Avant de lire cette biographie écrite par Jean-Noël Liaut, je ne connaissais rien de Madeleine Castaing, jusqu’à son nom.
J’ai acheté ce livre parce que j’étais attirée par le sous-titre : "mécène à Montparnasse, décoratrice à Saint Germain des Près". Et à la lecture de la 4e de couverture, ma curiosité a été plus qu’attisée. Je voulais connaître la vie de cette femme.
"Esthète et mécène, Madeleine Castaing (1894/1992) est surtout connue aujourd’hui pour son œuvre de décoratrice : elle conçut les intérieurs d’un XIXe siècle fantasmé et fit de sa boutique parisienne, rue Jacob, un temple du goût et de la conversation. Mais très bien avant d’aménager la maison de Jean Cocteau à Milly-la-Forêt, elle côtoya la bohème de Montparnasse et lança le peintre Chaïm Soutine. Personnalité turbulente, elle inspira le personnage de Julietta à Louise de Vilmorin, et au cours des vingt-cinq dernières années de très longue vie, elle fut une Maud qui collectionna les jeunes Harold dont le singulier François-Marie Banier."
A la lecture de la vie de Madeleine Castaing, j’ai découvert une femme capricieuse qui obtenait tout ce qu’elle voulait, qui aimait profondément son mari, envers et contre tout, qui a tout donné pour l’amour de l’art et des œuvres de Soutine en particulier. Sans le couple Castaing, Soutine n’aurait sans doute pas eu le même destin.
Parfois attachante, parfois exaspérante, on suit avec passion le parcours totalement atypique de cette décoratrice d’intérieur. Sans formation particulière, Madeleine Castaing s’est mise à travailler sur le tard. Son travail, elle le faisait à l’instinct, selon ses goûts personnels et avait réussi à créer son propre style.
J’ai découvert aussi une femme de caractère qui a toujours su ce qu’elle voulait, qui savait aussi se montrer dure avec son entourage, parfois égoïste, très souvent avare. Mais malgré ce fichu caractère, beaucoup des grands noms du monde des arts et des lettres ont fait partie de ses amis et semblaient être attachés à elle.
Ce qui m’a également amusée, ce fut de retrouver dans la vie de Madeleine Castaing un jeune photographe du nom de François-Marie Banier qui a fait la une de la presse il y a quelques temps suite à ses affinités avec une autre vieille dame fortunée… C’est fou ce que l’histoire se répète, non ?
A la fin de ce livre, je n’aurais su dire quel était mon sentiment vis-à-vis de cette femme, tellement sa personnalité avait de multiples facettes mais j’ai été particulièrement impressionnée par cette vie incroyable qu’elle a eu.
J’ai acheté ce livre parce que j’étais attirée par le sous-titre : "mécène à Montparnasse, décoratrice à Saint Germain des Près". Et à la lecture de la 4e de couverture, ma curiosité a été plus qu’attisée. Je voulais connaître la vie de cette femme.
"Esthète et mécène, Madeleine Castaing (1894/1992) est surtout connue aujourd’hui pour son œuvre de décoratrice : elle conçut les intérieurs d’un XIXe siècle fantasmé et fit de sa boutique parisienne, rue Jacob, un temple du goût et de la conversation. Mais très bien avant d’aménager la maison de Jean Cocteau à Milly-la-Forêt, elle côtoya la bohème de Montparnasse et lança le peintre Chaïm Soutine. Personnalité turbulente, elle inspira le personnage de Julietta à Louise de Vilmorin, et au cours des vingt-cinq dernières années de très longue vie, elle fut une Maud qui collectionna les jeunes Harold dont le singulier François-Marie Banier."
A la lecture de la vie de Madeleine Castaing, j’ai découvert une femme capricieuse qui obtenait tout ce qu’elle voulait, qui aimait profondément son mari, envers et contre tout, qui a tout donné pour l’amour de l’art et des œuvres de Soutine en particulier. Sans le couple Castaing, Soutine n’aurait sans doute pas eu le même destin.
Parfois attachante, parfois exaspérante, on suit avec passion le parcours totalement atypique de cette décoratrice d’intérieur. Sans formation particulière, Madeleine Castaing s’est mise à travailler sur le tard. Son travail, elle le faisait à l’instinct, selon ses goûts personnels et avait réussi à créer son propre style.
J’ai découvert aussi une femme de caractère qui a toujours su ce qu’elle voulait, qui savait aussi se montrer dure avec son entourage, parfois égoïste, très souvent avare. Mais malgré ce fichu caractère, beaucoup des grands noms du monde des arts et des lettres ont fait partie de ses amis et semblaient être attachés à elle.
Ce qui m’a également amusée, ce fut de retrouver dans la vie de Madeleine Castaing un jeune photographe du nom de François-Marie Banier qui a fait la une de la presse il y a quelques temps suite à ses affinités avec une autre vieille dame fortunée… C’est fou ce que l’histoire se répète, non ?
A la fin de ce livre, je n’aurais su dire quel était mon sentiment vis-à-vis de cette femme, tellement sa personnalité avait de multiples facettes mais j’ai été particulièrement impressionnée par cette vie incroyable qu’elle a eu.
J'aime beaucoup les portraits de femme... J'irai voir si je le trouve à la Bibliothèque.
RépondreSupprimer@ Xtinette : je te le souhaite...
RépondreSupprimerJe pense que je vais me l'acheter, la vie de cette femme à l'air incroyable !
RépondreSupprimer@ Mademoiselle : elle a effectivement eu une vie incroyable !
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