


C'est ainsi que je suis tombée sur l'enquête de Steve Hodel, ancien inspecteur du LAPD (Los Angeles Police Department). J'avais le livre dans ma bibliothèque depuis quelques années quand je me suis décidée à le lire cet été. Et je ne m'attendais absolument pas à y découvrir cet incroyable dénouement.

Steve Hodel s'est retrouvé à enquêter sur l'affaire du Dahlia Noir tout à fait par hasard, en 1999, après le décès de son père. Sa belle-mère lui remet à ce moment-là un petit album photo regroupant les portraits des personnes que son père a le plus aimé. Quelle n'est pas sa surprise d'y trouver 2 photos d'Elisabeth Short. Et là, les interrogations commencent à le submerger. Comment son père a-t-il connu Elisabeth Short, quelle était leur relation, qui a pris ces photos plutôt intimes,... Ainsi a commencé l'enquête de Steve Hodel.
 
Album photo de George Hodel avec les photos d'Elisabeth Short (source)
Son expérience d'inspecteur de police lui a permis de prendre le recul nécessaire pour cette enquête et de ne pas se laisser emporter par les émotions tant il était impliqué personnellement.

Le livre est particulièrement bien construit et permet de découvrir les résultats de son enquête au fur et à mesure. Après un état des lieux de l'affaire, Steve Hodel nous explique comment il en est arrivé à enquêter sur ce crime, ce qui implique également de nous parler de sa vie et de celle de son père. Il ne se doutait pas en parcourant le fil de la vie de son père qu'il découvrirait l'être machiavélique qu'il était réellement.

George Hodel était une personne surdouée, dotée d'une très grande intelligence qui lui a permis d'occuper différents métiers (musicien professionnel, éditeur, journaliste,...) avant d'avoir 20 ans. Il fera ensuite des études de médecine. Son métier mais également son aisance relationnelle et son charisme lui permettront de rencontrer beaucoup de monde, notamment de grands artistes reconnus de l'époque comme Man Ray et John Huston.

Steve Hodel découvre ainsi les manigances et les déviances de son père (il échappera de peu à une inculpation d'inceste en 1949, affaire dans laquelle étaient également impliquées plusieurs personnes), la corruption importante au sein de la police de Los Angeles des années 40 et la protection dont aura bénéficié son père pour au final avoir la confirmation que non seulement son père est le meurtrier d'Elisabeth Short mais également un serial killer à qui il attribue une bonne trentaine de crimes réalisés soit seul ou avec la complicité de son meilleur ami. Après l'affaire d'inceste, se sentant un peu pris dans une souricière, George Hodel s'enfuira à l'étranger et restera en Asie plus de 40 ans avant de revenir aux États-Unis.

En lisant le déroulé d'enquête de Steve Hodel et toutes les preuves accumulées en 3 ans, on découvre un personnage machiavélique dont on ne soupçonnerait pas une seconde les tendances meurtrières tant il apparaissait comme une personne charmante, distinguée et cultivée. Qui plus est, avec une certaine place dans la société car il était le directeur d'une clinique spécialisée dans les maladies vénériennes. C'est d'ailleurs par ce biais que George Hodel a dû se constituer des rapports compromettants contre des personnes haut placées et ainsi assurer sa protection.
 
George Hodel en 1950 et Elisabeth Short en 1946 (source)
Dès le départ de l'enquête sur le Dahlia Noir, George Hodel était suspecté mais n'a jamais été inquiété. L'enquête du Dahlia Noir n'ayant jamais été résolue, est restée ouverte pendant toutes ces années. Au moment de la présentation des résultats de son enquête personnelle auprès du LAPD, Steve Hodel découvrira que les principales pièces à convictions (notamment celles qui auraient pu définitivement et de manière scientifique prouver la culpabilité de son père) ont disparues des scellés. Personne ne sait comment, ni quand. Mais les preuves découvertes par Steve Hodel ne laissent aucun doute. Toutefois, étant indirectes, elles ne permettent pas de clôturer définitivement l'affaire.

C'est un récit passionnant et déroutant que nous fait Steve Hodel au fil de plus de 700 pages! Je n'ose imaginer sa réaction en découvrant cette personnalité cachée de son propre père qui finalement était un dangereux psychopathe.

Le livre est préfacé par James Ellroy. Il était également personnellement concerné par cette enquête. En effet, au cours de ses recherches, Steve Hodel a également découvert que son père était très vraisemblablement l'assassin de la mère d'Ellroy.  

Si vous voulez découvrir cette incroyable histoire, en savoir plus également sur le LAPD des années 40 plus que gangrenée par la corruption à cette époque, je ne peux que vous conseiller le livre de Steve Hodel.

L'affaire du Dahlia Noir de Steve Hodel (2005)
Edition de poche Points

King Marcel, un burger 100% french !

Je pense que les burgers ne sont pas prêts de disparaître des cartes des restaurants. Mais la concurrence est rude et on peut facilement être déçu. Il y a plusieurs semaines, avec le Parisien, nous avons testé un petit nouveau sur ce marché. Il s’agit de King Marcel. Et lui, il ne nous a pas déçus.


Visiter Paris autrement [Best of]


C'est à l'occasion des beaux jours qu'il est vraiment agréable de se balader à Paris (comme ailleurs). Pour changer de la balade au gré du vent, je vous propose aujourd'hui 5 façons de visiter Paris autrement, que ce soit à pied ou en voiture, seuls ou avec un guide. Mais c'est surtout l'occasion de découvrir la capitale sous un autre angle.

La Cuisine du Dimanche #16 : Spécial Plancha !

L’été est la saison où l’on profite des barbecues et de la plancha. J’ai longtemps profité d’un barbecue électrique lorsque j’avais la possibilité de le mettre à l'extérieur. Parce que même électrique, le barbecue fait de la fumée ce qui n’est pas l’idéal en appartement.

Cet été, j’ai découvert la plancha électrique Brandt et nous avons profité des vertus de cette cuisson, la fumée en moins. La plaque en céramique facilite la cuisson : les aliments n’attachent pas et tout se fait rapidement. J’ai vraiment apprécié préparer nos repas avec la plancha, que ce soit viande ou poisson.


Encore novice dans la préparation des aliments pour la plancha, j’y suis allée étape par étape. La viande a été cuite simplement avec quelques herbes de Provence et une goutte d’huile d’olive, sans préparation particulière. Pour le saumon et les crevettes, j’ai opté pour une marinade. Voici donc ma recette du saumon au lait de coco.

*** Saumon au lait de coco et courgettes***


Ingrédients
2 filets de saumon
20 cl de lait de coco
2 cuillères à café de curry
1 à 2 cuillères à soupe de jus de citron vert
Coriandre,
Sel & poivre
2 courgettes
Huile d’olive

Mélanger le lait de coco, le curry, le jus de citron vert, la coriandre. Saler et poivrer les filets de saumon et les plonger dans le mélange lait de coco. Laisser mariner au moins 30 minutes.
Faire chauffer la plancha et verser quelques gouttes d’huile d’olive sur la plaque et étaler avec du papier absorbant. Faire cuire les filets de saumon 3/4 minutes de chaque côté.

Nettoyer les courgettes et les couper en rondelles fines. Verser de l’huile d’olive dans une poêle et faire cuire les courgettes. Saler et poivrer. Une fois les courgettes bien dorées, ajouter le reste de marinade et mélanger.

Servir le saumon, accompagné des courgettes au lait de coco.



Pour les crevettes, j’ai opté pour une marinade très simple : curry et huile d’olive. Ainsi, inutile de graisser la plaque de la plancha.


J’ai beaucoup apprécié l’utilisation de la plancha Brandt : la cuisson est rapide, peu grasse, sans fumée. De plus, la plaque se nettoie très facilement.


Mes recettes restent encore assez simples mais souvent la simplicité a du bon. Mais si vous avez des recettes de marinades, n’hésitez pas à les partager ici.


Crédit photos : ©La Parisienne du Nord

Hanoï Cà Phê, une cantine vietnamienne prometteuse !

Samedi dernier, je retrouve une amie pour déjeuner. Notre programme ayant subi quelques changements de dernière minute, nous avons arpenté les boulevards depuis Opéra en espérant trouver un restaurant qui nous tenterait.

C’est ainsi que tout à fait par hasard, nous sommes tombées sur le Hanoï Cà Phê, fraîchement ouvert, sur le boulevard des Italiens.
Pour ceux qui connaissent le quartier, à cet emplacement, il y avait une pizzeria qui déclinait de jour en jour et qui a surtout été connue pour la grève de ses cuisiniers puisque ces derniers avaient squatté pendant un long moment le restaurant, jour et nuit pour obtenir gain de cause. Une importante baisse de fréquentation des lieux aura également sonné le glas de cette pizzeria.

Le château fort de Mauléon

Je poursuis ma visite du sud-ouest en parcourant les Pyrénées Atlantiques et plus précisément dans le pays basque, à quelques kilomètres du Béarn (à 60 km de Pau plus précisément). Aujourd’hui, je vous fais découvrir le château fort de Mauléon.



Visite d’Hastingues et de l’abbaye d’Arthous, dans le sud des Landes

Nos régions regorgent de beauté et de tant de choses à voir. C’est au cours de mes balades dans les Landes que j’ai découvert la ville d’Hastingues et ses environs, avec ma tante.

L'aire d'autoroute d'Hastingues sur le chemin de Compostelle


Mais avant d’arriver au coeur de la ville, je vous conseille de passer par l’aire d’autoroute du même nom située sur l’A64. Cela peut paraître bizarre comme ça mais c’est sans doute l’aire d’autoroute la plus culturelle qu’il m’est été donné de voir.

Les Autoroutes du Sud de la France ont choisi de placer cette aire sous le signe de Compostelle et y ont aménagé un centre d’exposition consacré au célèbre pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. L’entrée est gratuite.

Carte retraçant la route de Compostelle
 


La ville d'Hastingues


Tout près, vous avez donc la ville d’Hastingues, bastide fondée par accord tacite entre l’abbaye d’Arthous et le roi Edouard 1er d’Angleterre, près des Gaves réunis. C’est son sénéchal John Hasting qui surveilla son édification en 1289 et lui donna son nom. Le village est situé entre Capbreton sur la côte landaise (55 km) et Pau dans le Béarn (82 km).

Une fois arrivées, nous avons laissé la voiture pour faire la visite à pied. Nous sommes parties de la Porte de l’enceinte de la bastide (1307/1310) pour remonter la rue de la Porte. Sur le chemin, nous avons découvert des maisons du 16e et 17e siècle ainsi que la maison Laplante dite "du Gouverneur ou du Sénéchal". Il s’agit de la plus vieille maison de la rue, dont la construction remonte au 15e siècle. Tout au bout de la rue, nous arrivons sur la place avec notamment l’église St Sauveur.

La ville (ou plutôt village vue sa taille) est calme en plein été et a ce charme si particulier. Je ne sais pas trop comment l’expliquer. Mais au fil de la balade, on découvre différentes bâtisses et cela nous plonge dans son histoire.
 
Ancienne Porte de la bastide
Rue de la Porte
La Maison du Sénéchal
La Place principale
Eglise d'Hastingues

L'abbaye d'Arthous


Le tour du village peut se faire rapidement car il n’est pas grand. De là, nous avons repris la voiture pour faire quelques kilomètres afin de visiter l’abbaye d’Arthous.

Cette abbaye a été fondée en 1167 avec pour vocation d’évangéliser les populations locales, offrir un hébergement aux pèlerins en route pour Saint-Jacques-de-Compostelle et contrôler un territoire disputé par plusieurs seigneuries : Navarre, Béarn et Gascogne.

"Prospère jusqu’au 16e siècle, grâce aux revenus de ses activités agricoles, l’abbaye joue un rôle non négligeable sur la vie locale : elle fonde notamment sur ses terres en 1289 la bastide d’Hastingues. Dévastée au 16e siècle par la guerre contre l’Espagne et les guerres de Religion, l’abbaye perd peu à peu de son influence et décline.
En 1791, alors qu’elle n’abrite plus que 3 chanoines, l’abbaye est vendue comme bien national et transformée en exploitation agricole. Ce site, classé au titre des Monuments historiques en 1955, a été donné au Conseil général des Landes."

L’ancienne abbaye a été restaurée et transformée en Centre départemental du Patrimoine. Lieu d’exposition, on y découvre le riche patrimoine du Pays d’Orthe.


Si vous avez encore un peu de temps devant vous, vous avez la possibilité de poursuivre votre route et d’aller découvrir les ruines du château de Bidache, à moins de 10 km d’Hastingues. (Mais là, vous aurez passé une "frontière" et vous vous retrouverez dans les Pyrénées Atlantiques.)
 
Château de Bidache
Nous n’avons pas pu faire la visite guidée car nous étions arrivées après la fermeture. Mais sans nul doute, ce site regorge d’histoires particulières, comme il y en a tant dans la région.


Aire d’Hastingues, Centre d’exposition
Ouvert de 9h à 18h (entre octobre et avril) et de 8h à 20h30 (entre mai et septembre)

Parcours découverte 1 heure

785 route de l’Abbaye 40300 Hastingues
Tél. 05.58.73.03.89
Ouvert de 10h30 à 13h et de 14h à 18h30 (du 1er avril au 30 septembre) et uniquement de 14h à 17h (du 1er octobre au 31 marsFermé les lundis, le 1er mai, le 1er et 11 novembre et du 1er décembre au 31 mars
Tarifs (expo temporaire et permanente) : 4,50€ / 3,50€

Crédit photos : ©La Parisienne du Nord

Jurer c'est pécher @ Les Feux de la Rampe

Au mois de juillet, nous avons assisté à une pièce de théâtre aux Feux de la Rampe. Dès la lecture du pitch, je me disais que l'humour serait au rendez-vous et je n'ai pas eu tort.


Jurer c'est pécher raconte l'histoire de "Pierrot Meunier, un cambrioleur amateur, qui s’introduit par erreur chez monsieur le curé. Surpris en plein méfait, il décide pour se racheter, d’aider le Père Cardwel. Et c'est là que les ennuis commencent : Les bénitiers se transforment en aquarium, l'office du dimanche en "after", la chorale se met aux paillardises et autres facéties du genre. Bref ! Une véritable tornade qui vient chambouler le quotidien de ce petit presbytère. Un calvaire pour le curé. Du pain béni pour le public."

Instaweek de la Parisienne #20

Cela fait bien longtemps que je ne vous avais pas parlé de mes aventures au fil de l'eau. Bientôt un mois que je n'ai pas publié d'Instaweek.

Je ne vais pas vous faire un article fleuve mais vous faire un résumé de l'essentiel de ces 3 dernières semaines, dont les deux dernières étaient consacrées à nos vacances.

Hard Rock Café Bruxelles

Avec le Parisien, lorsque nous partons à l’étranger, nous essayons dans la mesure du possible de profiter du Hard Rock Café local. Vous avez pu découvrir en me lisant que nous apprécions particulièrement cette chaîne de restaurants et nous allons régulièrement au Hard Rock Café de Paris. Aujourd’hui, je vous emmène découvrir le Hard Rock Café de Bruxelles.



Hôtel Plaza Bruxelles, le luxe à portée de main

Comme je vous le disais hier, ce qui nous a décidés à partir à Bruxelles le temps d’un week-end fut une promotion sur une chambre dans un hôtel de luxe : le Plaza de Bruxelles. Dormir dans ce type d’hôtel était un rêve et j’ai pu le réaliser à Bruxelles.


"Le grand hôtel Art Déco qu’est le Plaza fut bâti entre 1928 et 1931 […]. Ce grand hôtel eut plusieurs vies et fut en 1940 le siège de la Kommandantur des armées d’occupation pour la Belgique et le Nord de la France. La fuite des allemands, qui le piégèrent en partant, détruisit le jardin d’hiver et la verrière. Les forces alliées s’y installèrent ensuite et le cinéma fut rebaptisé Churchill de 1944 à 1949, du nom du célèbre occupant de l’hôtel. 

Dans les années 50, le Plaza fut l’hôtel des stars de cinéma et de la chanson, tels Brigitte Bardot, Bourvil, Fernandel, Yves Montand, Charles Trenet, dont beaucoup chantaient aux Variétés, music-hall et cinéma voisin, rue de Malines. Après une éclipse de vingt ans pour cause de crise économique et de concurrence aiguë, l’hôtel renaît de ses cendres en 1996, rénovant restaurant et valorisant son patrimoine, plus précieux que jamais, les qualités architecturales d’origine du bâtiment servant les besoins modernes de ses hôtes actuels." [source : site hôtel Plaza Brussels]

Lorsque nous sommes arrivés au Plaza, nous avons été de suite impressionnés par le vestibule et le salon d’accueil, avec sa grande hauteur de plafond, le mobilier et son charme si chic. L’accueil est très agréable.


Nous avions réservé une chambre Deluxe, une chambre spacieuse avec un immense lit. Je n’ose imaginer la taille des chambres selon les catégories suivantes, voire les suites. Nous avions réservé via booking pour bénéficier d’un tarif intéressant. Depuis, les prix ont semble-t-il baissés. Si vous passez par le site du Plaza, vous pouvez bénéficier de tarifs tout aussi intéressants (selon la date de votre voyage).


Le soir, nous avons profité d’un dernier verre dans les salons où nous avons également pris notre petit-déjeuner. Au retour dans notre chambre, nous avons eu la surprise de découvrir un chocolat sur nos oreillers et les prévisions météo pour le lendemain. Le luxe jusqu’au bout des détails…


La salle de bain, tout aussi spacieuse, de style art déco, vous transporte à une autre époque. Il y a tout ce qu’il faut pour y passer un instant de détente : peignoir, chaussons, produits de toilettes.


Pour le petit-déjeuner, nous avons profité d’un immense buffet avec différents mets, l’ensemble étant digne d’un brunch. Je n'ai pas de photos à vous montrer car je n'ai pas osé en prendre pour ne pas déranger les hôtes.


L’espace d’un week-end, nous avons profité d’un confort de luxe et c’était bien appréciable. Et finalement, le luxe peut être à portée de main. Alors pourquoi se priver, n’est-ce pas ?

Boulevard Adolphe Max 118-126, 1000 Bruxelles, Belgique
Tél. : +32.2.278.01.00

Offres proposées par le Plaza sur leur site : www.leplaza-brussels.be/fr/offres
Promotions notamment sur booking.com ou hotels.com

 A (re)découvrir : mes précédents articles consacrés à Bruxelles

Crédit photos : ©La Parisienne du Nord