Aéroville, le paradis des accros du shopping… mais pas que !

J’avais entendu parler d’un nouveau centre commercial à 2 pas de l’aéroport Charles de Gaulle depuis plusieurs mois. Je n’imaginais pas à ce moment avoir l’occasion d’assister à l’inauguration du plus grand centre commercial d’Europe : AEROVILLE.


Son nom peut vous faire penser à quelque chose de grandiose et bien, c’est le cas. Aéroville, c’est 84000 m² de boutiques, restaurants, loisirs et services.


Côté shopping, 200 boutiques vous accueillent, avec notamment Marks & Spencer et un rayon alimentaire digne de ce nom, des enseignes dérivées de Mango, dont je ne soupçonnais pas l’existence mais qui pourraient en intéresser plus d’un(e) (He by Mango, Violeta et Mango Touch), un bar à ongles Essie, des enseignes internationales (Sabon, Forever 21, Vans,…).



Côté restauration, suivant l’exemple des Etats-Unis, les 17 restaurants sont centralisés dans le Terminal Cook, avec une offre de cuisine du monde à faire tourner les têtes (asiatique, dim sum, américain, italien, indien,…), à 2 pas du premier multiplexe Europacorp Cinema, qui propose des séances toutes les 10 minutes mais également une offre privilégiée dans les salles First, avec une place sur canapé et un service à la place.




Les allées larges et la grande hauteur de plafond en font un lieu agréable et un espace aéré. Vous pourrez même y passer la journée car tout est prévu pour vous faire passer un agréable moment. Le personnel du centre commercial vous fera penser au personnel navigant des avions, du fait de leur costume. Des espaces de repos décorés selon 5 ambiances du monde (Tropical Design, Nordic Chic, Tokyo Mix, Africa Lodge et Bali Market) vous feront également voyager. Aéroville a prévu des services Première Classe pour ses visiteurs et à chaque pas dans les allées, vous pourrez vous en rendre compte.



Aéroville prévoit d’accueillir 12 millions de visiteurs par an et vu la foule présente lors de la soirée d’inauguration, je pense que le pari sera réussi.


Et cerise sur le gâteau, du fait de son emplacement, Aéroville est ouvert tous les jours (de 10h à 20h), même le dimanche !

AEROVILLE
Site internet : aeroville.com
Page Facebook : facebook.com/aeroville


La Cuisine du Dimanche #8 “Spécial Halloween” : Les Tagli’Adams au surimi


Lorsque Fleury Michon me lance un défi culinaire, je ne peux résister. Pour ce défi, il me fallait faire une recette chaude à base de surimi et mettre à l’honneur les couleurs d'Halloween, notamment le orange.

Pour une fois, j’ai eu une idée très rapidement. Voici donc ma participation au défi culinaire de Fleury Michon et je peux même vous dire qu’avec le Parisien, on s’est régalé !

Les Tagli’Adams au surimi


Ingrédients pour 2 personnes
150 à 200 g de linguini à l’encre de seiche
12 bâtonnets de surimi à la chair de crabe + 2 pour la décoration
3 carottes moyennes
20 cl de crème fraîche épaisse
Sel, poivre et paprika doux
Quelques lamelles de tomates séchées (facultatif)

Faire cuire les linguinis selon les indications du paquet. Une fois cuites et égouttées, les mettre de côté.

Eplucher et couper les carottes en rondelles. Les faire cuire à la vapeur. Couper chaque bâtonnet de surimi à la chair de crabe en 3. Mettre un peu de matière grasse dans une poêle et faire légèrement dorer les carottes. Ajouter le surimi. Saler, poivrer à votre convenance et ajouter environ 1 cuillère à café de paprika. Remuer puis ajouter la crème fraîche. Ajouter un peu de paprika si la couleur de la préparation ne vous semble pas assez orangée.

Dresser les linguinis dans une assiette en forme de nid. Mettre les carottes et le surimi au centre. Couper le haut d’un bâtonnet de surimi dans la longueur en 3 et le plonger sur le côté du mélange carottes/surimi. Ajouter au centre de l’ensemble quelques lamelles de tomates séchées. Saupoudrer le tout d’un peu de paprika.



Bonne dégustation et Happy Halloween !

Etrusques @ Musée Maillol


Ma connaissance des Étrusques se limitait au fait qu’il s’agissait d’une civilisation méditerranéenne très ancienne. J’ai eu l’occasion de découvrir l’exposition qui leur est consacrée au Musée Maillol. J’ai ainsi découvert une civilisation étonnante, qui s’est développée entre le 9e et le 2e siècle avant J-C. Lorsque l’on  voit leur travail de la poterie et du bronze, on ne peut qu’être admiratif de leur talent, surtout pour cette époque.

Les Étrusques sont connus pour être un peuple de marins et de marchands mais leur image est souvent associée au monde funéraire, du fait des découvertes archéologiques faites au 19e siècle. Mais le musée Maillol nous en montre bien plus et notamment les différents aspects de leur vie quotidienne avec l’habitat, les objets de la vie courante, les bijoux,… 

Les objets funéraires ne sont pas mis de côté. D'ailleurs, la présentation des différentes urnes et stèles montrent combien il s’agissait d’un élément important pour eux, comme pour la plupart des anciennes civilisations.



Cette exposition est l’occasion d’en savoir plus sur une civilisation presque oubliée. Et pour compléter votre visite, n’hésitez pas à faire un saut au restaurant "La Cortigiana", qui propose une carte en lien avec le thème de l’exposition.


59/61 rue de Grenelle, Paris 7e
M° Rue du Bac
Ouvert tous les jours de 10h30 à 19h00. 
Nocturnes les lundis et les vendredis jusqu'à 21h30.
Tarifs : 13€ / 11€


Vous prendrez bien un peu de chips ? Tyrrells, biensûr !

Aujourd'hui, j’ai décidé de vous parler "chips" mais pas n’importe lesquels. Cela peut paraître un produit assez simple et pourtant, je suis assez difficile. Car tant qu’à manger des chips, autant qu’ils soient bons, voire les meilleurs.

Et avec Tyrrells, je ne suis jamais déçue, quel que soit l’assaisonnement : légèrement salés, au vinaigre de cidre, au chili, au cheddar, au poivre noir ou les chips de légumes. Parce qu’avec leurs chips, j’ai une sensation de "vrai"... et lorsqu'on y regarde de plus près, ce n’est pas qu’une sensation : il s’agit bien de vraies pommes de terre dont ils ont su préserver le goût.

Je les apprécie lors de pique-nique (bon, d’accord, la saison est finie…) ou lors de l’apéro. D'ailleurs, lors d’un apéro entre amis, c’est l’occasion de proposer plusieurs saveurs. Vous avez aussi l’option "régressive" en proposant des chips en accompagnement d'un poulet rôti !






New

NEW comme un nouvel album six ans après le précédent.
NEW comme douze nouvelles chansons originales après un recueil de standards jazzy.
NEW comme un Sir Paul toujours aussi fringant.

NEW comme le McCartney nouveau est arrivé.


Même s’il semble avoir tout vécu et tout composé, Paul McCartney décide, dans ce nouvel opus, de renouveler sa pop. Ne vous fiez pas en effet au premier titre ‘Save us’ qui démarre sans starter et donc peut être trop facilement sur les ‘chapeaux de rock’. Et la mélodie entêtante du premier single ‘New’, du même nom que l’album, n’est que la facette la plus évidente de cette collection de titres tous plus convaincants les uns que les autres.

Dès la première écoute, on comprend en effet pourquoi Macca a décidé de s’entourer de quatre producteurs différents puisque chacun peut ainsi l’accompagner sur un chemin différent de son inspiration où l’évidence et la facilité sont soigneusement évitées. Mauvais temps pour les détracteurs de Paulo qui lui en ont toujours voulu de n’écrire que des Silly Love Songs.

Tour à tour, c’est un McCartney actuel qui joue, dans ‘Appreciate ou ‘Hossana’, avec les boucles et la programmation, en saupoudrant bien sûr le tout d’une mélodie dont il a lui seul le secret. Les convaincants ‘Alligator’ et ‘Everybody Out There’ rappellent que le son 80’s de l’album ‘Press To Play’, décrié en son temps, était peut-être… trop en avance sur son temps justement.

Les sons vintage ne sont pas en reste puisque l’intro de ‘Queenie Eye’, titre pressenti pour être le prochain single, flirte avec les 60’s grâce à son intro au mellotron et Macca n’hésite pas à sortir la contrebasse de Bill Black, célèbre bassiste d’Elvis, pour chanter d’une voix empreinte de nostalgie un ‘Early Days’ où l’âme de Liverpool et de John Lennon sont présents à chaque vers.


Et si vous préférez le McCartney faiseur de tubes, il y a de fortes chances que vous vous surpreniez à fredonner ‘I Can Bet’ sans vous en rendre compte.

Mais où est l’incontournable balade ou le titre piano-voix sans lequel un album de McCartney n’est pas un album de l’ex-Beatle ? Surprise surprise ! Je crois que Sir Paul a préparé une pépite pour les auditeurs les plus curieux !


New
Sortie le 14 octobre 2013 (Concord Music / Universal)

Le Parisien

Kaviari, 40 ans de savoir-faire pour le plaisir de nos papilles

Il y a un moment déjà (oups…), j’ai eu la chance de découvrir la maison Kaviari, son histoire et surtout ses "coulisses" !

Kaviari, c’est 40 ans d’histoire. Et au tout début de cette histoire, il y avait Jacques Nebot, négociant affineur, spécialiste du caviar sauvage iranien, et de tous ces voyages, il a également ramené des centaines de photographies, témoignage d’une autre époque. En effet, aujourd'hui, la production de caviar sauvage est interdite. Mais Kaviari poursuit son activité de négociant affineur avec des élevages d’esturgeon à travers le monde. En effet, selon les pays et la variété des esturgeons, le caviar sera différent. Kaviari favorise la sélection à travers le monde pour proposer à ses clients les meilleures productions.

Les prix élevés du caviar s’expliquent par le fait que leur production est sur le long terme. Il faut 3 ans pour déterminer le sexe d’un esturgeon, 7 à 14 ans pour la première ponte. Sachant que cette première ponte ne sera pas utilisée, il faudra attendre encore pour exploiter la 2e ponte de meilleure qualité.


Lors de la visite des ateliers de Kaviari, nous avons pu découvrir plusieurs variétés de caviar. Il y a une réelle différence entre chaque production, selon le type d’esturgeon, son pays d’origine et son alimentation : la taille du grain, la texture, la couleur, le goût. Mais un point est primordial : la qualité de l’eau.


Ma préférence s’est portée sur le caviar Kristal : des grains fermes au goût d’amande et provenant de l’esturgeon "Acipenser Schrencki" en provenance de Chine. Vous pourrez découvrir toute la gamme sur le site internet de Kaviari.


Kaviari est également utilisé par les plus grands chefs. La maison possède une fiche pour chaque chef précisant son caviar préféré, sa couleur, le calibrage, etc. Jusqu'à il y a 4 ans, Kaviari était dans une démarche "B to B" (business to business), à savoir faire le lien entre les producteurs et les restaurants et les épiceries fines. Depuis, la marque se rapproche de ses clients avec le lancement de nouveaux produits comme l’en-K de caviar®, une boite de 15g de caviar. Un produit plus abordable et permettant à tous de découvrir le caviar.


Pour compléter cette nouvelle approche, le site internet a été refait et un blog sur la culture du caviar a été lancé afin d’expliquer les différents caviars, l’élevage, la réglementation de l’exportation, l’utilisation par les grands chefs, etc.
Et en cette fin d’année, une nouveauté sera proposée, surfant sur la vague des box : la Caviar Box®, composée d’une boite de 20g de caviar Transmontanus, un produit de la mer Kaviari et des objets d’art de la table liés à la dégustation. La box proposera également une recette de saison avec des fiches explicatives. 

Après l’en-K de caviar®, Kaviari montre encore plus sa volonté de désacraliser le caviar et d'en faire un produit accessible par tous et non plus un produit réservé à une élite. Mais également de faire découvrir son savoir-faire à tous.

A noter que Kaviari, c’est également du saumon fumé d’élevage (tranché à la main), des œufs de poissons et des produits de la mer. Plein de bonnes choses à découvrir pour une occasion spéciale (ou non) !


Un grand merci à Kaviari pour la découverte de leur atelier et de la culture du caviar.



Souvenir d’une belle journée hyper parisienne avec ZoomOn !

Il y a maintenant 15 jours, j’ai eu la chance avec 17 autres blogueuses de passer une magnifique journée avec la charmante équipe de ZoomOn et Fanny.

Au programme : que des surprises ! Fanny, même sous la torture, n’a pas voulu dévoiler quoique ce soit de cette journée ! Même l’adresse du 1er rendez-vous était un leurre ! Nous devions nous retrouver au 222 rue de Rivoli où nous avons patiemment attendu devant la porte… pour être ensuite escortées au Meurice, hôtel 5 étoiles absolument magnifique. Les mots me manquent pour vous décrire ce sublime établissement. J’ai traversé le lobby bouche bée et émerveillée par la splendeur des lieux…


Un salon privé nous était réservé et au menu que de délicieux mets. Cela ne pouvait être autrement quand on sait qu’Alain Ducasse a récemment pris la direction du restaurant.


Après tant de délices, nous voilà en route vers notre 2e rendez-vous secret. Celui-ci est sous le signe du chouchoutage car c’est Ismérie qui nous a accueilli dans son salon de coiffure, installé dans un appartement dans le 2e arrondissement. L’idée de ce salon hors du commun est de mettre à l’aise les clients et qu’ils s’y sentent comme chez eux : le pari est réussi ! Et puis, nous nous sommes également bien amusées à immortaliser nos jolis coiffages avec le photomaton.


Toutes apprêtées, nous voilà reparties pour notre 3e rendez-vous. La suite de notre périple nous a amené à l’Opéra Garnier. J’avais eu l’occasion de voir la salle de spectacle lors de la représentation d’un ballet ainsi que le hall et les foyers au cours des journées du patrimoine. Cerise sur le gâteau, nous avons eu le droit à une visite guidée de l’ensemble de l’établissement : hall, salle de spectacle, coulisses, vestiaires, salle de répétition et sous-sols. Nous n’avons pas rencontré le fantôme, résident permanent de l’opéra, mais nous avons pu voir le fameux lac qui est en fait une réserve d’eau en cas d’incendie. D'ailleurs, seuls les pompiers peuvent y accéder.


Et pour finir cette journée hyper parisienne, nous nous sommes arrêtées au Glass, un nouveau bar à cocktail situé à Pigalle. Certaines d’entre nous sont passées derrière le bar pour jouer les barmaids et réaliser un cocktail ZoomOn, créé pour l’occasion, absolument délicieux !



ZoomOn est le premier média social dédié aux bons plans (49 pages Facebook, 3 comptes Twitter, un blog et des newsletters). 
Pour fêter son million de fans, ZoomOn a lancé une amusante application Facebook, L’Hyper Parisien, qui permet de piéger gentiment vos amis en leur faisant croire que vous avez passé une journée extraordinaire, en postant sur votre mur plusieurs photos en rapport avec les activités que vous aurez choisi !


Cette application est disponible jusqu'au 18 octobre. Pour l’avoir testé, je peux vous dire que j’ai bien ri au vu des likes et commentaires de ma famille et mes amis. Cette application également disponible pour les villes de Lyon et Marseille.

Et pour tous les bons plans de votre ville ou région, n’hésitez pas à visiter soit le blog, soit la page facebook de ZoomOn Paris.


Un grand merci à toute l’équipe de ZoomOn et Fanny pour l’organisation de cette magnifique journée hyper parisienne.