Instaweek de la Parisienne #12 & #13

Aujourd'hui, je vous propose deux semaines en une, agenda allégé oblige. Ces deux dernières semaines étaient particulièrement intenses au niveau professionnel alors le reste a été mis un peu de côté. Mais finalement, je ne m'en plains pas vraiment. C'était plutôt agréable de ne pas avoir à courir à droite, à gauche, de prendre le temps des choses.

Au cours de ces deux dernières semaines, j'ai fait de belles (re)découvertes :
  • le bar de l'hôtel Edouard VII, hôtel qui a une bien belle histoire,
  • le World Burger Tour avec les burgers locaux du Hard Rock Café à travers le monde,
  • le travail incroyable de la première promotion du Cours Florent Comédie Musicale,
  • La Victoire de Samothrace toute rénovée et quelques autres merveilles du Louvre,
  • De très bons vins lors de la présentation de la Foire aux Vins de Système U et notamment un délicieux champagne, Dericbourg,
  • le burger de chez Clyde,
  • l'hôtel le Mathurin dont la devise "le luxe d'être chez soi" est tout à fait appropriée,
  • les délicieuses gaufres des Oublieurs que vous pourrez découvrir, devant le Printemps Haussmann, à l'occasion des 150 ans du magasin.

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Et côté petits plaisirs du quotidien, j'ai repris le temps de faire des manucures, de cuisiner, de profiter du soleil sur le balcon... Et au boulot, on ne s'est pas laissé aller malgré l'intensité de ces dernières semaines.

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Et puis, aujourd'hui, à l'occasion de la fête des mères, des centaines de roses seront distribuées dans certains taxis G7.


Bon dimanche à vous !

Crédit photos : ©La Parisienne du Nord


Le Comptoir des Arts, un repas bistronomique Rive Gauche !

Nous allons rarement rive gauche bien que ce soit un plaisir de s'y balader. Quand on a ses habitudes dans un quartier, c'est difficile de s'en détacher. Récemment, nous avons dîné au Comptoir des Arts.


Situé à la sortie de la station de métro Censier-Daubenton, vous ne pouvez pas le manquer. Deux ambiances caractérisent cette brasserie moderne: une ambiance détendue au rez-de-chaussée avec des coins plus cosy, parfaits pour retrouver des amis et au premier étage, une ambiance plus discrète et calme pour des moments en famille, en amoureux ou même d'affaires.


Je connaissais le Comptoir des Arts mais je ne m'y étais arrêtée que pour prendre un verre ou un café.

Lorsque nous y avons dîné, nous avons pu apprécier les deux espaces car nous avons pris l'apéro au rez-de-chaussée et nous sommes ensuite montés pour le dîner.


L'accueil est souriant, agréable. Ici, pas de chichi, ni de rond de jambe mais un service efficace et convivial.

Dans nos assiettes, ce fut à la fois un plaisir visuel et gustatif. Le chef privilégie les produits de saison et donc la carte change en fonction, mis à part quelques classiques de la maison comme le tartare. Le midi, le chef propose des recettes en fonction du marché du jour.

En entrée, le Parisien a opté pour l'œuf mayo. Un classique me direz-vous mais celui-là sortait de l'ordinaire du fait de sa présentation mais surtout parce qu'il était accompagné d'une mayonnaise fouettée si légère que cela en a transformé cette entrée. En tous les cas, j'en connais un qui a adoré. Pour ma part, j'ai également opté pour un classique: le foie gras maison accompagné d'une confiture de tomates au piment d'Espelette. J'ai l'habitude d'avoir un accompagnement plus sucré avec du foie gras et j'ai été agréablement surprise par cet accord. Le foie gras est parfait et la confiture de tomates peu sucrée donne un contraste intéressant.


Côté plats, le Parisien a été plus raisonnable que moi et a choisi la tartine de haddock aux asperges vertes et fromage frais. Quant à moi, j'ai pris le tartare de bœuf maison avec son duo de frites (pommes de terre et patate douce). Monsieur était ravi de son choix. Encore une fois, la présentation est vraiment réussie et côté palais, on sent la fraîcheur des produits. Mon tartare était très bien préparé et assaisonné comme il faut. Et les frites délicieuses...


Arrivés à cette partie du dîner, nous étions vraiment ravis. Le choix du dessert a été plus difficile car la tentation est grande et aussi parce qu'il ne nous restait qu'une petite place. Mais l'envie de finir sur une note sucrée et de découvrir ce qui était proposé était très (plus) forte. Notre choix s'est porté sur la tarte aux fraises renversée & brisures de sablé breton et la pana cotta Mojito.


Au départ, c'était les fraises pour Monsieur et le Mojito pour moi. Mais j'ai eu du mal avec le goût de menthe/citron très prononcé et dont je ne suis pas très fan. Dommage pour moi car la pana cotta était très bonne, ferme et fondante. Alors nous avons échangé nos desserts et chacun s'est régalé. Le Parisien est fan de Mojito et a vraiment apprécié son "nouveau" dessert. Quant à moi, j'ai été ravie de la tarte renversée. Peu de sablé, la fraise est l'ingrédient essentiel de ce dessert, ce qui en fait une touche sucrée et légère en fin de repas. Bref c'était parfait.

Ajoutez à ce délicieux repas un très bon vin blanc. Et vous aurez la recette d'un repas réussi.


Autre point très agréable est que nous n'avons absolument pas vu le temps passer. Nous sommes restés près de 3 heures au restaurant et à aucun moment nous n'avons eu le sentiment de déranger. On était bien et on a très bien mangé. Que demander de plus!

100 rue Monge, Paris 5e
M° Censier-Daubenton
Ouvert tous les jours de 12h à 15h et de 19h à 23h
Tél. 01.45.35.28.34


Crédit photos : ©La Parisienne du Nord

Les rosés de Provence Château Cavalier [Châteaux et Domaines Castel]

Comme beaucoup, j’ai découvert le rosé avec les Côtes de Provence. Depuis quelques années, j’avais délaissé les rosés de Provence pour ceux d’Anjou, plus ronds et plus fruités à mon goût.

Il y a quelques semaines, je suis allée à une dégustation mets/vins à l’hôtel Prince de Galles où j’ai découvert les millésimes rosés 2014 du Château Cavalier, faisant partie des Châteaux et Domaines Castel : . Situé à Vidauban, dans le Var (à mi-chemin d’Aix et de Nice), la production du Château Cavalier est composée à 100% de vins rosés. Le Château Cavalier est un assemblage de plusieurs cépages, dont 4 prédominants : le Grenache, le Cinsault, le Syrah et le Cabernet Sauvignon.


Cette dégustation m’a permis de me réconcilier avec les rosés de Provence. J’ai découvert des rosés aux notes florales, frais en bouche, avec des arômes d’agrumes…

J’avoue une préférence pour le Château Cavalier Prestige (50% Syrah, 32% Grenache, 13% Rolle, 5% Sémillon), un vin à la robe claire avec un équilibre parfait en bouche.

La Réserve de la Famille (62% Grenache, 16% Syrah, 12% Cinsault) ne nous a pas laissé indifférent malgré tout. Je l’ai trouvé plus fruité et plus rond que le Cavalier Prestige.

Les amateurs de rosés de Provence apprécieront également le Château Cavalier (37% Grenache, 36% Cinsault, 13% Vermentino + Sémillon, 8% Syrah, 6% Carignan) qui donne l’impression d’être légèrement perlant (juste une illusion car le vin n’est absolument pas pétillant, même légèrement). C’est un aspect du rosé de Provence que j’apprécie moins.


Quant à l’association mets/vins, les rosés Cavalier se marient très bien avec du poisson, des sushis, des mets légèrement fort en goût comme un risotto. Ils accompagneront également parfaitement des desserts fruités.


En tous les cas, cette dégustation fut l’occasion d’une belle découverte. Je vous invite à les tester également, d’autant que les beaux jours arrivent. Ce sera donc l’occasion rêvée.

Château Cavalier Prestige 2014 Côtes de Provence – Prix estimé 14,90€ - En vente sur le circuit traditionnel et notamment dans les boutiques Nicolas
Cavalier Réserve de la famille 2014 Côtes de Provence – Prix estimé : 7€ - En vente en grande distribution
Château Cavalier 2014 Côtes de Provence – Prix estimé 10,70€ - En vente sur le circuit traditionnel et notamment dans les boutiques Nicolas

Crédit photos : ©La Parisienne du Nord

ClubKviar, un club pour gourmands gourmets et gastronomes !

Pouvoir réduire son addition au restaurant est un plaisir non négligeable. Aujourd’hui, les offres proposées telles que La Fourchette ou Restopolitan sont sous conditions : la remise ne s’applique que sur entrée/plat ou plat/dessert, sur des créneaux horaires précis, les boissons ne sont pas incluses dans l’offre, etc…

J’ai découvert, il y a quelques semaines, le ClubKviar qui propose non seulement une remise sur l’ensemble de l’addition, mais également un service de conciergerie personnalisé, permettant notamment d’organiser vos événements personnels ou professionnels. Le ClubKviar a fait ses armes en Espagne, plus précisément Madrid et Barcelone et est désormais présent sur Paris.



Le club propose à ses membres une sélection de restaurants, pour différentes occasions (dîner entre amis, en famille, en amoureux, pour un événement particulier…) et côté cartes, cela va du burger gourmet au restaurant étoilé, en passant par de belles adresses gastronomiques ou bistronomiques dont une que j’ai testé récemment et dont je vous parlerai très vite. Bref, il y en a pour tous les goûts et toutes les occasions mais également pour tous les porte-monnaie.

Ce que je trouve vraiment intéressant dans cette offre c’est la remise unique de 30% sur l’ensemble de l’addition, boissons comprises. Et puis, avec ClubKviar (www.clubkviar.com), il n’y a pas de mail à imprimer, de mot de passe à donner au restaurant. Tout se fait en toute discrétion et c’est bien appréciable. La démarche est simple : la réservation se fait via le site internet ou l’application mobile (téléchargeable gratuitement sur l'App Store ou Google Play) ou éventuellement auprès de votre conseiller par téléphone. Les frais de réservation sont gratuits pour les membres Gold/Executive. Sinon, comptez 5€ de frais si vous êtes membre Classique. Ce qui n’est pas grand-chose compte tenu de la remise dont vous bénéficiez sur l’addition.


Et pour devenir membre, il faut être coopté. A savoir être invité par une personne déjà membre. Aussi, je vous propose de vous parrainer au ClubKviar. Rassurez-vous : il n’y a pas d’engagement, ni aucune obligation. Une fois inscrit, vous pourrez faire la réservation dans le restaurant de votre choix.

Alors si vous souhaitez tenter l’expérience ClubKviar et découvrir leurs restaurants partenaires, n'hésitez pas à vous inscrire sur le lien suivant : Parrainage ClubKviar.

Vous pouvez également découvrir plus d'informations sur les restaurants du ClubKviar, découvrir des recettes, de bonnes adresses et plein d'autres informations, sur le blog Kviar.

*** Edit 2018 ***
Le club n'est plus disponible sur Paris

L’Atelier du peintre de Gustave Courbet comme vous ne l’avez jamais vu @ Musée d’Orsay

Cela faisait bien longtemps que je n’étais pas allée au musée d’Orsay et j’en ai eu l’occasion il y a quelques jours, le temps d’une soirée où le musée n’était rien que pour nous. Un privilège bien agréable. Voir le musée vide de ses visiteurs est vraiment une expérience incroyable.


Lors de cette soirée, nous avons découvert le nouveau projet, issu de la collaboration des équipes d’Orange, du musée d’Orsay et des entreprises Polymorph et Total Immersion et proposé autour de l’immense œuvre de Gustave Courbet : l’Atelier de l’artiste, allégorie réelle déterminant une phase de sept années de ma vie artistique. Le titre témoigne déjà de l’immensité de ce tableau, au sens propre comme au figuré. En effet, la toile mesure 3,61 mètres de haut et 5,98 mètre de large.


L’Atelier du peintre est le témoignage d’une époque mais également du monde proche du peintre. Ainsi, on y voit notamment le mécène Alfred Bruyas, le philosophe Proudhon, Baudelaire et même Courbet au centre de la toile. Côté vie "courante", Courbet y a représenté un prêtre, un marchand, un chasseur, un ouvrier, une mendiante…

Actuellement en restauration, la toile est toujours accrochée aux murs du musée, protégée par une paroi transparente. A cette occasion, une expérience inédite est proposée aux visiteurs : une immersion dans la toile grâce à la réalité augmentée. Des tablettes sont mises à disposition devant la toile permettant d’entrer dans l’Atelier du peintre et y découvrir les secrets de chaque personnage qui la compose, le processus de création du tableau ainsi que les enjeux de sa restauration. On y apprend, par exemple, l’existence d’un personnage caché et les raisons pour lesquelles il avait été finalement effacé par l’artiste. Grâce à la réalité augmentée, la tablette fait un peu office de scanner et dévoile les traces de ce personnage et de bien d’autres secrets.


Passionnante, ludique, interactive, cette plongée inédite dans l’œuvre, à la fois visuelle et sonore (les commentaires sont proposés en français, anglais et italien), permet d’en apprendre encore plus qu’avec un simple audioguide ou les informations écrites près du tableau. On peut aller chercher les informations qui nous intéressent en passant d’un personnage à un autre et même prolonger l’expérience en rentrant chez soi, grâce au site www.entrezdanslatelier.fr. Ce projet est vraiment une belle innovation dans le monde culturel et montre également que l’on peut tout à fait combiner art et nouvelles technologies.

Ma seule crainte est le temps que chacun prendra avec ces tablettes. En effet, il n’y a que 4 tablettes à disposition. Chacun devra donc se montrer fairplay et permettre à chacun de profiter de cette expérience, avec un temps d’attente limité.


Musée d’Orsay
1 rue de la Légion d’Honneur, Paris 7e
M° Solferino / Assemblée Nationale – RER C Musée d’Orsay
Ouvert tous les jours de 9h30 à 18h, sauf le jeudi de 9h30 à 21h45 (fermé les lundis, le 1er mai et le 25 décembre)
Tarifs : 11 € et 8,50 €

Crédit photos : ©La Parisienne du Nord

Les Dimanches d'un Bourgeois de Paris

"Les dimanches d'un bourgeois de Paris" est initialement une nouvelle de Maupassant, datant de 1880. Cette nouvelle relate les occupations d'un bourgeois parisien dont le médecin lui a prescrit de l'exercice. Thomas Grascoeur, réalisateur, y a vu une certaine modernité et l'idée d'adapter cette histoire à notre époque lui est venue naturellement.

Son court métrage raconte les tentatives désespérées d'un bobo parisien à trouver une activité lui permettant de diminuer son stress. Il essaiera de faire de la gym sur les berges de Seine pour finalement se mettre au vert en se baladant dans une forêt de banlieue. Mais quoiqu'il fasse, il lui est difficile de trouver l'activité qui le déstresse.

Thomas Grascoeur a également fait un parallèle avec le microcosme des fourmis, au début et à la fin du film. Une idée originale qui montre l'état d'esprit au début et à la fin des aventures de notre bobo parisien. Et puis, le monde des fourmis est assez représentatif de notre monde, n'est-ce pas ?

Le peu de dialogue peut être déconcertant mais l'acteur principal offre une telle palette d'expressions que les mots sont inutiles pour comprendre ses impressions, son ressenti. 

J'avoue que le début m'a quelque peu déroutée mais j'ai vite oublié cet aspect du film grâce au côté cocasse des situations qui m'a bien fait sourire. Je suis même ressortie de la projection avec l'envie de lire la nouvelle de Maupassant.

Il s'agit là du premier film de Thomas Grascoeur, qui sera d'ailleurs présenté à Cannes pour le Short Film Corner et vient notamment de trouver un distributeur. Voilà qui annonce de belles perspectives pour ce jeune réalisateur. Je lui souhaite de belles réussites.

En attendant la diffusion des dimanches d'un bourgeois de Paris, voici un teasing.



un court métrage de Thomas Grascoeur, d'après une nouvelle de Maupassant
Avec Henri Rizk, Sylvia Maria Alves, Clément Chauvin, Déborah Dulniau, Floriane Jourdain

Instaweek de la Parisienne #11

Parfois, je me dis "chouette, une semaine calme. Je vais pouvoir souffler un peu" et au final, rien ne se passe comme prévu mais avec de bonnes surprises alors c'est plutôt agréable. 

Cette semaine, nous avons fêté l'anniversaire du Parisien aka @FrenchyChristof. Pour l'occasion, j'ai fait un Carrot Cake, inspiré de la recette de Marc Grossman, issue de son livre "Un goûter à New York".

Lundi soir, je suis allée découvrir un court métrage dont je vous parlerai la semaine prochaine, ce qui m'a donné l'occasion de passer par le quartier du Moulin Rouge. Mardi, avec le Parisien, nous sommes passés prendre un verre au Café Oz, un de nos pubs préférés. Mercredi, j'ai découvert un nouveau restaurant très sympa à quelques pas de mon bureau et dont les plats sont très bons : le Bistrot T. Le soir, je suis passée en coup de vent au Citadium pour découvrir les produits GoGear dont je vous ai parlé ici.

Pour le jeudi de l'Ascension, je suis restée tranquille à la maison. De toute façon, il ne faisait pas beau. Alors, comme souvent dans ce cas, je cuisine. Et ce jour-là, j'ai fait un pain aux céréales et aux figues, tellement bon qu'il n'a pas duré très longtemps.

Vendredi, pas de pont pour nous. J'ai juste eu le temps de profiter de quelques rayons de soleil, le temps d'arriver au bureau. Car le gris nous a vite envahi.

Samedi midi, c'était l'occasion d'un déjeuner en amoureux dans un lieu superbe, très agréable et dont les plats étaient tous succulents. Il s'agit de la Gare, dans le 16e arrondissement. Je vous en parlerai plus en détail prochainement.

L'après-midi, je suis allée me balader dans le parc des Buttes-Chaumont, pendant que @FrenchyChristof faisait le filage du spectacle de son école de chant, Vocalmania. L'occasion pour moi de faire quelques jolies photos avant d'aller voir ce spectacle préparé depuis des semaines par tous les élèves et l'équipe de Vocalmania. Ils ont vraiment été formidables.

Et puis ce matin, j'ai la mauvaise surprise de me réveiller enrhumée. Je sens que la semaine prochaine va être longue... En attendant, je vais faire comme Domino, je vais rester au chaud!

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Bon dimanche à vous!

Crédit photos : ©La Parisienne du Nord