Billet hautement gourmand #2 spécial été !

Avec l'été (si on peut appeler notre mois de juillet ainsi), j'ai surtout envie de fraîcheur, comme beaucoup, n’est-ce pas ?

Que ce soit les boissons ou la nourriture, j'aurai plutôt tendance dès que le thermomètre passe les 25°C à préférer le froid au chaud.

Ces dernières semaines, j'ai eu l'opportunité de goûter des nouveautés que je vous présente ci-dessous.

Danao "Mon Fruit Préféré"



Je fais partie de ces personnes qui ont connu le lancement de Danao sur le marché en 1998. N'aimant pas le lait nature et encore moins avec du sirop, j'avais testé et déjà à cette époque, j'avais été agréablement surprise par la douceur de la boisson et surtout par le fait que je n'étais pas gênée par le goût du lait.

Alors quand on m'a proposé de tester la dernière nouveauté, Danao "Mon Fruit Préféré", je n'ai pas su résister. Vous avez certainement dû voir la publicité à la télé de la version à la Fraise Gourmande. Il existe également une version à la Banane Savoureuse. Ces deux versions ayant rencontré un grand succès, Danao a mis sur le marché un nouveau parfum : Pomme Exquise !


Le Danao Pomme Exquise a un léger goût acidulé qui peut faire penser aux Granny Smith mais surtout je le trouve nettement moins sucré qu'un jus de pomme classique et plus savoureux. Inutile de vous dire que les versions banane et fraise sont tout aussi bonnes. Les 3 bouteilles n'ont pas fait long feu dans notre réfrigérateur car je ne suis pas la seule à avoir succombé à la douceur de ces nouvelles variétés Danao.

Quand j'aurai réinvesti dans un blender (RIP à mon cher blender après une quinzaine d'années de bons et loyaux services), je testerai d'ailleurs une recette toute simple et qui me semble délicieuse : 20 cl de "Mon Fruit Préféré" mixé avec 1 boule de glace vanille, avec ou sans glace pilée.

Danaoen vente dans toutes les grandes surfaces au rayon frais


Fruit Fiction, la collection été 2014 de Fauchon


Pour célébrer l'été, les Chefs de Fauchon ont imaginé une collection de recettes éphémères salées et sucrées : la collection été Fruit Fiction.

J'ai eu l'occasion de tester les recettes traiteur et pâtisserie : un mélange de saveurs surprenant et absolument délicieux.

Côté salé, je ne pourrai vous dire ce que j'ai préféré entre la tarte volante Fruit Fiction (pâte sablée , garnie de crème mascarpone citronnée, cubes de saumon mariné, endives rouges, tomates cerise, pommes vertes et rouges, navets-fanes, mangue et fleurs), l'éclair "explosion mangue-saumon" et l'éclair "explosion pomme-crabe". En tous les cas, j'ai bien aimé l'idée de l'éclair salé.


Côté sucré, nous avons eu le droit à une présentation détaillée par le chef lui-même qui nous a donné l'eau à la bouche, en plus de déguster des yeux la magnifique présentation des constellations.

Les Constellations existent en 3 parfums : abricot (mousse bavaroise et compotée à l'abricot, pain de Gênes assaisonné à l'huile d'olive, pâte sablée et anneau de chocolat blanc), pêche (mousse bavaroise et compotée de pêche blanche, biscuit à la vanille Bourbon de Madagascar, pâte sablée et anneau de chocolat blanc) et cerise (mousse légère et coeur à la cerise, pain de Gênes à la pistache, pâte sablée et disque de chocolat noir). 


Ma préférence est allée à celles à l'abricot et plus particulièrement la pêche pour leur fraîcheur. La constellation cerise a une légère acidité due à la griotte. Après, les goûts sont très partagés. Alors vous y trouverez certainement votre bonheur !

L'originalité des éclairs du rayon pâtisserie est leur mélange sucré/salé : les éclairs illimités framboise-avocat et fraise-poivron. Mais ne vous arrêtez pas à ce détail car c'est bien évidemment le sucré qui prend le dessus! 
Pour ma part, j'ai été surprise le goût du poivron. Quant à l'éclair framboise-avocat, j'ai surtout senti le goût de la framboise. Chaque palais y trouvera ses préférences.


Enfin, la tarte bubble melon-groseille (tarte garnie de frangipane perlée de groseilles, recouverte d'un crémeux au miel de lavande, billes de melon d'eau et de melon Charentais, groseilles, feuilles cristallisées de verveine et Pensées fraîches) est une note totalement fraîche et douce. J'ai particulièrement aimé cette tarte dont les fruits qui la composent, lui confèrent toute sa légèreté.


Mais la collection Fruit Fiction ne s'arrête pas là. Vous pourrez découvrir également des nouveautés au rayon épicerie : du chocolat, du thé, des macarons, de la gelée, des biscuits, des pâtes de fruits, une soupe froide et une terrine de dinde. 


30 Place de la Madeleine, Paris 8e
Ouvert du lundi au samedi, de 9h à 20h


Disponible jusqu'au 31 juillet : la constellation abricot, l'éclair illimité framboise-avocat
Disponible jusqu'au 3 septembre : la tarte volante Fruit Fiction, les éclairs explosion mangue-saumon et pomme-crabe
Disponible jusqu'au 6 septembre : les constellations pêche et cerise, l'éclair illimité fraise-poivron, la tarte bubble melon-groseille et tous les articles du rayon épicerie


Crédit photos : ©La Parisienne du Nord

Alfa'mazing Cars au MotorVillage des Champs Elysées

Depuis 2010, le Groupe Fiat Chrysler (Fiat, Alfa Romeo, Lancia, Abarth, Jeep…) a un lieu dédié à la fois d’exposition, de présentation des nouveautés du groupe mais également de restauration avec le Nolita et le Fiat Caffe, servant bien évidemment des spécialités italiennes.

L’architecte a conçu le lieu en pensant aux garages avec lesquels jouaient les enfants où les voitures tournaient autour d’un pilier central. Au MotorVillage, ce pilier central est le point central d’exposition des voitures et les escaliers circulant tout autour permettent d’évoluer du niveau -2 au niveau 2.

Depuis le 18 juillet, une exposition est dédiée à Alfa Romeo. Nous avons eu la chance d’avoir une visite guidée par Alessandro Maccolini, responsable du design extérieur Alfa Romeo au Centro Stile et notamment à qui l’on doit la toute dernière nouveauté de la marque : l’Alfa Romeo 4C !


Ainsi, Alessandro nous a parlé de la conception d’une voiture depuis le projet jusqu’aux maquettes. Mais il nous a également apporté quelques anecdotes pour chacune des 4 voitures anciennes présentées, des modèles uniques.

Au rez-de-chaussée, place aux modèles les plus anciens avec l’Alfa Romeo RL TF, à l’origine de la légende du Quadrifoglio Verde (trèfle à 4 feuilles vert, symbole de la marque).


Cette voiture de compétition conçue par Giuseppe Merosi permit à Ugo Sivocci de remporter la Targa Florio, sur les routes de Sicile, en 1923. Jusqu’alors surnommé l’éternel second, le pilote italien fit peindre sur sa RL un trèfle à quatre feuilles et gagna la course, la première grande victoire pour le Biscione.

Ce symbole porte bonheur fut alors apposé sur les Alfa Romeo de Compétition. Lorsque Ugo Sivocci perdit la vie lors d’un accident, son Alfa Romeo était dépourvue du trèfle. La légende du Quadrifoglio Verde était née. Le trèfle accompagna dès lors Alfa Romeo de victoires en victoires.

En entrant dans le MotorVillage, face à vous, vous découvrirez un modèle unique commandé par Mussolini en 1935 : l’Alfa Romeo  6C 2300 Aerospider. Ce dernier souhaitait une réplique de la monoplace Grand Prix de Porsche.


Vittorio Jano mit à contribution les frères Jankovits, deux ingénieurs hongrois, et leur fournit un châssis de 6C 2300 à adapter.  Une fois la voiture finie, Mussolini licencia Jano pour mauvais résultats.

Les frères Jankovits se retrouvant avec un prototype de course impossible à engager en compétition, ils décidèrent de l’adapter pour un usage routier. L’Alfa Romeo 6C 2300 Aerospider, ses lignes pures et ses 105 ch pour 800 kg, atteignait 220 km/h de vitesse de pointe. En 1946, les frères Jankovits fuirent la répression de Tito avec leur voiture,  ils la vendirent ensuite à un officier américain. Elle est aujourd’hui la propriété du Docteur Gebhard et est exposée à l’Auto & Technik Museum de Sinsheim (Bade-Wurtemberg).

Au niveau -1, vous découvrirez une voiture avant-gardiste pour son époque : l’Alfa Romeo Carabo. Elle a été dessinée par Marcello Gandini et fut présentée au Salon de Paris de 1968. La base technique correspond à celle de la 33 Stradale, avec un esprit futuriste. Toutefois, le concept Carabo marque une rupture de style définitive avec les lignes rondes et voluptueuses en vogue à l’époque.


Son nom, sa couleur verte irisée et son pare-brise doré évoquent le scarabée, d’autant plus lorsque ses portes pivotantes sont ouvertes.

Retour aux courbes avec la 33.2 Pininfarina présentée au Salon de Paris de 1969, située au niveau 1 du MotorVillage.


Son style est pratiquement identique à une autre italienne, la Ferrari P5, présentée l’année précédente à Genève. Malgré la même proue lenticulaire, les flancs très sculptés et l’immense bulle transparente laissant apparaître le moteur, elle se distingue par ses phares escamotables ou l’absence de grille devant les aérations et le bandeau arrière.

Enfin au niveau 2, nous avons découvert la dernière-née Alfa Romeo : la 4 C ! Chaque élément a été pensé pour l’aérodynamisme de la voiture, tout en restant esthétique. Le point le plus difficile à respecter fut le poids limite imposé. Mais le défi a été relevé haut la main et la 4 C présente des courbes parfaites, sublimées par le rouge competizione. Je n’ose imaginer le plaisir de rouler avec cette nouvelle Alfa.


Cette exposition unique se tient jusqu’au 27 août. L’accès est libre mais vous pouvez également profiter de votre passage pour faire une pause à la terrasse du Fiat Caffe ou au Nolita pour déjeuner ou dîner. Votre visite au MotorVillage vous transportera quelques instants en Italie.

Alfa'mazing Cars – jusqu’au 27 août
MotorVillage
2 Rond Point des Champs Elysées, Paris 8e
M° Franklin Roosevelt (lignes 1 et 9)

Accès exposition / boutique : du lundi au jeudi, de 12h à 20h ; les vendredis et samedis, de 12h à 21h ; les dimanches, de 12h à 19h.
Accès Fiat Caffe : tous les jours, de 8h à 1h
Accès Nolita : tous les jours de 12h à 15h et de 19h à 23h30


Crédit photos : ©La Parisienne du Nord

Sur les murs parisiens #2

Au gré de mes balades parisiennes, je laisse mon regard se perdre dans le paysage et c'est ainsi que l'on fait de belles découvertes.

Et puis, ce que j'apprécie le plus, c'est de passer des dizaines de fois dans une rue et un jour, découvrir une surprise sur l'un des murs.

Voici aujourd'hui, une sélection de mes dernières trouvailles...

FKDL - Belleville, Paris 20e
Invader
M. Chat
Fred Le Chevalier - Paris, 10e
Dourone - Paris, 10e
Jean-Charles de Castelbajac - Jardins du Palais Royal, Paris 1er
Je ne connais pas tous les auteurs. Alors n'hésitez pas à compléter mes connaissances...

Crédit photo : ©La Parisienne du Nord

Naufrages de Philippe Zaouati


"J’ai avancé à petits pas sur le chemin étroit et caillouteux. J’ai observé encore une fois les troncs des oliviers qui semblaient encore plus noués que lorsque j’étais venue ici la première fois, il y a quelques jours à peine. Je me suis assise par terre à côté de la tombe de Josef. Et j’ai pleuré."

De Paris au kibboutz Sasa, dans le nord d’Israël, en passant par Sofia, Prague, Haïfa, Istanbul, la narratrice redécouvre les chemins de son destin. Un destin fait de miracles, de sauvetage, de déchirements et de renaissance. Mais en a-t-elle vraiment compris tous les ressorts ? Quelle est donc la clé qui lui manque ?

La 4e de couverture du second livre de Philippe Zaouati, Naufrages, donne l’esprit du livre. Mais c’est seulement en terminant le livre que l’on comprend tout le sens (propre et figuré) de son titre.

Dans les années 60, la narratrice, avocate juive d’origine bulgare, vient en Israël pour l’enterrement d’une personne qui lui était très chère une vingtaine d’années plus tôt et que la seconde guerre mondiale a séparé.
Ce voyage lui fait se remémorer leur rencontre, leurs idéaux, son exil et celui de sa famille en laissant tous leurs biens à Sofia, la guerre, ses engagements politiques à cette époque. Mais dans cette période de sa vie, il existe quelques blancs et ce voyage à Israël lui permettra de recomposer le puzzle.

Inspirés de faits réels, dont le naufrage du Struma en 1941, au large de la Turquie, où des centaines de juifs de Bulgarie et de Roumanie sombrèrent dans les fonds marins, ce livre apporte une autre vision de la guerre, vécue dans les pays de l’est, tels que la Roumanie, la Bulgarie, en allant jusqu’à la Turquie.
C’est une partie du monde qui est peu évoquée lors de reportages sur la seconde guerre mondiale et qui fut également particulièrement touchée.

Malgré l’évocation de ces événements terribles, Philippe Zaouati a réussi à ne pas tomber dans le cliché et au fil de la lecture, on souhaite, comme la narratrice, connaitre le dénouement de son histoire qui finalement est pleine d’espoir.

Naufrages de Philippe Zaouati
Les éditions des Rosiers, 20€


Crédit photo : ©La Parisienne du Nord

New York Melody

Le 30 juillet, la comédie "New York Melody" sort dans les salles obscures. J’ai eu l’occasion de voir le film en avant-première et j’en suis ressortie totalement enchantée, avec une seule idée en tête acheter la bande son dès sa sortie (le 21 juillet) et revoir le film. C’est quelque chose qui m’arrive très rarement. Je trouve d’ailleurs dommage que ce film sorte en plein milieu de l’été. Cela ne lui laisse pas vraiment toutes ses chances.

John Carney, scénariste et réalisateur du film, s’était fait connaitre avec "Once" où là aussi, la musique était un personnage à part entière du film. Ancien bassiste d’un groupe de rock, son expérience musicale influence beaucoup ses réalisations. Pour New York Melody, ayant bien connu l’industrie musicale, il s’est tout simplement demandé comment elle avait pu évoluer ces dernières années et qu’étaient devenus les dénicheurs de talents !


Le pitch de New York Melody vous fera peut-être penser à une simple comédie romantique :

Gretta et son petit ami Dave débarquent à New York pour y vivre pleinement leur passion : la musique. Leur rêve va se briser et l’idylle voler en éclats quand, aveuglé par son succès naissant, Dave va la plaquer pour une carrière solo et... une attachée de presse.
Son billet de retour pour Londres en poche, Gretta décide de passer une dernière nuit sur place. Encouragée par son meilleur pote, elle se retrouve malgré elle à chanter sur scène dans un pub de la ville.
Dans la salle, un producteur de disques revenu de tout et en perte de vitesse... Soudain, il entend cette voix et découvre cette grâce, ce talent authentique. Une rencontre enchantée qui pourrait finir en chansons…


Ne vous arrêtez surtout pas là… Outre les comédiens et la musique, la ville de New York fait également partie du casting. Le duo Keira Knightley (Gretta) et Mark Ruffalo (Dan) fonctionne très bien et leurs espoirs et motivations donnent des ailes. Et il est particulièrement agréable de voir Keira Knightley dans un rôle actuel et non costumé comme dans Pirates des Caraïbes ou The Duchess. Et quel plaisir de revoir Mark Ruffalo, un acteur vraiment talentueux et il le montre d’autant plus dans ce film où son rôle est bien loin de l’incroyable Hulk.

C’est également l’occasion de découvrir le premier rôle au cinéma d’Adam Levine (Dave). Et si comme moi, vous êtes fan de Maroon 5, vous comprendrez également pourquoi j’ai hâte que la bande originale sorte. Par ailleurs, il est totalement convaincant dans son rôle, surtout en homme faible et lâche face à sa petite amie.

En résumé, New York Melody est une bouffée d’air frais sur des airs pop. Un film à ne pas manquer !


La Cuisine du Dimanche #12 : Old el Paso à l’honneur !

La marque Old El Paso ne doit pas vous être inconnue. Me concernant, j’achetais toujours les mêmes produits : kit pour Fajitas, tortillas chips et guacamole ! Leurs kits sont très bien faits et très pratiques… mais surtout de qualité.


Les poêlées Oaxaca et Yucatan


Récemment, j’ai découvert leurs kits poêlées de riz. Oui, 100 ans après tout le monde puisqu’elles sont arrivées sur le marché il y a un peu plus d’un an. Mais comme on dit, mieux vaut tard que jamais ! Il existe donc 2 poêlées : Oaxaca, légèrement épicée et Yucatan, avec une pointe de citron vert.
Très faciles d’utilisation, il suffit d’ajouter du blanc de poulet (mais je suis sure qu’avec du bœuf, la poêlée Oaxaca fonctionne très bien également), de l’oignon, du poivron, plus du mais pour la Yucatan.


Verdict : la préparation se fait rapidement et très facilement. Cela fait un plat complet et savoureux. J’ai une préférence pour la poêlée Oaxaca. Je n’ai pas vraiment aimé le gout du citron dans la poêlée Yucatan. Mais cela dit, j’ai du mal avec le citron un peu prononcé. Je n’en mets d’ailleurs jamais sur mon poisson. Ça vous donne un ordre d’idée. Ma mère et ma sœur ont bien aimé. 

A noter que vous pouvez agrémenter les poêlées comme vous le souhaitez : moi-même, j'ai ajouté une courgette à la place du poivron dans la Yucatan et c'était très bon.

Ces dernières semaines, j’ai eu l’opportunité également de tester les nouveautés Old El Paso. Encore une fois, la qualité était présente.

Les Tortillas Chips Queso et Crema y Onion


2 nouvelles versions de Tortillas Chips : Queso au fromage et Crema y Onion à la crème d’oignon que l’on peut associer avec toutes les sauces Old El Paso. Et voilà un apéritif qui prend une ambiance mexicaine. 


J’ai eu une préférence pour la version Crema y Onion, surtout associée avec la sauce Dulce SalsaCette dernière se marie également très bien avec les Nachips Original. Quant au Parisien, il a préféré la version Queso avec la sauce Mexicanita

Les kits pour Tacos avec Panadillas


Je n’avais jamais testé les tacos car je me disais qu’avec la galette croustillante, ça ne devait vraiment pas être pratique à manger. Et puis, je préfère largement les galettes de blé moelleuses.

Il y a quelques semaines, Old El Paso a eu la gentillesse de m’inviter à la soirée de présentation de leur nouveau kit : Tacos avec Panadillas. Il s’agit d’un chausson de blé moelleux appelé Panadilla et tous les ingrédients nécessaires pour préparer la farce des tacos.
Lors de la soirée, le chef nous a concocté 2 versions : une végétarienne et une au bœuf, avec des sauces assez originales comme une chantilly de maïs ou une crème de carottes.


La Panadilla, de par sa forme, est assez pratique car on peut en replier les rebords et la déguster plus facilement.

Pour avoir retenté l’expérience à la maison (certes, pas avec le talent du chef), nous nous sommes bien régalés. Nous avons désormais une autre alternative aux kits pour Fajitas. Le kit contient 8 Panadillas. A deux, cela nous a vraiment bien calés, voire même un peu trop. Selon votre appétit, un kit pourrait être utilisé pour 4 personnes. Et si vous avez un énorme appétit, pas de souci, les Panadillas sont également vendus seuls.


Avec cette période des vacances, les produits Old El Paso tombent à pic pour préparer des repas rapides et délicieux et proposer des accompagnements pour l’apéro.

Je vous invite à vous rendre sur le site Old El Paso pour découvrir toute leur gamme mais surtout des recettes variées et originales.

Et vous, avez-vous déjà gouté aux produits Old El Paso ? Quel est votre préféré ou celui qui vous tente le plus ?

Merci à Old El Paso et l’équipe C’est Dit C’est Ecrit pour cette sympathique soirée.


Crédit photos : ©La Parisienne du Nord

L’horloge de la rue des Mathurins

Pour des raisons professionnelles, je me suis souvent rendue dans la rue de l’Arcade, dans le 8e arrondissement. A un moment, cette rue croise la rue des Mathurins. C’est ainsi que j’ai découvert cette horloge sur la façade côté Mathurins.
L’angle de l’immeuble est également spectaculaire, avec les 2 lions. Ce type d’ornements sur les immeubles parisiens m’amène toujours à des tas de questions et je me lance alors dans des recherches.


Construit en 1903, cet immeuble était l’hôtel de la Compagnie Internationale des Wagons-Lits (et des Grands Express Européens), à qui l’on doit notamment l’Orient Express. Cette société est fondée en 1872 par l’homme d’affaires belge Georges Nagelmackers, sur le modèle des trains de nuit américains Pullman. C’est en 1883 que le monogramme W L aux 2 lions sera adopté au moment du changement de nom de la société.
Sous l’horloge, on pouvait autrefois voir le tracé du Transsibérien (de la Russie à la Chine).



Crédit photos : ©La Parisienne du Nord

Voyager dans le temps avec le Puy du Fou #2

Après les animaux et les spectacles, voici le moment de vous parler du reste du parc du Puy du Fou.

Entre deux spectacles, nous nous sommes baladés en se laissant portés d’une allée à une autre.
Ainsi, nous avons flâné à la Cité Médiévale où de véritables artisans d’art de la région tiennent boutique. Puis nous nous sommes retrouvés au village du 18e siècle où des musiciens traditionnels interprétaient des chansons vendéennes. C’est là que nous avons rencontré les animaux de la ferme. En sortant du village, nous avons traversé la prairie des animaux.




En poursuivant le chemin en direction du Bourg 1900, nous nous sommes arrêtés au Monde Imaginaire de La Fontaine où des automates illustraient les fables récitées par Gérard Depardieu, himself !


Le Bourg 1900 est une réplique d’un village du début du 20e siècle avec ses commerces, sa place avec le Carrousel et sa brasserie Le Bistrot où nous avons vraiment bien mangé et surtout découvert l’apéritif local : la Troussepinette, un vin d’épines aromatisé aux fruits.


A quelques pas de là, vous avez la roseraie qui mène au cœur du parc où une forêt permet d’ombrager les allées. Au cours de notre balade, nous sommes tombés par hasard sur l’Odyssée du Puy du Fou, une animation qui réserve également des surprises, surtout le final.


Nous avons ensuite fait le tour du plan d’eau où se déroule le spectacle nocturne, les Orgues de Feu. En journée, nous avons assisté aux grandes eaux, un jeu d’eau au rythme de musique baroque.


De là, nous avons poursuivi vers la vallée fleurie, un lieu enchanteur où la brume artificielle lui donne un côté magique.


Comme je vous le disais mardi dernier, deux jours est vraiment le minimum pour découvrir le Puy du Fou car il y a plein de choses que nous n’avons pas découvert, comme l’allée des volières, les automates musiciens, le chemin de la mémoire, le labyrinthe des animaux et la légende de Martin (sans compter les spectacles nocturnes qui n’avaient pas encore lieux au moment où nous y étions).

Le Puy du Fou est vraiment très bien organisé. En plus, du plan journalier du parc avec les horaires de chaque spectacle et des informations utiles. Les boutiques souvenirs sont dans le Bourg  1900 et les hôtels situés dans la cité nocturne. Nous avons d’ailleurs eu la chance de tester le tout nouvel hôtel : le Camp du Drap d’Or !


En arrivant, nous avons eu la surprise de découvrir des tentes aux couleurs royales rouge, bleu et or, dites les logeries. L’accueil et le restaurant sont un bâtiment central appelé le Castel. La décoration de style Renaissance et le personnel en habit d’époque nous plongent complètement dans le monde de François 1er (d’où les couleurs royales). D’ailleurs, on ne peut l’oublier car son portrait trône dans chaque chambre.

Notre chambre prévue pour 4 personnes (2 adultes et 2 enfants par exemple) était spacieuse. Les 2 espaces où sont les lits sont séparés par un lourd rideau. Une mention spéciale pour la télévision encadrée que l’on ne soupçonnerait pas lorsqu’elle est éteinte, les toilettes (où le terme de trône prend tout son sens) et la magnifique robinetterie de la salle de bain.

Le restaurant de l’hôtel propose le soir un buffet autour d’un grand brasero (avec notamment des spécialités vendéennes) et un large choix de dessert. De quoi faire un repas gargantuesque (d’ailleurs, vous pourrez croiser Gargantua dans le château du Puy du Fou). Au petit déjeuner, un buffet continental est proposé. Là aussi, nous n’avions que l’embarras du choix.

Deux jours de découvertes, de surprises, de plaisirs, de bien-être et de dépaysement total, voilà comment je résumerai notre week-end au Puy du Fou. Nous en sommes repartis avec plein de souvenirs en tête et l’envie d’y revenir.

Alors si l’occasion se présente, n’hésitez pas une seconde : courez au Puy du Fou ! Vous en reviendrez plus que ravis, tout comme nous.

Un immense merci à Florence, notre adorable organisatrice et guide ainsi qu’au Puy du Fou pour ce week-end magique.

Comment venir au Puy du Fou ? Toutes les informations, ici
Le guide pratique parc, ici

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Crédit photos : ©La Parisienne du Nord