Rendre à l'art la simplicité de ne pas l'être

J’ai tout d’abord été intriguée par ce 1er pochoir vu Rue de Sévigné (Paris, 4e). Le temps a passé et un jour, je suis tombée sur une publicité annonçant l’ouverture prochaine d’une boutique Bodum sur l’avenue de l’Opéra… Regardez bien en bas à droite : on retrouve ce même pochoir !



Un ptit tour sur Google et j’ai découvert les œuvres de leur auteur, William Benhamou. Pour ceux qui sont intéressés, il y a le vernissage de sa prochaine exposition le jeudi 3 mars à la galerie Memmi (130 rue du Faubourg Saint Honoré, Paris 8e). Vous pouvez obtenir une invitation, via son site internet, ici !

Ses œuvres sont modernes, colorées. De tout son travail présenté sur le site, j’ai une préférence pour les photos. Du peu que j’ai pu voir de ses toiles, je suis assez partagée… Certaines œuvres me plaisent bien et d’autres moins… Pour en savoir plus, rendez-vous sur son site, ici.

Crédit photos : © La Parisienne

C'était hier soir...

Hier soir, avec le Parisien, nous avons profité de la douceur hivernale pour nous ballader et aller déguster une délicieuse fondue au chocolat dans la boutique Häagen Dazs du boulevard Saint Germain (Paris, 5e). C'était aussi pour nous l'occasion de tester les deals Dealissime !
Après avoir avalé tout ça, une bonne marche jusqu'à Saint Lazare nous a fait le plus grand bien !


Et en chemin, nous sommes passés par le Théâtre du Châtelet où avait lieu la cérémonie des Césars... comme en témoigne la foule à l'extérieur du théâtre ! Certains d'entre vous ont peut-être assisté à la Cérémonie devant leur poste de télévision ?



Crédit photos : © La Parisienne

Une porte spéciale...

Au cours d’une ballade dans le 18e arrondissement, j’ai été fort étonnée par cette porte et la tête de diable au dessus, située rue Durantin. J’ai longuement cherché sur le net son origine mais sans succès.

Par contre, j’ai trouvé une foule d’informations sur la rue, ici ! On y découvre que la rue Durantin a accueilli bon nombre d’artistes !



En attendant, cette porte restera un mystère pour moi. Et pour vous ?

Crédit photos : © La Parisienne

Déjeuner entre filles au Loir dans la Théière

Samedi dernier, à l'occasion d'un "brunch" (qui s'est finalement transformé en déjeuner) entre filles, j'ai découvert "Le Loir dans la Théière", un restaurant, salon de thé situé au 3 rue des Rosiers dans le 4e arrondissement (métro Saint Paul).
Le décor est composé de mobilier de récup' et les murs sont recouverts d'affiches diverses. C'est ce qui fait tout le charme de ce lieu : une décoration faite de bric et de broc... sans compter toutes les délicieuses choses que l'on peut y déguster.
Pour ma part, ce fut quiche aux épinards, camembert et noix (très bonne mais je regrette de ne pas avoir un peu plus senti le goût du fromage). La quiche courgette et chèvre n'avait pas l'air mauvaise non plus !
En dessert, ce fut la non moins célèbre tarte au citron meringuée (un délice qu'il est difficile de finir...), tarte à l'ananas et sa crème chibouste (je ne connaissais pas ce dessert et je me suis régalée !) et tarte au fromage blanc (oups, j'ai oublié de la prendre en photo...).

Outre le plaisir d'un moment entre filles, j'ai vraiment adoré ce lieu à la fois pour son ambiance et les délices dégustés. Je pense que j'y retournerais très vite, ne serait-ce que pour goûter aux autres gourmandises disposées sur le buffet des desserts... et en plus, le Parisien est très tenté par la tarte au citron, ça ne fera qu'une occasion supplémentaire !


Crédit photos : © La Parisienne

Cover Girl

Les Galeries Lafayette du boulevard Haussmann (Paris, 9e) dispose d’une galerie présentant 5 fois par an des expositions dont le thème tourne toujours autour de la création.

En ce moment et jusqu’au 19 mars prochain, l’exposition Cover Girl a élue domicile dans cette galerie. Elle regroupe photographies et couvertures de magazines, notamment ceux des Galeries Lafayette de 1906 à 1968.
Depuis cinquante ans, la photographie de mode ne cesse de définir les canons de la beauté féminine. Devenue l’une des cultures visuelles parmi les plus partagées au monde, cet art du portrait spécifique à la publicité et aux magazines n’a jamais laissé la création contemporaine indifférente. (source : le site de la Galerie des Galeries)

L’exposition commence par une série de photos de Michel Journiac représentant 24 heures de la vie d’une femme ordinaire et datant de 1974. Ce qui est moins ordinaire c’est que cette femme est interprétée par un homme. Certaines photos m’ont amusée de part le contraste entre le cliché des tâches dites féminines et la masculinité du personnage.

On poursuit la visite avec notamment des photographies de Josephine Meckseper et Juan Francisco Casas, quelques couvertures de magazines représentant le travail de Martha Rosler.



Dans une autre salle, sont affichées les couvertures de15 catalogues de vente des Galeries Lafayette de 1906 à 1968. C’est la partie de l’exposition que j’ai préféré.


Et juste avant de sortir de la galerie, vous pourrez également voir la lithographie réalisée par Rebecca Bournigault (50 exemplaires sont en vente à la Galerie) et quelques couvertures du FILE magazine, réalisées par un collectif d’artistes canadiens, entre 1967 et 1994.


N’hésitez pas à découvrir cette exposition gratuite qui présente un mélange des genres, pour le moins assez étonnant.

Crédit photos : © La Parisienne

Manger, Bouger : par ici, le chemin !

"Manger, Bouger", voilà un slogan dont on entend parler depuis des années. Il y a quelques semaines, on a vu des affiches dans le métro montrant que faire 30 minutes de marche par jour pouvait être très simple dans son quotidien.
Moi, ces affiches, elles ne me parlent pas car j’ai tendance à marcher plutôt que de prendre le métro. Je préfère encore marcher que de faire une correspondance dans le métro ! En fait, marcher en ville, c’est ce que je préfère et je peux le faire pendant des heures ! C’est dans ces moments que je peux vraiment découvrir tout ce que la ville a à offrir et les surprises qu’elle réserve !

Et il y a quelques jours, j’ai découvert ces panneaux un peu partout en ville… Je n’y avais pas du tout fait attention jusqu’à ce que Sheily nous en parle !

Après la campagne d’affichage, l’INPES propose ces panneaux de signalisation, indiquant la durée approximative du trajet à pied d’un quartier à un autre… encore faut-il que les directions soient justes, ce qui n’est pas toujours le cas.

Ces panneaux sont apposés sur des murs ou des vitrines, à différents endroits de la ville.
Ainsi pendant les 6 prochains mois, vous pourrez retrouver cette signalétique urbaine dans une dizaine de villes à travers toute la France : Paris, Lyon, Bordeaux, Marseille, Lille, Nice, Nantes, Nancy, Meaux. D’autres villes de France viendront rejoindre l’opération courant 2011-2012. (in mangerbouger.fr)

En voici quelques uns…

Rue Lafayette (10e)

Rue du 8 mai 1945 (10e)

Rue Rochechouart (9e)


Et vous, vous êtes plutôt marche à pied ou transports en commun quoiqu’il arrive ?


Crédit photos : © La Parisienne

Cupcakes maisons !

Après avoir goûté ceux de Berko (dont je vous ai parlé ici), j'ai eu envie de me lancer dans la préparation des cupcakes. J'ai essayé tout d'abord une recette de base trouvée sur internet, avec le glaçage suivant :


Crème au beurre à la vanille

Pour 250 à 300 g de glaçage
100 g de beurre très mou
400 g de sucre glace
60 g de crème fleurette
1 CC d'extrait de vanille liquide
Mélangez le beurre avec la moitié du sucre glace au batteur électrique pendant 30 secondes puis ajoutez la crème fleurette et l'extrait de vanille.
Mélangez à vitesse moyenne pendant 4 minutes environ jusqu'à obtention d'un mélange homogène et crémeux.
Ajoutez le reste du sucre glace, petit à petit, en mélangeant environ 1 minute entre chaque ajout. Continuez de battre jusqu'à ce que le glaçage ait la consistance idéale pour être étalé facilement.

In Cupcakes, Alisa Morov (éditions Les Petits Plats, Marabout)
Et puis, il y a quelques jours, j'ai trouvé un nouveau livre au Virgin et j'ai eu envie de faire un nouvel essai. Avec la recette de cette pâte de base, les cupcakes sont beaucoup moins gras que la recette que j'avais précédemment utilisé. Cette fois j'ai opté pour un glaçage au mascarpone, moins gras que la crème au beurre.

Pâte à cupcakes de base

Pour 12 gros cupcakes
2 gros œufs
120 g de beurre très mou
4 CS de lait (5 cl)
140 g de farine
100 g de sucre en poudre
2 CC rases de levure chimique (½ sachet)
1 pincée de sel
1 CC d'extrait de vanille liquide


Préchauffez le four à 180 °C (th. 6)
Mélangez le beurre et le sucre à l'aide d'un batteur électrique jusqu'à ce que la préparation blanchisse.
Ajoutez les oeufs un à un, puis la farine, le sel et la levure chimique. Mélangez bien puis incorporez le lait et le parfum de votre choix.
Déposez des caissettes en papier dans chaque alvéole de votre moule à muffins. Déposez 2 cuillérées à soupe de pâte dans chaque caissette. Enfournez et laissez cuire 20 minutes.
Laissez refroidir avant de garnir du glaçage de votre choix.



Glaçage au mascarpone
300 g de mascarpone
10 cl de crème liquide entière
50 g de sucre de glace
3 sachets de sucre vanillé
1 CC d'extrait de vanille liquide

A l'aide d'un batteur électrique, fouettez le mascarpone avec le sucre glace, le sucre vanillé et l'extrait de vanille. Ajoutez peu à peu la crème liquide en fouettant en vitesse lente pour éviter que le mélange se transforme en beurre.

In Cupcakes, Estérelle Payany (Solar Editions)
Les 2 livres offrent une multitude de possibilités, à la fois sucrées et salées. Je serais bien tentée d'essayer prochainement des cupcakes à la carotte ou ceux aux courgettes. Affaire à suivre...

En tous les cas, ce n'est pas le chat qui me dira d'arrêter mes expériences (ni le Parisien d'ailleurs qui se prête aux tests avec grand plaisir !). Il a même enfreint un interdit pour succomber à ce délice qui lui titillait tant les narines depuis un moment !

Et vous, avez -vous déjà tenté l'expérience ?

Crédit photos : © La Parisienne

De l'interprétation du texto entre Sex Friends...

On a tous, à un moment de notre vie amoureuse, échanger des textos (enfin depuis l’arrivée des téléphones portables… bien évidemment !) avec notre partenaire du moment. Et en se demandant parfois qu’elle en était la signification cachée…

Le scénariste de Sex Friends (No Strings Attached, avec Natalie Portman et Ashton Kutcher) a bien dû connaître ce genre de situation, surtout entre copains, comme en témoigne cette scène.

Ce qui m’amuse c’est de voir les commentaires masculins : sans ambigüités, directs. Alors que très souvent pour un même message, l’interprétation féminine sera plus romantique, voire même très fleur bleue… et parfois à côté de la plaque (sauf peut-être Samantha Jones et ses copines de Sex & The City) !

Pour voir le reste du film, il faudra attendre le 16 février prochain ! Je ne sais pas vous, mais moi, je sais ce que je verrais au cinéma le week end du 19 février !

Et sinon, vous avez déjà vécu ce genre de situation autour d'un texto (ou sexto) ?

Le Café Grévin, un nouveau lieu parisien !

Depuis le 1er février dernier, il existe un nouveau lieu où prendre un verre, déjeuner ou même diner. Situé entre le musée Grévin et le Café Oz, le café Grévin est un nouveau lieu très agréable pour une pause solo ou entre amis. Situé sur les Grands Boulevards, c'est notamment une alternative supplémentaire pour grignoter un morceau avant d'aller au théâtre, notamment juste en face au théâtre des Variétés.

Le lieu était resté très longtemps inoccupé, après la fermeture du TGI Friday's et du café Haagen Dazs qui s'est déplacé un peu plus loin. En passant dans le quartier quelques jours avant l'ouverture, j'avais pu apercevoir un peu le décor au travers de la porte d'entrée entre-ouverte. Le style "Belle Epoque" avec ce velours rouge avait attiré mon œil. Et du coup, je suis allée tester le lieu le lendemain de l'ouverture, en y dégustant un thé (ayant peu de temps à ce moment là mais je ne manquerais pas d'y retourner pour tester un peu plus la carte).

La décoration du café Grévin vous offre un bond dans le temps, un dépaysement comparé au classicisme ou modernisme trop poussé de certains cafés parisiens. Les prix ne sont pas beaucoup plus élevés qu'ailleurs. Le thé est à 4 €, ainsi que les sodas et l'expresso à 2,50 €. La carte propose également différentes formules : petit-déjeuner à 9,40 €, déjeuner à 19,40 € (entrée/plat ou plat/dessert ou café gourmand), tea-time de 15h à 18h à 8,90 €, formule 30 minutes jusqu'à 20h (idéal avant le théâtre !) à 16,40 €.

Voici un petit tour d'horizon du lieu en images...





Café Grévin
Ouvert tous les jours
Tél : 01 42 46 01 92
Boulevard Montmartre, Paris 9e (métro Grands Boulevards)

Crédit photos : © La Parisienne

*** Edit 2015 ***
Le Café Grévin est définitivement fermé

*** Edit 2017 ***
Le Café Grévin est à nouveau ouvert !! 😉

L'amour sur tous les panneaux lumineux parisiens

Ce ne sont pas les idées qui manquent pour déclarer votre flamme à votre bien-aimé(e) à l'occasion de la Saint Valentin. Les petits coeurs rouges sont dans toutes les vitrines. Impossible de faire un pas ou d'ouvrir un magazine sans en entendre parler.
Beaucoup considère cette date comme une énième fête commerciale et d'autres (les éternels romantiques et autres fleurs bleues) ont, chaque année, envie de jouer le jeu de l'amour, tout spécialement le 14 février !
Alors ce billet est pour eux !
La ville de Paris vous propose de déclarer votre amour sur tous les panneaux lumineux, de l'arrondissement de votre choix en 160 caractères maximum.
Pour cela, c'est très simple, il vous suffit de vous rendre sur le site de la ville de Paris (ici) avant le 9 février prochain, minuit, pour écrire votre message. Les plus belles déclarations seront diffusées pendant toute la journée du 14 février !
A vos plumes...

Hors piste aux Maldives @ Théâtre Fontaine

Mardi dernier, je suis allée voir la pièce "Hors Piste aux Maldives", au théâtre Fontaine (10, rue Pierre Fontaine, Paris 9e, métro Blanche), avec Lili, l'occasion de pouvoir faire un peu plus connaissance !

Il s'agit de la suite du premier opus "Hors Piste" qui se déroulait à la montagne et que j'étais persuadée n'avoir pas vu (même si le Parisien me disait le contraire, je n'en avais aucun souvenir). Du coup, je n'avais pas d'attentes particulières mardi soir. Ce n'est que 5 minutes avant le début de la pièce, en discutant avec Lili, que j'ai eu quelques souvenirs qui me sont remontés à la surface. Finalement, le Parisien avait raison : on avait bien vu la précédente pièce !


Comme l'indique le sous-titre de la pièce, "l'aventure continue... mais en tongs", il s'agit des retrouvailles de 5 amis et de leur ancien guide de montagne.

Trois ans après un week-end HORS-PISTE au ski assez mouvementé, Thomas Klein, brillant homme d’affaires, a de nouveau réuni ses amis aux Maldives, pour célébrer ses 40 ans. Les Maldives, plein les gencives !
Mais la vie est un long fleuve peu tranquille, la crise financière est passée par là et les destins de chacun ont radicalement changé.
Cookie est plus que jamais une artiste underground glamour et militante.
Blandine est devenue son assistante et s’émancipe à son contact en devenant une femme libre et indépendante.
Stan a troqué ses foyers sociaux de jeun’s à Aubervilliers contre un engagement humanitaire à travers le monde.
Quant à Francis, pizzaïolo à la dérive, suite à sa rupture avec Blandine, il sort de la dépression après avoir fait son coming out.
La cerise sur le gâteau étant la présence de Pierre, l’improbable guide de haute montagne qui a radicalement changé de vie et qui est mystérieusement invité par Tom.

Ce qui devrait alors être un séjour de rêve tourne vite à la catastrophe n’en déplaise à leur hôte bientôt totalement dépassé par la situation. Leur amitié va être une nouvelle fois mise à rude épreuve.

On prend les mêmes et on recommence dans une comédie au sommet qui devient tropicale. L’aventure continue… mais en tongs. (source : site du théâtre)

Contrairement à certaines suites, rien ne vous empêche de voir cette pièce sans avoir vu la première. Vous ne serez pas perdu dans le suivi dans l'histoire. Il s'agit d'une nouvelle aventure, jouée par les mêmes comédiens avec beaucoup de talent (une mention toute particulière à Marie Montoya qui interprète Blandine avec un tél réalisme qu'on aurait du mal à l'imaginer autrement au naturel !).

L'humour est présent d'un bout à l'autre, avec quelques réparties qui font mouche (ainsi que quelques références de culture générale pendant lesquelles je me suis demandée si la jeune adolescente assise à côté de moi savait de quoi ça parlait) et des clins d'œil à l'actualité (notamment lorsque Francis cherche de la Biafine dans sa banane et n'en ressort que du Di-Antalvic ou du Médiator !). Les sonneries de téléphone m'ont bien amusée et m'ont fait penser à toutes celles diverses et variées que l'on peut entendre dans le métro.

Seul bémol (et quand même de taille) : la scène du chien (dont je ne vous parlerais pas pour vous laisser la surprise intacte) était me semble-t-il inutile. Ça m'a paru un peu trop gros pour être vrai... et ça a finalement un peu gâché le dernier tiers temps de la pièce.

Mis à part ce détail, vous passerez un bon moment... cette pièce est idéale pour décompresser après une dure journée et se détendre sans prise de tête !

Depuis le jeudi 20 janvier 2011 :
Du mardi au vendredi 20h30
Samedi à 18h00 et 21h00
Tarifs de 20,50 € à 37,50€ (10 € pour les moins de 26 ans)
Réductions du mardi au vendredi, jusqu'au 25 février sur Billetreduc.com

D'autres avis chez Lili et Bliss