Après avoir payé les 10 € de droit d'entrée, vous vous rendez vite compte qu'il n'y en a qu'environ la moitié du chiffre annoncé. Mais tant pis, vous admirez le peu que vous voyez et d'une salle à l'autre découvrez le travail original et parfois un tantinet choquant de ce célèbre photographe !


Ses photos se distinguent essentiellement par la vivacité de leurs couleurs (qui est obtenue au tirage, par l’utilisation de négatifs couleurs), des décors bariolés, par des mises en scène très soignées et pouvant être très importantes : un musée inondé, des maisons détruites, des carambolages de voitures, des ours,… LaChapelle utilise très peu de trucages numériques : « C’est beaucoup plus drôle, si on veut photographier une fille assise sur un champignon de fabriquer le champignon et de l’asseoir dessus, que de le faire à l’ordinateur. De même si on veut mettre une fille nue et un singe en plein Time Square... ».
La rétrospective est montrée selon un parcours thématique : Déluge, Heaven tot Hell, Meditation (Jésus is my Home boy et What will youwear when you are dead), Recollections in America, Destruction and Desaster, Star System…
La rétrospective est montrée selon un parcours thématique : Déluge, Heaven tot Hell, Meditation (Jésus is my Home boy et What will youwear when you are dead), Recollections in America, Destruction and Desaster, Star System…





David LaChapelle, photographe américain né en 1963, a commencé sa carrière en 1982 grâce à Andy Warhol, alors rédacteur en chef du magazine Interview, avec la publication de photos de nus anonymes.
Depuis il a photographié des stars (Pamela Anderson, Madonna, Elton John, Leonardo DiCaprio, Cameron Diaz, Paris Hilton, Uma Thurman…), a fait des couvertures de magazines, réalisé des clips, des films documentaires et des publicités.
Il a été reconnu, en 1996, comme étant le meilleur photographe de l’année par la revue française Photo ainsi que American Photo magazine.
Crédit photos : Internet - Dossier de presse Retrospective David LaChapelle au Musée de la Monnaie, Paris
Avec Google et sa façon de placer les images à l’inverse de notre sélection, ça à un avantage c’est d’être lu jusqu’à la fin si non on ne comprend rien. C’est ce qui vient de m’arriver. Cela aurait été dommage de passer à côté. Suis d’accord ; il n’y a plus grand-chose à visiter pour 10€. (Seul hic, je préfère une ballade dans Paris, même si la Samaritaine, depuis le « pont neuf », tangue un peu.
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